La personne atteinte se sent envahie par des pensées incontrôlées et répétitives, qui lui traversent l'esprit malgré son désir ou sa volonté. La personne est incapable de cesser d'avoir ces pensées, même si elle sait le plus souvent qu'elles n'ont pas de sens. Ces pensées deviennent alors des obsessions.
envies impérieuses et impulsives, de faire un acte aberrant, absurde. Très souvent, ces envies sont de nature agressive, injurieuse, amorale ou sexuelle. Par exemple, l'idée absurde de cracher sur quelqu'un sans raison. idées fixes, toujours les mêmes qui reviennent de façon récurrente.
Anxiété : lorsqu'une personne souffre d'anxiété, cela peut entraîner des pensées intrusives. En fait, ces pensées sont souvent liées à des situations sociales inconfortables ou à la possibilité d'une mort ou d'un malheur. Stress : le stress peut également être l'une des principales causes des pensées intrusives.
Les causes des troubles obsessionnels compulsifs
Les causes des dysfonctionnements cérébraux conduisant aux troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sont encore inconnues. Il existe une prédisposition génétique, c'est à dire un risque augmenté de développer la maladie pour les apparenté au 1er degré d'un patient.
Une activité physique est recommandée ainsi que la relaxation. Après consultation d'un médecin, certains médicaments comme les neuroleptiques et les antidépresseurs peuvent réduire l'apparition d'obsessions. Des thérapies de groupe ou des produits de santé naturelle peuvent apaiser et réduire les obsessions.
Au moment où vous voulez bloquer la pensée, essayez de mettre une limite et de déplacer cette préoccupation à une certaine heure. Il peut être plus facile dans ces cas-là de déplacer son attention sur une autre activité : comme faire du sport, voir un ami, regarder un film ou une série, faire des courses ou cuisiner.
Le terme tachypsychie provient des mots grecs « tachy », qui signifie rapide et « psyche » qui signifie âme. Il s'agit non pas d'une maladie, mais d'un symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée et des associations d'idées créant un état de surexcitation.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.
Le traitement repose sur la psychothérapie psychodynamique, la thérapie cognitivo-comportementale et la prise d'inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine. (Voir aussi Revue générale des troubles de la personnalité en apprendre davantage .)
Il faut en premier lieu garder toujours à l'esprit que ceux qui souffrent de troubles obsessionnels compulsifs TOC ne peuvent pas éviter de le faire ou de le penser. Ceci ne signifie pas qu'ils sont faibles, sans volonté, voire paresseux.
Alors que dans l'amour tout coule, dans l'obsession apparaissent des réactions disproportionnées qui peuvent être mal adaptées à la réalité et avoir des conséquences négatives pour les deux personnes.
Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) se traduisent par des obsessions (pensées dérangeantes, répétitives et incontrôlables), causant une forte anxiété. Celle-ci est atténuée par la mise en place de comportements répétitifs, irraisonnés et incontrôlables (les compulsions).
Lorsque la passion devient une obsession, elle n'est plus saine ni bénéfique. Cela commence à prendre le contrôle de nos vies, à consommer nos pensées et à contrôler nos actions. Une obsession est dévorante et peut conduire à des comportements néfastes.
Rester à l'écoute de ses émotions (positives).
Et lorsqu'on va les écouter, on sait qu'il se passe quelque chose en nous. Une fois qu'elles ont fait leur rôle, qu'on les a écoutées, elles vont se calmer naturellement. Et si une émotion se calme, les ruminations, les pensées liées vont également se passer.
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale. Elle se traduit par une lamentation répétitive focalisée sur les symptômes de la détresse et/ou sur ses causes et conséquences possibles ou supposées.
« Je suis vraiment stupide d'avoir fait une erreur pareille » ou encore « Ça ne sert à rien d'essayer, je n'y arriverai jamais », ne provoquent que de la souffrance. C'est ce qu'on appelle les pensées parasites : elles prennent possession de notre esprit et aspirent notre énergie.
Pour ne pas vivre dans la projection future, il faut essayer de tout faire consciemment, manger, parler, marcher, observer. Je dirais même plus: CONTEMPLER. Prendre le temps de faire en pleine conscience, de s'étonner de la beauté qui nous entoure et ainsi apprécier le moment présent de façon exponentielle.
Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers. «Dans la nature, on cherche le prédateur. En l'absence de prédateur ou de problèmes extérieurs, le cerveau continue de chercher d'autres menaces», explique-t-il.
Ces pensées récurrentes peuvent devenir des ruminations" ajoute la psychothérapeute. Avoir des pensées intrusives ne signifie pas forcément qu'on a un problème de santé mentale. "Dans de nombreux cas, elles sont juste une réaction temporaire à des situations stressantes ou angoissantes" rassure la spécialiste.
Les personnes atteintes du trouble de la personnalité obsessionnelle compulsive peuvent être trop zélées, difficiles et rigides sur les questions de moralité, d'éthique et de valeurs. Elles appliquent des principes moraux rigides à elles-mêmes et aux autres et sont très critiques à leur propre égard.