Comment faire : - Tout d'abord, déposer les fleurs de mimosa dans un récipient, faire bouillir l'eau et dès l'ébullition, la verser sur les fleurs de mimosa. - Couvrir et laisser infuser une heure.
Cueillez celui des jardins ou glanez celui poussé en pleine nature sans engrais chimique ni pesticide. Seules les fleurs sont comestibles, débarrassées de leurs feuilles et brindilles.
Prélever des rameaux terminaux de 20 cm environ. Supprimer les feuilles terminales si elles sont en cours de développement (molles). Sinon, les laisser telles quelles. Retirer deux à trois étages de feuilles à la base et piquer les boutures dans un lit de 20 cm d'épaisseur de sable humide étalé sur bâche chauffante.
pesez 0.5 gramme (1 cuillère DASH) d'absolue de Mimosa. ajoutez 1.5 ml d'huile ou d'alcool à 90° laissez l'absolue de Mimosa macérer quelques minutes dans l'huile ou l'alcool.
Les techniques de macération
Pour la confection d'un macérat huileux, il est nécessaire de se munir d'un bocal et de le remplir de plantes sèches en évitant de les tasser. Puis, il faut verser l'huile végétale sur les plantes de manière à les recouvrir entièrement.
Le meilleur est incontestablement A. retinodes, le mimosa des 4 saisons. Il fleurit en continu, par vagues plus ou moins fournies. Il n'est jamais couvert de fleurs mais forme des boutons régulièrement.
Le mimosa se taille généralement après sa floraison, à la sortie de l'hiver. Il convient de bien attendre la fin des épisodes de gel pour effectuer la coupe. Le mois de mars voire le début du mois d'avril est idéal.
En février c'est le moment où les mimosas sont en vente dans les jardineries. Si vous ne résistez pas à l'envie d'en acheter un, rempoter l' Acacia immédiatement dans un contenant de 40 à 50 cm de diamètre.
Les "mimosas" proposés dans le commerce sont des hybrides issus du croisement de l'Acacia dealbata avec d'autres acacias. Toxicité: Plante non toxique. C'est un abre à feuillage persistant pouvant atteindre une hauteur approximative de 20 mètres.
Les feuilles, les fleurs et surtout les baies sont toxiques. L'ingestion provoque une gastro-entérite hémorragique, et, dans les cas graves, des symptômes nerveux (tremblements musculaires, convulsions) et la mort.
Utilisez idéalement le mimosa sauvage qui pousse en pleine nature, sans engrais chimique ni pesticide. Avec le mimosa, vous pourrez confectionner des sirops qui parfumeront délicatement toutes sortes de pâtisseries mais vous pourrez aussi en faire des gelées, des guimauves et des bonbons.
Durant le printemps, arrosez le mimosa en pot tous les deux à trois jours. L'été, un arrosage quotidien est une bonne idée lorsqu'il fait chaud et venteux. En hiver, un arrosage par semaine suffit, si la plante est dans un local non chauffé.
Tout dépend si c'est un mimosa d'hiver ou non. Le mimosa supporte aussi très mal le gel. Au delà de -7°C, il faut impérativement le protéger pour lui éviter de mourir.
Mimosa malade ? Le mimosa est sensible sous nos climats aux insectes et maladies, par son branchage fragile et cassant. Les plus dangereux sont la gommose, due à un champignon lignicole entrainant l'écoulement de la gomme et les attaques de cicadelles pruineuses (Metcalfa pruinosa).
Où planter le mimosa ? Plantez vos mimosas au soleil, dans un endroit abrité des vents dominants, contre un mur et dans un sol parfaitement drainé. Les mimosas craignent les sols calcaires et les terres lourdes et argileuses. Privilégiez plutôt un sol léger, drainant et acide pour votre mimosa.
Comment tailler le Mimosa ? Le mimosa d'hiver se taille après floraison, en mars-avril. Coupez les branches défleuries de la moitié ou des deux tiers de leur longueur pour conserver un port compact à l'arbuste.
Il est possible de planter un mimosa au jardin bien au-delà de la Provence : le littoral Atlantique, la Bretagne l'ont adopté depuis longtemps ainsi qu'une grande partie du territoire, sauf les zones de montagne et le Nord-Est où le froid glacial empêche sa plantation en extérieur.
Albizia ou arbre de soie (Albizia julibrissin), ou mimosa de Constantinople.
Ses atouts. Elle est antitussive, anti-inflammatoire, antalgique, désinfectante cutanée, astringente, cicatrisante, diurétique, laxative douce... Ses feuilles simplement mâchées soulagent aussi les aphtes et irritations des gencives ou encore de la bouche.
1- Tout d'abord, il faut réaliser le macérat mère. Pour cela, les bourgeons frais sont broyés et mis à macérer au 1/20ème dans un solvant composé de 50% de glycérine et 50% d'alcool à 90°, cela pendant 3 semaines.
Couramment, ce sont les huiles de tournesol ou d'olive qui sont les plus utilisées pour faire les macérâts. Les macérâts huileux permettent d'obtenir les principes actifs des plantes avec lesquelles on ne peut obtenir une huile végétale. On peut donc faire macérer des fleurs, feuilles, racines et graines.