Les principaux risques financiers auxquels sont exposées les entreprises sont les risques de crédit (ou de contrepartie), liquidité, taux d'intérêt, change, actions et matières premières.
La volatilité Il s'agit de la mesure la plus utilisée pour mesurer le risque financier. La volatilité repose sur le concept mathématique d'écart type. Elle indique l'amplitude de variation du prix autour de sa moyenne.
Le risque de marché couvre le risque de taux d'intérêts et de taux de change, les cours des matières premières et la valeur des titres et divers placements de manière générale.
Le risque peut être latent (il n'est pas encore manifeste), apparent (il se manifeste) ou disparu (il ne peut plus se manifester).
Les risques d'un investissement actions sont multiples : baisse des cours, risque de liquidité, risque de change… nous développerons. Néanmoins, le risque est directement corrélé au rendement qu'on peut espérer d'un investissement. Pas de risque, pas de rendement.
Parmi les plus importants, on a notamment le risque de transformation, le risque de contrepartie, le risque de marché, le risque de change, les risques opérationnels, et enfin les risques sur la détention des dettes publiques et des obligations privées.
La gestion des risques financiers est le processus d'identification et d'analyse de toutes les décisions d'investissement avant qu'elles ne soient prises.
Dans le cadre de leur activité, les entreprises s'exposent à des risques financiers, comme les impayés, le manque de liquidités… La gestion des risques en finance consiste à identifier les risques que court l'entreprise et à trouver des solutions pour les limiter et atténuer leurs conséquences.
L'analyse financière d'une entreprise passe par l'étude des éléments suivants : Le chiffre d'affaires réalisé sur les derniers exercices : est-il en croissance ou en décroissance ? comment expliquer son évolution ? La marge de l'entreprise : est-elle conforme aux moyennes du secteur ?
Un risque non-financier se distingue d'un risque financier par le fait qu'il ne résulte pas de la réalisation d'un événement financier affectant négativement la valeur d'un actif mais est la conséquence d'un dysfonctionnement du processus opérationnel de gestion de cet actif.
Le risque opérationnel correspond aux pertes potentielles résultant de lacunes ou de défauts attribuables aux ressources humaines et matérielles : procédures des systèmes internes défaillants, événements déclencheurs externes, fraudes, etc.
La duration est un outil essentiel pour les investisseurs, car elle leur permet d'évaluer et de gérer le risque de taux d'intérêt. Elle indique comment la valeur d'un investissement réagira aux variations des taux d'intérêt.
On distingue généralement quatre structures de marché (la concurrence, le monopole, l'oligopole et la concurrence monopolistique).
La Bourse de New York, ou NYSE (New York Stock Exchange), ou Bourse de Wall Street, est considérée comme la plus grande place boursière mondiale (1). Elle a connu quelques événements dramatiques, dont le krach de 1929.
C'est une banalité de dire que les statuts du créancier et de l'actionnaire sont radicalement différents : l'actionnaire a son gain potentiellement illimité et son risque limité à son investissement alors que le créancier, qui peut aussi perdre son investissement, a un taux de rentabilité plafonné.
Pour déterminer si une action va monter ou descendre, il est indispensable d'analyser l'offre et la demande. Lorsque le nombre d'investisseurs en bourse qui désire acheter l'action est supérieur à celui de ceux qui veulent la vendre, la valeur du titre financier augmente.
La perte en capital (aussi appelée moins-value) se produit lorsque la valeur de l'actif d'un investisseur est moindre aujourd'hui qu'à la date de l'achat. La perte en capital (aussi appelée moins-value) se produit lorsque la valeur de l'actif d'un investisseur est moindre aujourd'hui qu'à la date de l'achat.
Les cyber-incidents et les interruptions d'activité ; Les catastrophes naturelles ; Les risques politiques et la violence ; Ou la pénurie de main-d'œuvre qualifiée.
Le risque anthropique se caractérise par un accident lié à une activité humaine (exemples : site industriel, canalisations de transport de matières dangereuses…) et pouvant entraîner des conséquences graves pour le personnel, les populations, les biens, l'environnement ou le milieu naturel.
On distingue par exemple les risques individuels des risques collectifs, les risques militaires des risques civils, les risques économiques/financiers des risques sociaux et des risques politiques, les risques professionnels (monde du travail) des risques de la vie courante (sphère privée), les risques technologiques ...