La plupart des récits obéissent à une structure type qui comprend : une situation initiale, un événement perturbateur, des péripéties et une situation finale.
Un récit s'organise autour d'une intrigue, c'est-à-dire une suite d'actions ou de péripéties. Le schéma narratif est la façon dont se déroule le plus souvent cette intrigue : Un état initial. Un élément perturbateur qui dérange l'état initial et déclenche des péripéties.
Le schéma narratif. Il s'agit de la présentation des lieux, du moment où se passe le récit et des personnages. L'imparfait à valeur d'arrière-plan est le plus souvent utilisé. Pour évoquer le passé des personnages, ou du lieu, on utilisera le plus-que-parfait.
Le temps de narration est le temps principal d'un récit en français : passé simple, passé composé ou présent.
Le nom incipit (du verbe latin incipere : « commencer », et prononcé /ɛ̃.
L'ordre du récit Lorsqu'un narrateur raconte des évènements dans l'ordre où ils ont eu lieu, on dit que le récit est chronologique. Mais le narrateur peut aussi faire des retours en arrière (appelés flashbacks au cinéma), pour évoquer par exemple le passé d'un personnage.
Le récit est le texte, la forme orale ou écrite qui présente une histoire. L'histoire est ce que le récit raconte : l'intrigue, les évènements, etc. La narration est l'acte de mettre l'histoire en récit, c'est l'action de raconter l'histoire.
Dénouement ou élément de résolution : il met un terme aux actions et conduit à la situation finale. Situation finale ou explicit : c'est le résultat, la fin du récit qui redevient stable.
De manière générale, la narration se fait après que les évènements aient eu lieu. Le temps de la narration est donc le passé. C'est ce qu'on appelle la narration ultérieure. Le passé simple et l'imparfait vont abonder dans les textes où l'histoire est racontée à l'aide d'une narration ultérieure.
Elle présente l'atmosphère de départ qui est très souvent un moment calme ou paisible. On y donne les informations sur : le lieu, l'époque de l'action et les personnages de l'histoire.
– choisir un narrateur (« je » ou « il ») ; – respecter le schéma narratif (situation initiale, élément transformateur, péripéties, résolution, situation finale) ; – enchaîner les idées de manière logique et relier les faits à l'aide de termes exprimant le temps et le lieu ; – utiliser les temps du passé ou du présent.
Une méthode très simple pour repérer la structure d'un texte est la méthode QQOQCP. On l'utilise aussi, cette méthode, pour concevoir un texte d'ailleurs. Si le texte suit cette structure, il est facile, pour le lecteur de la repérer. Souvent, les intertitres reprennent d'ailleurs des éléments de la structure.
La pause commentative [Voix narrative, VI] permet au narrateur d'intervenir en personne dans son récit, par exemple pour donner son avis, porter un jugement sur son personnage, ou encore pour proposer une information sur un élément factuel ou culturel.
L'élément perturbateur, le déclenchement. Les péripéties. L'élément de résolution (dénouement)
Le texte à dominante narrative sert à : • raconter une histoire ou des événements imaginaires, réels ou documentaires. La séquence narrative est la séquence dominante dans un texte narratif. Elle comprend, dans un récit à 3 temps : • un début; • un milieu; • une fin.
Le schéma narratif : exemple du chaperon rouge
Dans la situation initiale, tout va bien, le petit chaperon rouge vit avec sa maman et va rendre visite à sa grand-mère. Puis arrive l'élément perturbateur et c'est bien sûr, la rencontre avec le loup. Les péripéties, c'est tout ce qui se passe dans la forêt après.
La première de couverture (en) est la première page extérieure d'un livre. Elle est aussi appelée « plat de devant » dans le cas des livres cartonnés. Elle n'est pas numérotée et accueille généralement le titre et le nom de l'auteur de l'ouvrage.
L'analepse – nom féminin (du grec ancien ἀνάληψις / análipsis) ou retour en arrière, dans un récit enchâssant, est une figure de style. Elle correspond à un retour en arrière, au récit d'une action qui appartient au passé.
Le prologue ne narre pas l'intrigue principale. Il contextualise. Au contraire du premier chapitre ou du premier acte, qui lui même traite des peripéties, le prologue se situe hors de l'action principale il ne doit pas mettre en scène les héros Pour un prologue, un narrateur omniscient peut prendre le relai.
Un texte narratif décrit une succession de faits qui s'enchaînent. Il est caractérisé par des verbes d'action et de mouvement qui indiquent la progression de l'histoire, à laquelle participent un ou des personnages. Le narrateur peut, aussi, être un personnage de l'histoire qu'il raconte.
Si le narrateur se place après ce qu'il raconte, il s'agit d'un récit passé, on emploie donc plus souvent le passé simple / imparfait. Si le narrateur raconte des événements qu'il est actuellement en train de vivre, il s'agit d'un récit généralement au présent.