Dans sa relation avec son client, le banquier est principalement tenu à deux séries d'
Le code pénal définit deux types de responsabilités, auxquelles les associations, en tant que personnes morales, sont soumises : la responsabilité civile et la responsabilité pénale. La responsabilité peut naître soit du fait personnel, soit du fait d'autrui, soit du fait des choses.
Votre banquier a pour obligation de vous fournir toutes les informations indispensables et nécessaires à votre compréhension d'un service, d'un placement ou d'un crédit. Sur la base des éléments fournis, vous devez être en mesure de vous forger un avis et de prendre une décision en toute connaissance de cause.
La responsabilité de la banque peut être engagée lorsque son comportement ou ses agissements ont causé un préjudice à leur client. C'est notamment le cas en cas de rupture abusive d'un crédit. Mais elle doit également veiller à ce que l'accord d'un prêt soit réfléchi par rapport à la situation financière de son client.
Le banquier est soumis à certaines obligations envers son client : une obligation d'information de conseil et de mise en garde. L'intensité de ces obligations peut varier selon la nature de l'opération et le degré de qualification du client.
Ce contrôle existe pour éviter les usurpations d'identité, mais également afin d'éviter que des opérations soient effectuées par une personne n'étant pas titulaire du compte. Mais il y a également une volonté d'éviter le blanchissement d'argent par le biais du compte bancaire (art L 565-5).
Les obligations sont des titres utilisés par les entreprises ou les États pour emprunter de l'argent sur les marchés financiers. En achetant des obligations, vous recevez un intérêt en rémunération de ce prêt – on l'appelle le « coupon » -, et au terme prévu, l'émetteur vous rembourse le montant emprunté.
L'établissement de crédit prêteur de deniers est débiteur de plusieurs obligations envers l'emprunteur. Il doit notamment mettre en garde l'emprunteur, non averti, ou profane, sur les risques d'endettement liés à l'emprunt.
Si les banques tentent par tous les moyens de faciliter la tâche à ses clients en ce qui concerne les diverses opérations bancaires, il arrive que certaines manipulations - comme par exemple la fermeture de compte bancaire - restent assez embêtantes.
Fermer votre compte sans prévenir, autoriser un prélèvement sans votre accord, vous obliger à prendre une carte bancaire…
Le droit bancaire énumère l'ensemble des règles relatives aux opérations bancaires d'une part et aux relations entre les acteurs de secteur bancaire d'autre part. Qualifiée de droit professionnel, cette matière régit principalement les rapports professionnels dans le commerce de la banque.
Lors de la conclusion d'un contrat de crédit, le banquier doit aussi respecter un devoir de mise en garde. Ce dernier doit alerter ses clients non avertis de l'impact du crédit sur leurs ressources personnelles et du risque d'endettement qu'il occasionne.
La responsabilité peut alors être : une responsabilité pour faute : la victime doit alors démontrer une faute de l'administration ; une responsabilité sans faute : il faut seulement prouver que le dommage est en lien avec une activité de l'administration, qui n'a pas commis de faute pour autant.
De fait, la responsabilité individuelle mondiale implique le sentiment profond d'une obligation éthique et morale de mener une action positive, conscients que des personnes souffrent et qu'elles ont besoin de notre aide et de notre soutien.
La Responsabilité civile professionnelle, également appelée RC Pro, est une assurance qui vise à protéger votre entreprise contre les dommages physiques et immatériels qu'elle pourrait causer à un tiers dans le cadre de votre activité professionnelle de prestation.
Les fondements de la responsabilité du professionnel sont ceux d'un mandataire et d'un dépositaire. Cela implique pour invoquer une responsabilité du banquier une faute de ce dernier. Le virement, consiste pour le banquier à recevoir un ordre et une autorisation d'exécution de la part du client.
Le devoir de conseil est né de l'inégalité entre le professionnel qui détient le savoir sur le produit qu'il vend et le client qui n'a aucune connaissance dans les assurances. La société de courtage ou l'organisme assureur doit répondre aux intérêts du consommateur en le guidant au mieux.
Tracfin, pour « Traitement du renseignement et action contre les circuits financiers clandestins ». Cet acronyme désigne une cellule de renseignement financier créée en 1990 et rattachée au ministère de l'Economie et des Finances. Sa mission : lutter contre le blanchiment d'argent et la fraude fiscale.
Le banquier est tenu à une obligation de mise en garde également en fonction de la complexité du financement. Il doit exercer ce devoir en se renseignant sur la situation financière et personnelle de l'emprunteur et caution non avertie, et par la suite le prévenir s'il encourt un risque d'endettement.
La convention de compte de dépôt est le contrat principal qui lie la banque et son client et qui précise les conditions d'utilisation du compte ainsi que les droits et les obligations de chacun.
Principales différences entre les actions et les obligations
Rappelons tout d'abord qu'une action est un titre de propriété et une obligation, un titre de créance. En achetant une obligation vous avez tout simplement prêté de l'argent en échange d'une rémunération connue dès le départ.
Le mot "créance" désigne un droit que détient une personne dite le "créancier" à l'encontre d'une autre personne dite le "débiteur" ou la "personne débitrice" qui lui doit la fourniture d'une prestation. Une même prestation peut concerner plusieurs créanciers ou plusieurs débiteurs ou les deux à la fois.
Une attestation bancaire est un document signé par votre banque qui certifie votre situation financière et l'existence d'un compte bancaire actif dans leur établissement.