Elle est ainsi riche en oméga-3, oméga-6 et oméga-9. Le taux très intéressant de vitamine E qu'elle renferme (environ 30 milligrammes pour 100 grammes d'huile) la rend également très bénéfique pour la peau. Anti-oxydante, cette vitamine combat la prolifération des radicaux libres et prévient le vieillissement cutané.
L'huile de colza : top des aliments anticholestérol
Tout comme l'huile d'olive, l'huile de tournesol, l'huile de soja et l'huile de noix, l'huile de colza est particulièrement recommandée pour lutter efficacement contre le mauvais cholestérol et contre les risques de maladies cardiovasculaires.
Avec un rapport oméga 6/oméga 3 inférieur à trois, l'huile de colza est probablement l'huile végétale la mieux équilibrée en acides gras.
Pourtant, contrairement aux idées reçues, l'huile de colza peut être chauffée(*). Stable et non dénaturée par une cuisson douce (au four ou à la poêle), nous pouvons donc l'utiliser pour la pâtisserie, les poêlées de légumes, les plats chauds, la cuisson modérée des viandes ou des poissons …
L'huile de colza est l'alliée de notre cœur. Elle est riche en oméga 3 et 6, ainsi qu'en antioxydants, notamment les vitamines E. L'huile de colza contient des quantités faibles d'acides gras saturés. Cette huile rejoint également les propriétés de l'huile d'olive en termes de santé cardiaque.
Les Oméga 3 sont les « bons gras par excellence » et sont à privilégier pour notre cerveau. On les retrouve principalement dans les noix ou l'huile de colza mais les plus efficaces sont d'origine marine.
L'huile de colza apporte aussi des oméga 6 et des oméga 9. Comme toutes les huiles végétales, elle est aussi riche en vitamine E. Tout ce qu'il faut pour un corps en bonne santé. L'huile de colza se marie aux légumes crus et cuits, aux salades croquantes et aux tartares de poissons.
L'huile d'olive est probablement la meilleure huile pour la santé. Riche en vitamines (A, D, E et K) et en oméga-9, elle agit sur le cholestérol, protège l'organisme contre les maladies cardiovasculaires, améliore la glycémie et régule le transit intestinal.
Considérée comme nocive dans les années 1960 à cause de la teneur en acide érucique, l'huile de colza ne présente absolument aucun risque pour la santé. Une huile de colza bio ne contient en réalité que peu d'acide érucique et aucun additif.
La meilleure : l'huile d'olive
beaucoup d'acides gras saturés ou mono-insaturés qui supportent bien la chaleur, et le moins d'acides gras poly-insaturés possible.
D'après les scientifiques, les huiles végétales seraient les meilleures pour la santé en cas d'hypercholestérolémie : ils recommandent en particulier l'huile de tournesol, l'huile de colza, l'huile de carthame et l'huile de lin.
Il n'y a donc aucune contre-indication à chauffer l'huile d'olive. Mais comme ses arômes sont détruits à partir de 70°C, mieux vaut utiliser une huile d'olive basique pour la cuisine et réserver les produits haut de gamme aux préparations crues.
On s'autorise sans crainte les matières grasses du beurre et de certaines huiles comme l'huile d'olive, l'huile de colza ou celle de noisette riches en oméga 3 qui sont excellentes pour la peau et ne font pas grossir, si on respecte les 2 cuillères à café maximum par repas !
L'huile de colza est extraite des graines d'une variété de colza spécialement cultivée à des fins culinaires. Cette variété a été sélectionnée pour éliminer la saveur désagréable et les composés toxiques que l'on trouve dans les graines de colza ordinaires. L'huile de tournesol est extraite des graines de tournesol.
L'huile d'olive est riche en acides gras mono-insaturés, qui favorisent la production du bon cholestérol et luttent contre le mauvais. Elle contient également des antioxydants, mais, à l'inverse de son adversaire du jour, elle contient peu d'oméga-3. L'huile de colza est réputée pour sa forte teneur en oméga-3.
Les huiles de tournesol, de colza ou de lin non raffinées font donc partie des huiles les moins propres à la cuisson puisqu'elles fument à des températures peu élevées et deviennent donc rapidement toxiques.
Huile de colza dangers. Dans les années 1960, l'huile de colza avait mauvaise réputation puisqu'elle était soupçonnée de provoquer des problèmes cardiaques. En cause : sa forte teneur en acide érucique, un acide gras oméga-9 présent dans certaines huiles de la famille des brassicacées.
C'est notamment le cas pour les huiles riches en graisses polyinsaturées comme l'huile de soja, de noix ou de germe de blé. Lorsqu'elles sont surchauffées, ces huiles forment divers composés nocifs comme les peroxydes lipidiques et des aldéhydes, potentiellement cancérigènes et ce même par simple inhalation.
L'huile d'arachide comme l'huile d'olive sont toutes les deux conseillées pour la friture car elles supportent les hautes températures sans produire de substances nocives pour la santé.
L'huile d'olive est la star des vinaigrettes. Elle est utilisée en cuisine depuis l'Antiquité pour ses multiples vertus et son parfum qui sent bon l'été. L'huile d'olive se marie à merveille avec des tomates et du basilic.
Après l'étude de plus de 1.000 échantillons venus de 52 pays producteurs, la cuvée “Cosmos”, récoltée en 2020, du domaine "La Magnanerie" à Orgnac l'Aven, a reçu le prix de “meilleure huile d'olive biologique du monde”.
En raison de sa teneur élevée en oméga 3, l'huile de colza ne doit pas être chauffée (9). Elle s'utilise essentiellement en assaisonnement sur les salades, les plats, les soupes… Dans l'idéal, il faut la conserver au réfrigérateur après ouverture.
Combien en consommer ? "On recommande de consommer 4 cuillères à soupe d'huile par jour, indique Florence Foucaut, et il est intéressant de faire moitié huile de colza (oméga 3, vitamine E) et moitié huile d'olive (oméga 9, phytostérols)".
L'huile de colza ne supporte pas les hautes températures. Au-delà de 150 °C, elle perd ses propriétés et son goût a tendance à devenir amer. Elle convient donc pour la cuisson douce des viandes, des légumes ou des poissons à la poêle.