L'autorité parentale va créer toute une série de droits et devoirs visant à protéger l'intérêt de l'enfant, assurer sa « sécurité, sa santé, sa moralité, son éducation et permettre son développement dans le respect dû à sa personne ». Ces obligations sont prévues aux articles 371-1 et suivants du Code civil.
Obligations des enfants envers un parent
Les descendants (enfants, petits-enfants) ont l'obligation d'assurer la subsistance de leurs ascendants (parents, grands-parents...), c'est-à-dire la satisfaction de leurs besoins élémentaires (nourriture, entretien).
En tant que parent, vous devez élever et éduquer vos enfants, et veiller à leurs biens. Vous avez également le droit de les représenter légalement. Dans tous les pays de l'UE, la mère exerce automatiquement la responsabilité parentale de son enfant, tout comme le père marié.
Le juge civil peut vous retirer totalement votre autorité parentale si vous mettez en danger la sécurité, la santé ou les valeurs de votre enfant : Mauvais traitements (maltraitance psychologique, pressions morales) Consommation habituelle et excessive d'alcools ou de drogues.
On leur doit obéissance, c'est du respect également. nous devons les soutenir, les écouter comme eux le ferait pour nous. nous devons également les aider, moralement, financièrement s'ils venaient à rencontrer des problèmes et qu'ils ne pourraient plus subvenir à leurs besoins. Nous ne pouvons abandonner nos parents.
Le respect entre les parents et les enfants est quelque chose de fondamental pour construire un lien solide, une relation saine et un sentiment fort capable de croître avec le temps. Cependant, le chemin pour y arriver n'est pas toujours aussi facile qu'il n'y paraît.
Si vous avez été retiré de la garde de votre mère au moins 36 mois avant vos 12 ans, vous pouvez être exonéré de l'obligation alimentaire. Sinon vous la devez, le tribunal jugera en quelle proportion selon vos moyens. Ce sera éventuellement le moment de ressortir la donation du placard, mais pas sûr.
À 16 ans. Il a le droit de choisir, seul, un médecin traitant, de s'immatriculer à la sécurité sociale, d'avoir une carte vitale et d'ouvrir un dossier médical personnel. Il peut aller de lui-même à la mairie pour se recenser.
Il s'agit d'un manque ou d'une absence de soins nécessaires pour répondre à ces besoins selon son âge et son niveau de développement. »
L'autorité parentale peut être retirée au parent qui représente un danger pour son enfant ou lorsqu'il se désintéresse de lui. Le retrait peut être total ou partiel et pour l'obtenir, il faut saisir le juge civil, avec l'assistance d'un avocat.
Comme son nom l'indique assez bien, le parent négligent est celui qui «vit le travail parental comme une insupportable responsabilité supplémentaire» et fait tout pour s'en acquitter le moins possible.
Dans 72,1% des divorces, la garde des enfants revient à la mère, mais cette proportion est en diminution régulière ces dernières années au bénéfice de la garde alternée, selon des statistiques du ministère de la Justice datant de 2010, communiquées lundi.
Le droit de visite et d'hébergement n'est pas automatique pour le parent qui n'a pas la garde. Même s'il peut être convenu à l'amiable entre les parents ou fixé par le juge, certains critères peuvent enlever ce droit : La maltraitance. Des conditions inadaptées aux enfants.
Le principe est que le parent chez qui l'enfant ne réside pas habituellement doit prendre en charge les trajets. Il doit donc venir chercher l'enfant et le ramener au domicile de l'autre parent. Les frais relatifs à ces trajets sont également à son entière charge.
L'enfant qui souhaite ne pas payer les dettes du parent décédé peut refuser la succession (l'héritage). En revanche, il est responsable des dettes de son parent décédé s'il accepte sa succession. L'enfant peut également accepter la succession à concurrence de l'actif net.
Le père légal peut en outre introduire une action en justice pour abandonner son enfant. Il doit néanmoins démontrer qu'il y a eu un vice de consentement au moment où il a reconnu l'enfant. Selon certaines conditions, le tribunal de la famille peut intenter une action pour contester la reconnaissance d'un enfant.
Par définition on ne peut pas "s'obliger" à aimer, l'amour est un sentiment qu'on éprouve ou pas ! Il n'y a pas d'obligation à aimer ses parents, par contre, nous sommes dans obligation de respecter ceux qui nous ont donné la vie et qui nous ont élevé.
La personne qui souffre d'un manque de respect chronique finit par penser qu'en fait, elle ne mérite pas le respect. Son estime d'elle-même chute. Et dans un double mouvement, l'autre se met à le penser également. Lorsque la machine est enclenchée, il n'est plus possible de faire marche-arrière.
« Jusqu'à sa majorité (18 ans), ce sont les parents qui décident du lieu de vie de l'enfant, ou le juge aux affaires familiales s'ils ne parviennent pas à trouver un accord. Un enfant mineur ne peut donc pas décider de son lieu de résidence, mais il peut donner son avis.
Pour priver un parent de l'exercice de ses droits parentaux, il faut présenter au tribunal une action en déchéance de l'autorité parentale.
Elle montre comment trop souvent les adultes donnent le contrôle aux enfants, parce qu'ils ont renoncé à faire preuve d'autorité et perdu confiance en eux-mêmes. Ils sont motivés par le désir de favoriser le développement de l'enfant de façon réfléchie et respectueuse.