Ainsi, selon Le bon usage de Grevisse, les signes de ponctuation sont : le point (.), le point d'interrogation (?), le point d'exclamation (!), la virgule (,), le point-virgule (;), le deux-points (:), les points de suspension (…), les parenthèses ( ), les crochets [ ], les guillemets « », le tiret (—) et la barre ...
On recense traditionnellement en français onze signes de ponctuation qui s'insèrent dans le texte : le point . , le point d'interrogation ? , le point d'exclamation ! , la virgule , , le point-virgule ; , le deux-points : , les points de suspension … , les parenthèses ( ) , les crochets [ ] , les guillemets « » , le ...
Les points de suspension (…), aussi appelés trois points ou anciennement points suspensifs, indiquent que la phrase est laissée en suspens (comme l'indique le terme suspension), soit parce que le locuteur a été interrompu, soit parce que l'auteur veut marquer une pause; il revient alors au lecteur d'imaginer la suite.
Le point milieu (aussi appelé point médian) permet de séparer les mots. Il était notamment parfois utilisé en latin et en grec pour séparer les mots à la place des espaces.
Les deux points séparent toujours des éléments qui sont unis par un lien logique étroit. Ce signe est également appelé les deux-points, le double point et, plus particulièrement dans la langue de la typographie, le deux-points.
Le deux-points, ou double point, est un signe de ponctuation constitué de deux points alignés l'un au-dessus de l'autre.
On utilise le deux-points pour annoncer ce qui s'en vient dans le texte, que ce soit un exemple, une énumération, une explication, une citation, un discours direct, une analyse ou un récit. Le deux-points sert aussi à annoncer un jugement, une synthèse, une conclusion, une cause, une conséquence, etc.
Le point (du latin punctum, d'où ponctuation) est un signe de ponctuation qui sert à marquer la fin d'une phrase, d'un syntagme, d'un groupe de sens important, et peut donc marquer graphiquement une pause relativement longue dans un énoncé.
On place le point d'exclamation après un mot, une locution ou une phrase exprimant un sentiment tel que la joie, la surprise, l'indignation, l'étonnement, l'ironie, etc.
Se dit de plusieurs éléments ou personnes différentes présentant de nombreuses similitudes, qui se ressemblent en plusieurs points. Exemple : Partageant les mêmes goûts pour la musique et la littérature, ces deux amis avaient de nombreux points communs.
Infractions à 4 points
Non respect de l'arrêt au feu rouge fixe ou clignotant – bruler un feu.
La phrase impérative (dite aussi injonctive) se termine par un point ou un point d'exclamation. Elle sert à exprimer : un ordre : Écoute-moi !
Le point. Le point indique la fin d'une phrase. Il suit directement le dernier mot et est suivi d'une espace. Sauf pour les titres d'œuvres (livre, film…), une phrase nominale, ou sans verbe, se termine par un point.
En géométrie euclidienne élémentaire
Le point, selon Euclide, est « ce qui n'a aucune partie ». On peut aussi dire plus simplement qu'un point ne désigne pas un objet mais un emplacement. Il n'a donc aucune dimension, longueur, largeur, épaisseur, volume ou aire. Sa seule caractéristique est sa position.
Dans un dialogue, ils permettent de représenter l'hésitation, le sous-entendu ou l'omission volontaire, à des fins suggestives. On y va ainsi des « Euh… je ne vois pas de quoi vous voulez parler », jusqu'au « Vous voyez ce que je veux dire, n'est-ce pas ?… ».
Les points de suspension servent principalement à : Signaler une interruption, notamment dans une énumération. Ils servent en outre à marquer une réticence, et peuvent exprimer les sentiments les plus divers, comme la crainte, l'étonnement, la confusion : J'ai lu des rapports, des comptes rendus, des procès-verbaux…
toute marque pouvant donner une information quant au lieu, à la distance, etc.
Une marque discrète de désaccord
"Les trois petits points peuvent être un marqueur d'opposition que l'on n'est pas capable d'exprimer directement.
- Le point (final) se place à la fin d'une phrase et en marque ainsi la limite droite, la limite gauche étant marquée par la majuscule. Le point final est directement placé après le dernier mot. Pour commencer une autre phrase, il faut une espace entre le point final et la majuscule de la phrase suivante.
Le point-virgule marque une pause de moyenne durée. Le point-virgule se place, en principe, entre des propositions indépendantes mais reliées par une même action et faisant partie d'une même idée (parfois contradictoire). (Il est beau, gracieux, sublime ; il ne sera jamais touchant.)
Les signes de ponctuation (au nombre de dix) donnent des indications précieuses pour la lecture et la compréhension du texte. Ils marquent les pauses et les inflexions de la voix dans la lecture et fixent les rapports entre les propositions et les idées. Le point marque la fin d'une phrase dont le sens est complet.
Le point-virgule marque une pause plus importante et plus longue que la virgule lors de la lecture. L'intonation est marquée, autant que le point en fin de phrase. Il est encadré d'une espace entre le mot qui le précède et le mot qui le suit.
Le point d'exclamation peut être doublé, triplé et même combiné au point d'interrogation pour exprimer l'incrédulité, l'étonnement. Ce procédé stylistique n'est cependant pas à recommander : Il est parti sans parapluie!!