Le divorce par consentement mutuel présente de nombreux avantages : - Le processus est rapide, car il ne se compose que de quelques étapes et qu'il n'est plus nécessaire de passer par le juge. - Le coût est limité, car la procédure est rapide : seuls les honoraires des avocats sont à payer.
Les avantages d'un divorce par consentement mutuel. - La rapidité. Contrairement à un divorce par voie judiciaire, le divorce par consentement mutuel présente un gain de temps très avantageux. L'avocat adresse à l'époux qu'il assiste, par lettre recommandée avec accusé de réception, un projet de convention.
Divorcer devient également plus rapide.
En effet, les époux ne sont plus dépendants du délai d'attente, parfois long, pour obtenir une audience devant le juge. Le seul délai incompressible consiste en une période de réflexion de 15 jours, imposée entre la réception et la signature de la convention.
Après un divorce, 61% des femmes se disent en effet ravies d'être célibataires et déclarent vouloir le rester, contre 47% des hommes. Les hommes seraient-ils plus sentimentaux ? Ils seraient en tout cas 17% à conserver des sentiments pour leur ex-compagne contre 8% des femmes.
Il faut l'accord du conjoint, qui possède aussi l'autorité parentale. Si l'un des époux quitte le domicile conjugal avant cette audience, son départ peut être considéré comme un abandon du domicile conjugal (différent de l'abandon de famille). L'époux doit avoir eu l'intention de partir sans intention de retour.
Malgré le maintien des liens du mariage, la séparation de corps entraîne la fin des devoirs nés du mariage, et notamment : du devoir de cohabitation ; du devoir de fidélité ; de l'obligation de secours.
Cela peut être lié à une difficulté à laisser l'autre partir, voire dans certains cas une dépendance affective. Lorsque la décision de la séparation est prise, il est inutile de vouloir revenir en arrière, avec l'illusion que les choses pourraient s'arranger et la relation repartir comme avant.
Entre échec et nouvelle vie
Il ne faut quand même pas oublier que le divorce reste tout de même un échec. L'échec d'un mariage et d'une famille. Les gens oublient la réalité objective du divorce et se consolent en se disant qu'ils ne sont pas les seuls à qui cela arrive.
Les chercheurs soulignent que ces résultats concordent avec le fait qu'environ 50 % des couples séparés se remettent ensemble. Selon ces derniers, si l'on se remet avec son ex, c'est parce qu'on a des sentiments ambivalents au moment de la rupture.
Le divorce peut être demandé à tout moment, les époux n'ont pas à faire connaître les raisons du divorce. Les époux soumettent à l'approbation du juge aux affaires familiales une convention réglant toutes les conséquences pratiques du divorce pour eux et leurs enfants.
C'est là que réside le principal inconvénient du divorce par consentement mutuel : faute de recours à un juge qui pourrait trancher d'éventuels litiges, les ex-époux doivent faire l'effort de s'entendre sur les conséquences du divorce. Dans certaines situations, cela n'est pas aisé.
Les couples âgés divorcent souvent pour les mêmes raisons que les plus jeunes : infidélité, éloignement émotionnel, ennui, problèmes d'argent, désir de profiter d'une plus grande indépendance… Le divorce des seniors est également motivé par des facteurs liés aux changements intervenant dans la vie post-professionnelle.
La preuve de l'altération définitive du lien conjugal est apportée par tous moyens : copie d'un bail d'habitation avec une adresse autre que celle du domicile conjugal, factures de consommation d'eau et d'électricité avec mention de cette nouvelle adresse, témoignages et attestations, etc.
Lorsque les époux sont mariés sous le régime de la communauté, le divorce peut avoir des conséquences sur la société propre d'un époux. En effet, selon la provenance des fonds ayant permis l'acquisition des parts sociales, le conjoint peut revendiquer soit une partie de la valeur des parts, soit la qualité d'associé.
Comptez plutôt de 18 à 30 mois dans le cas d'un divorce pour faute. Pour bien faire, il vous faudra certainement éteindre vos instincts les plus vils.
Vous pourriez demander à lui parler, dans un endroit calme, sans la proximité des enfants. Vous pourriez lui demander ce qu'elle pense de votre relation puis lui faire part de vos propres ressentis et votre souhait de rompre.
Quand vous sentez que tous vos efforts sont vains, c'est peut-être le fondement de votre couple qui n'y est plus. Dans ce cas, il est inutile de rester dans une relation sans joie. S'il y a trop de confusion de sentiment, le divorce est une bonne solution. D'ailleurs, cette confusion peut amener l'autre à l'infidélité.
La douleur physique ressentie après la rupture a elle aussi été quantifiée : les femmes, là encore, sont les plus touchées, avec une douleur de 4,21 en moyenne, contre 3,75 pour les hommes.
Elle peut se sentir triste (surtout si votre relation a été longue, avec de beaux moments), ou bien apathique (c'est le cas si elle n'a pas vécu grand chose avec vous, qu'elle ne se sent pas vraiment connectée à vous). Elle peut se sentir hésitante, un peu perdue (si elle n'est pas sûre ce qu'elle fait).
La plupart du temps, les raisons d'un divorce après 50 ans sont liées à l'usure du couple, à des infidélités, ou à des violences (physiques et psychologiques). L'infidélité étant la première cause de divorce chaque année en France.
Généralement, il faut compter environ 2000€ (soit 1000€ par époux) pour un divorce amiable. Certes les prix trouvés sur internet débutent à environ 300€ par époux mais il s'agit de tarifs hors taxes et pour la situation la plus simple : couple sans enfant et sans bien immobilier.
Possibilité de quitter le domicile conjugal à la suite d'un accord entre les époux. L'un des époux a la possibilité de quitter le domicile conjugal à la suite d'un accord avec son conjoint et la signature d'un “pacte de séparation à l'amiable“, appelé aussi “attestation sur l'honneur de séparation“.