Il rencontre des difficultés à trouver le bon mot pour exprimer ses idées et n'est compris que par son entourage. À partir de 4 ans, l'enfant ne dispose que d'un vocabulaire restreint et imprécis. Il ne fait que des phrases courtes ou mal construites, a du mal à raconter des événements simples et récents.
L'expression « troubles spécifiques du langage et des apprentissages » regroupe les troubles en DYS : dyslexie, dyspraxie, dysphasie, ainsi que certaines manifestations induites de ces troubles comme la dyscalculie, la dysgraphie ou la dysorthographie. Les troubles de l'attention font aussi partie de cet ensemble.
Ces troubles regroupent les troubles du langage, de la parole et le bégaiement. – Les troubles du langage sont des déficits précoces dans le développement du langage expressif et (ou) de la compréhension.
Différents types de communication. Il existe quatre types de comportements de communication : agressif, assertif, passif et passif-agressif.
On considère que 6 à 8 % de la population française souffre de troubles cognitifs spécifiques (troubles Dys avec altération de l'attention). Depuis 2005, les troubles cognitifs sont reconnus comme un handicap.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé praxie). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7 % des enfants de 5-11 ans.
Innée et souvent durable, la dysphasie fait partie des troubles les plus graves. Et ce, parce qu'elle touche directement la base fondamentale de tout apprentissage : le langage.
Parmi les étudiants souffrant de troubles spécifiques de l'apprentissage et bénéficiant de services d'éducation spécialisée, 70 à 80 % présentent des déficits en lecture. La dyslexie est la cause la plus fréquente des difficultés de lecture, d'écriture et d'orthographe.
La dyslexie "mixte" associe les formes phonologiques et de surface. La dyslexie visuo-attentionnelle perturbe l'analyse des mots et des textes, à cause d'un trouble de l'attention. Elle se manifeste par la substitution de mots visuellement proches (asseyez/essayez) et le fait de sauter des lignes en lisant un texte.
Voici quelques signes de difficultés de langage à surveiller selon l'âge : À 18 mois : votre enfant ne cherche pas à communiquer et n'imite pas les sons et les mots. À 2 ans : il a de la difficulté à comprendre les consignes et les questions du quotidien ou n'utilise pas deux mots ensemble (ex. : papa parti).
Le trouble primaire du langage découle d'un problème neurologique présent dès la naissance : chez les enfants dysphasiques, le cerveau fonctionne de manière atypique en ce qui concerne l'apprentissage du langage. Ce trouble peut donc avoir des origines génétiques, même si aucun gène spécifique n'y a encore été associé.
Les symptômes de la dyscalculie
Difficulté à compter sur ses doigts. Difficultés à mémoriser les faits arithmétiques (les tables) Erreurs et lenteur en calcul.
La dysgraphie est un trouble qui affecte l'écriture et son tracé (du grec dus- difficulté et graphein- écriture). L'écriture manuelle est soit trop lente, soit illisible, soit fatigante, demandant dans tous les cas un effort cognitif majeur.
La dyslexie est un trouble d'apprentissage d'origine neurologique, et plusieurs études suggèrent qu'elle est héréditaire. Les enfants présentant une dyslexie ont de la difficulté à décoder les mots écrits. Certaines mesures peuvent être mises en place pour faciliter l'apprentissage de la lecture malgré la dyslexie.
Les premiers signes de dyslexie apparaissent parfois vers l'âge de 1 ou 2 ans, lorsque les enfants apprennent à produire des sons. Les enfants qui ne prononcent pas leurs premiers mots avant l'âge de 15 mois ou leurs premières phrases avant l'âge de 2 ans ont un risque plus élevé de développer une dyslexie.
Une communication non centralisée. L'absence de système de feedback pour assurer la communication bidirectionnelle. L'absence de confiance et le manque de crédibilité des responsables. Le désalignement sur les objectifs et la marque.
Le niveau de connaissance et l'outillage intellectuel très souvent lié aux études, quelquefois au milieu socio-économique, peuvent être aussi un obstacle à la communication. Exemples : utilisation de mots trop compliqués ou non adaptés à l'auditoire.
le contexte : c'est tout ce qui peut perturber la communication. Les coupures dans une visioconférence, le bruit de la rue pendant une conversation, une mauvaise qualité de papier ou d'impression qui ne permet pas de bien lire un texte, etc.