Consommer local c'est entretenir le lien entre ruraux et citadins, et préserver la dynamique économique en maintenant et en créant de l'emploi (production, transformation, logistique…). Cela contribue aussi à préserver le savoir-faire artisanal.
Consommer des aliments dont la production se situe à quelques kilomètres du lieu où ils sont achetés/consommés.
Mais, malheureusement, la société de consommation a aussi beaucoup d'inconvénients : Tout d'abord, il y a le gaspillage alimentaire et la pollution. Par exemple, selon le site Planetoscope, les français gaspillent 1,2 à 6 millions de tonnes de nourriture soit de 2 à 100kg d'aliments comestibles par personne.
Mais cette consommation de masse a aussi entraîné des effets néfastes sur l'homme et sur sa santé (problèmes sanitaires, marginalisation des petits producteurs, dégradations des conditions de travail, chômage dû aux délocalisations, etc.), ainsi que sur l'environnement (pollution, épuisement des ressources naturelles, ...
Acheter local, c'est écoresponsable. Si ce qu'on achète est produit à proximité, cela veut dire qu'il y a moins de transport et moins de risques de pertes.
Le locavorisme ou mouvement locavore est un mouvement international prônant l'achat de produits alimentaires locaux (en) et la consommation de nourriture produite dans un rayon allant de 100 à 250 kilomètres maximum autour de son domicile (le rayon retenu continuant de faire débat).
Privilégier les agriculteurs proches de chez vous
De plus, le concept des A.M.A.P (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne) ne cesse de se développer au fil des années et permet de faciliter l'accès aux particuliers à l'achat de produits locaux (Légumes, Viandes, Produits laitiers…).
Par ailleurs, consommer local, c'est aussi retrouver le plaisir du commerce de proximité et donc du contact humain. C'est également un bon moyen de préserver les savoirs-faire des artisans et producteurs qui participent au rayonnement culturel du territoire et à la fierté des habitants.
Les produits locaux ne sont pas officiellement définis et plusieurs initiatives publiques ou privées déterminent leurs propres critères géographiques, de quelques kilomètres à 640 km. Ainsi, ces produits sont difficilement caractérisables.
Pan de l'" économie sociale et solidaire " (ESS), l'économie locale regroupe toutes les actions locales qui participent au développement économique global.
Les éviter, c'est limiter sa consommation d'énergie. Sans oublier les emballages, bien moins nombreux dans le commerce local. D'ailleurs, cela a un impact sur la qualité des produits.
Donc le locavorisme, c'est : Acheter des produits aux producteurs locaux grâce aux circuits-courts. Privilégier les produits frais et de saison. Limiter le gaspillage alimentaire.
Avant toute chose, il faut préciser que d'une manière générale, consommer local est souvent plus écologique. Lorsque l'on consomme un aliment produit localement, on évite de nombreuses pollutions inutiles : le transport notamment mais aussi la conservation.
Enfin, l'achat local ne doit pas servir de prétexte aux politiciens pour imposer des mesures protectionnistes – comme des frais de douane ou des taxes supplémentaires sur des produits étrangers qui entrent au pays. Car à ce jeu, tout le monde y perd.
Afin d'acheter son local commercial, il vous faut déterminer plusieurs choses, allant de l'emplacement de votre local, sa surface et sa localisation. L'élaboration d'un business plan peut s'avérer utile pour décider cela.
D'abord, consommer peut rendre heureux parce que cela nous procure un bien-être personnel. Nous pouvons nous sentir mieux dans notre peau, par exemple quand on a fait l'acquisition d'un parfum que l'on apprécie et qu'on le porte.
"Des recherches ont montré que les individus qui accordent le plus de valeur à la consommation et à la possession sont, presque toujours, moins heureux. Leur niveau d'estime de soi est plus bas, la qualité de leurs relations aussi, et ils présentent un risque plus élevé de dépression et d'anxiété", souligne-t-elle.
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
La consommation alimentaire locale permet de préserver l'environnement en limitant la production de gaz carbonique et d'autres polluants conservateurs. En effet, lorsqu'on procède à la consommation locale, on adopte moins de transport donc, moins de pollution.
Structure située dans une région d'un pays et y exerçant son activité.
Si vous souhaitez soutenir l'économie locale et donner un sens à votre consommation, rendez-vous sur le site du ministère de l'économie des finances et de la relance, qui recense plusieurs plateformes responsables en distinguant les : plateformes alimentaires, initiatives locales, plateformes non-alimentaires.
Des produits frais : Légumes et fruits de saison, viande au détail ou en colis, charcuterie, produits laitiers, œufs, traiteur, pâtisseries, pain frais, kéfir ... Des produits secs, de l'épicerie : Farine, huile, condiments, légumes et fruits secs, tisane…