On distingue parfois deux formes de croissance : la croissance extensive est proportionnelle à l'augmentation des quantités des facteurs de production alors que la croissance intensive est liée à l'augmentation de la productivité du travail et/ou du capital.
La croissance extensive désigne l'augmentation des quantités de facteurs de production. Cette croissance permet la création de nouveaux emplois. La croissance intensive correspond à l'augmentation de la production par l'intermédiaire des gains de productivité.
La croissance économique se manifeste par une augmentation significative et durable de la production de biens et de services. Cette variation positive se mesure grâce à l'évolution annuelle de l'indicateur du produit intérieur brut (PIB), évalué en monnaie constante afin de prendre en compte l'inflation.
La croissance économique dépend de l'utilisation des facteurs de production. Ces facteurs de production sont le capital, le travail et la productivité globale des facteurs.
Le développement de marchés : une offre existante sur de nouveaux marchés. Le développement de produits : proposer une nouvelle offre sur des marchés existants. La diversification : s'engager sur des domaines d'activités dans lesquels nous ne sommes pas encore présents, tant en termes d'offres que de marchés.
Les économistes divisent traditionnellement les facteurs de production en quatre catégories : la terre, le travail, le capital et l'entrepreneuriat.
La croissance économique présente des aspects positifs quant aux problèmes du chômage et de la pauvreté. Elle permet en effet, par le biais de la productivité, d'accroître les quantités de bien et services disponibles et réduire les inégalités. Le développement peut à son tour favoriser la croissance.
Certaines conséquences de la croissance économique comme la pollution et les atteintes à l'environnement, l'accentuation des inégalités sociales ou l'épuisement des ressources naturelles (pétrole, métaux notamment) sont souvent considérés comme des effets pervers qui obligent à distinguer croissance et progrès.
On peut envisager le PIB, c'est-à-dire le produit intérieur brut, comme étant la note globale figurant sur le bulletin d'évaluation des résultats économiques d'un pays ou d'une région. (Image d'un bulletin scolaire.) C'est l'une des méthodes employées pour mesurer la taille et la croissance de l'économie.
Alors que la croissance est d'abord un phénomène quantitatif de nature économique, le développement est mouvement continu sur le long terme, de nature qualitative et quantitative, qui modifie durablement les structures économiques, sociales et démographiques de la société.
Les facteurs de production regroupent les moyens de production durables qui contribuent à la production : le travail, le capital et, parfois, la terre.
L'État s'attache à reconstruire le pays, puis à contrôler le rythme de la croissance économique. L'Etat cherche ensuite à résoudre la crise des années 1970 et à développer une couverture sociale. Avant cette crise, l'État veut conserver son équilibre budgétaire.
La croissance économique correspond à l'augmentation de la production de biens et de services d'un ensemble économique sur une période donnée.
Le facteur travail (main-d'œuvre) et le facteur capital (ensemble des moyens de production durables tels que les machines, les outils, les logiciels,...) sont à l'origine de croissance économique (hausse de création de richesse, soit du PIB en volume calculée en général sur un an) extensive et intensive.
Cette croissance solide est principalement due à deux moteurs : la consommation des ménages et l'investissement, tandis que le commerce extérieur et les variations de stocks pèsent négativement.
L'indice de développement humain (IDH) correspond à un indice composé calculé chaque année par le PNUD afin d'évaluer le niveau de développement des pays en se fondant non pas sur des données strictement économiques, mais sur la qualité de vie de leurs ressortissants.
L'inventeur du PIB, Simon Kuznets, prévenait déjà en 1934 que « la mesure du revenu national peut difficilement servir à évaluer le bien-être d'une nation ».
"Les deux effets principaux de notre régime de croissance depuis la révolution industrielle et en particulier depuis les années 1950 sont : l'effet sur la planète, sur l'environnement, sur le changement climatique et le deuxième effet, qui commence plutôt dans les années 1980 avec l'émergence des marchés financiers, ce ...
La croissance se heurte à des limites sociales (les inégalités) et écologiques (les externalités négatives, les gaz à effets de serre, l'épuisement des ressources naturelles). Une externalité est un effet non voulu de la production.
La croissance économique mesure l'augmentation de la richesse produite pendant une période donnée. La richesse produite est mesurée par le PIB. Le taux de croissance correspond au taux de variation entre le produit intérieur brut (PIB) au début de la période et le PIB à la fin de la période considérée.
Une hausse globale des prix
On parle d'inflation lorsque les prix augmentent globalement, et non uniquement les prix de quelques biens et services. Quand tel est le cas, avec le temps, chaque euro permet d'acheter moins de produits. Autrement dit, l'inflation érode progressivement la valeur de la monnaie.
Tirole, il semblerait que la Croissance Économique mondiale soit face à 3 enjeux majeurs sur le long terme : Le climat, les inégalités et la démographie.
PIB (Produit intérieur brut) : le calcul
PIB = sommes des valeurs ajoutées + TVA + droits et taxes sur les importations - subventions sur les produits.