L'apéritif est jugé inoffensif, tonique et bon pour la santé. «Commencée par la suppression de l'absinthe, la lutte contre l'alcoolisme continue.
De couleur jaune pâle, son nez est plus prononcée que celui du Martini Rouge. On devine des notes de framboises, de citron et de caramel. Peu sucré (2,8% au lieu de l'habituel 16%), il a une teneur plus forte en alcool (18% au lieu de 16%). Il sert de base à de nombreux cocktails.
Dans chaque verre, versez 5 cl de Martini® Bitter et 15 cl de jus d'orange. Ajoutez quelques glaçons, pressez légèrement une rondelle d'orange avant de l'ajouter dans le verre. Il en existe différentes versions et beaucoup de légendes tournent autour.
L'Autrichien Tom Sipos a remporté le prix elit Vodka Art of the Martini, véritable Oscar de la profession, en marge de la cérémonie des World's 50 Best Restaurants à Bilbao.
Ce vermouth sec iconique, ingrédient phare du Martini Dry de James Bond, est apprécié pour son nez ample et intense. Côté sucré, le vermouth blanc ou bianco se présente comme un moelleux doté d'une teneur en sucre de 100 à 150 g par litre et un taux d'alcool d'environ 18 %.
Whisky ou Bourbon Whisky
En effet, le whisky contient environ 105 calories par portion et le Whisky Bourbon n'en contient que 97. L'avantage de ces boissons, c'est que vous pouvez vous détendre et boire sans vous sentir lourd ou ballonné.
Notez cependant que le vin rouge reste, nonobstant ses effets nocifs sur la peau, l'alcool le moins dommageable pour la santé. Consommé en petites quantités, il peut même avoir des effets positifs, comme la réduction des troubles de l'érection ou encore l'amélioration de la santé cardiovasculaire et du sommeil.
Le Martini peut donc être recommandé non seulement comme un produit absolument inoffensif, mais encore comme une boisson tonique et bienfaisante.» écrit Le Figaro du 21 septembre 1915.
En tant qu'accent gastronomique, l'olive complète les saveurs distinctes du vermouth et du gin, car la salinité de l'olive crée une juxtaposition délicieuse de saveurs croquantes et musclées.
Le Martini n'est pas en soit un alcool mais plutôt une marque d'alcool appelé vermouth. Le vermouth quant à lui est un vin aromatisé (de plante généralement). Il a été créé dans la deuxième moitié du XIXème siècle par deux associés (Martini et Rossi).
La recette de l'International Bartenders Association (IBA) est composée de : 6 cl de gin. 1 cl de vermouth blanc sec (Martini « extra dry » ou Noilly Prat) 1 jus de citron issu d'un zeste, et une olive.
Vin, sucre, extraits d'herbes et plantes aromatiques, arômes "Quinine", colorant : caramel E150b, correcteur d'acidité : citrate de sodium, conservateur : sorbate de potassium.
Côté Martini rouge, les amateurs l'apprécient pour son goût à la fois sucré et amer alors que les aficionados du Martini blanc le préféreront pour sa saveur plus douce aux notes de vanille et d'épices.
Préparation. Dans un verre haut rempli de glaçons, versez le Martini rouge, allongez avec du tonic. Ajoutez une rondelle d'orange pour décorer. Servez immédiatement.
Le Martini blanc c'est ce vermouth blanc italien aux notes de vanille et d'épices. Il se consomme le plus souvent avec de la glace ou du citron, mais aussi avec du soda, limonade ou tonic. Et dans le cas du Martini Blanc Tonic, il se marie parfaitement avec du Schweppes Tonic Original.
Dans un verre haut rempli de glaçons, versez le Martini blanc, allongez avec du tonic. Ajoutez une rondelle de citron vert pour décorer. Servez immédiatement.
Le favori de ses drinks est incontestablement le dry martini, que James déguste avec une recette bien précise qui préconise l'emploi de la vodka – associée à une dose de vermouth sec – et surtout «shaken not stirred !». Autrement dit préparée au shaker et non remuée à la cuillère comme il est d'usage.
Le pastis. Roi de la pétanque et du soleil, c'est aussi et surtout le roi du sucre. Avec 274 calories pour 100 ml, il se situe en haut du classement des alcools les plus caloriques.
Le vin rouge permettrait donc un plus grand flux dans les artères et les vaisseaux sanguins sans en modifier les capacités coagulantes. Ces bienfaits ont aussi été observés chez les buveurs de bière et de vin blanc, mais dans une moindre mesure. Le whisky et l'eau n'ont provoqué aucune modification.
"Le vin blanc peut effectivement engendrer certains calculs rénaux. La bière également car elle est très riche en purines, donc en acide urique. On déconseille aussi le champagne.
Celle qui cumule le plus de mauvais points est sans aucun doute la bière qui possède un fort index glycémique. Or, le sucre est stocké sous forme de graisses dans l'organisme, d'où l'expression « ventre à bière ». En outre, la bière contient du dioxyde de carbone qui provoque des gaz et des ballonnements.
Consommé en excès et sur au moins cinq ans, il peut par exemple engendrer de la rigidité artérielle. Cela fait en sorte que les artères perdent leur capacité à se dilater ou à se contracter en réaction aux fluctuations de pression sanguine, exerçant ainsi une pression indue sur le muscle cardiaque.