Outre le « meneur » Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors selon lui les poètes Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle.
Le livre commence à la naissance de Yakov - la postérité retiendra le nom de Jacques Schiffrin - à Bakou, dans l'Empire russe. Il raconte ses voyages en Europe, son installation à Paris où il fonde La Pléiade en 1923 - c'est en 1931 qu'il crée la fameuse collection de la Bibliothèque de la Pléiade.
La Pléiade n'est pas à proprement parler un courant littéraire, mais bien un groupe de quelques poètes français ambitieux du XVIe siècle, dont Pierre de Ronsard et Joachim du Bellay, qui ont contribué à forger un véritable mythe autour d'eux.
Pierre de Ronsard : biographie du poète, auteur de Sonnets pour Hélène. BIOGRAPHIE DE PIERRE DE RONSARD - Poète français, Pierre de Ronsard est un poète majeur du XVIe siècle. Auteur de "Mignonne, allons voir si la rose...", il fut le chef de file de la Pléiade.
La Pléiade, qui s'est d'abord appelée la Brigade, est un groupe de poètes français du XVIe siècle dont le but est notamment de valoriser la langue française tout en s'inspirant des mythologies et des littératures antiques (grecque et latine).
La Pléiade la plus célèbre est celle de la Renaissance française qui réunit, sous Henri II, autour des figures majeures de Ronsard et de Du Bellay : Rémi Belleau, Étienne Jodelle, Baïf, Pontus de Tyard, et Peletier du Mans.
C'est un poème de cour destiné à divertir le public. Ronsard utilise une image banale, celle de la rose comme beauté de la femme. Mais il renverse cette banalité en personnifiant la rose. En effet, Ronsard écrit que la rose a "sa robe" et "ses beautés laissé choir".
La Pléiade = groupe de sept poètes grecs d'Alexandrie ; groupe de sept poètes français de la Renaissance. Avec une majuscule. Une pléiade = un grand nombre (de personnes remarquables).
Chrétien de Troyes (1135 ?- 1190 ?) est sans doute le premier romancier de la littérature française ; ses romans comme Yvain ou le Chevalier au lion, Lancelot ou le Chevalier de la charrette et Perceval ou le Conte du Graal sont typiques de ce genre littéraire.
C'est en 1556 que Ronsard, apparemment hanté par le chiffre sept, donnera à la Brigade le nom plus prestigieux de Pléiade dans l'Élégie à Chrestophe de Choiseul. Ce nom avait désigné un ensemble de sept poètes d'Alexandrie au IIIe siècle av. J.
Le mouvement de la Pléiade est exclusivement littéraire et essentiellement poétique. On date la naissance de ce mouvement en 1549 avec la parution de Défense et illustration de la langue française de Du Bellay.
Par l'utilisation de mots qui existent déjà (les vieux mots, les dialectes provinciaux, les mots techniques). L'invention de nouveaux mots dérivés du latin (révolu, floride, inversion…) ou du grec (ode, lyrique, stratagème, périphrase…)
La Pléiade est un groupe de 7 poètes du XVIe siècle. Ils cherchent à renouveler la poésie en s'éloignant des modèles médiévaux. Inspirés par les idées de la Renaissance, ils utilisent un français moderne et de nombreuses références à l'Antiquité.
L'objectif des poètes de La Pléiade était de créer une belle poésie française et de devenir immortels à travers leurs poèmes.
Les poètes de l'École lyonnaise ou de la Pléiade sont des humanistes : rejetant l'héritage (notamment poétique) du Moyen Âge, ils se tournent vers la littérature antique et mettent l'être humain et ses sentiments au cœur de leur poésie (► voir p. 46, 49 et 64).
Le plus ancien texte connu en français est conservé dans les Serments de Strasbourg qui peuvent être datés de 842.
Un des Serments de Strasbourg (842) est le premier texte complet connu rédigé en roman, l' « ancêtre » du français.
Parmi les auteurs d'histoires de la littérature française, on peut citer : Au XIX e siècle, outre Lanson, Désiré Nisard (1844-1861, scolaire), Nicolas Eugène Géruzez (1860), Charles Gidel (1874-1883), Ferdinand Brunetière (1880-1907), Jean-Jacques Weiss (1891).
Il les célèbre à travers des recueils de poèmes dans lesquels il exprime à la fois ses sentiments et la fuite du temps. Ronsard est tour à tour, amoureux passionné, tendre ou sensuel. A travers ses poèmes, il exprime cette multitude d'états de l'amour et loue la grâce, la beauté éphémère et l'urgence de vivre.
« Pléïade » est un nom emprunté à une constellation de sept étoiles. L'humanisme est un courant de la Renaissance (XVIe siècle) qui se caractérise par la foi en l'homme, par l'intérêt pour toutes les formes de la connaissance et par la redécouverte de la littérature antique.
Dans Défense et illustration de la langue française, écrit en 1549, du Bellay explicite les idées du collectif poétique la Pléiade. C'est un plaidoyer en faveur de la langue française. Il y fait montre de sa reconnaissance envers François Ier, alors décédé, pour son engagement envers les arts et la culture.
Orphée est donc une source d'inspiration inépuisable pour les poètes et les artistes, et son mythe sert de fondation à la poésie que l'on dit “lyrique” dans les deux sens du terme : - dans l'Antiquité, un certain type de poésie accompagnée à la lyre est dite “lyrique”, en référence à la lyre avec laquelle Orphée s' ...
François Villon se distingue comme étant le premier grand poète lyrique, en apportant dans ses œuvres les notions de mort, de remords et d'évocation du passé. Au début de la Renaissance, le mouvement prend de l'ampleur et se dépeint notamment à travers les poètes membres de la Pléiade, comme Du Bellay ou Ronsard.