Dans les soirées étudiantes, il est souvent transféré dans des ballons de baudruche afin d'être aspiré par la bouche. L'effet recherché : une euphorie comparable à l'ivresse, des rires incontrôlables, des distorsions visuelles et auditives, des modifications de la voix...
La consommation du protoxyde d'azote présente des risques.
Des risques immédiats : asphyxie par manque d'oxygène, perte de connaissance, brûlure par le froid du gaz expulsé, désorientation, vertiges, chutes notamment.
Le protoxyde d'azote, aussi appelé « gaz hilarant » ou « proto », est initialement un gaz utilisé dans le milieu médical pour ses propriétés anesthésiantes et analgésiques, et couplé à de l'oxygène. Il est également contenu dans de petites cartouches à chantilly ou dans des bonbonnes.
Troubles de l'humeur de type paranoïaque ; Hallucinations visuelles ; Troubles du rythme cardiaque ; Baisse de la tension artérielle.
Assurez-vous de bien fermer l'embout du ballon pour que le gaz ne s'échappe pas. Inspirez ensuite de l'air, placez l'embout du ballon dans votre bouche, libérez-en le contenu lentement dans votre bouche, puis inhalez.
L'arrêt conventionnel face au ballon- Allez au-devant du ballon avec votre pied d'appui. - Serrez bien les 2 mains. - Collez les 2 pouces afin d'éviter toute faute de mains. L'arrêt de la balle dans la niche- Allez au-devant du ballon.
Ces ballons de baudruche qui circulent dans les soirées étudiantes sont gonflés avec du protoxyde d'azote. Ce gaz est utilisé en cuisine dans les siphons à chantilly, à l'hôpital comme anesthésiant, dans des aérosols d'air sec ou des bonbonnes pour l'industrie. Mais les effets sur la santé ne sont pas sans danger.
C'est une nouvelle drogue qui séduit de plus en plus d'adolescents. Le protoxyde d'azote, surnommé « gaz hilarant », voit sa consommation grimper en flèche. Dans certaines villes, les cartouches métalliques contenant le gaz se retrouvent par dizaines, voire par centaines, sur les parkings ou dans les parcs.
Dans les soirées étudiantes, il est souvent transféré dans des ballons de baudruche afin d'être aspiré par la bouche. L'effet recherché : une euphorie comparable à l'ivresse, des rires incontrôlables, des distorsions visuelles et auditives, des modifications de la voix...
Une petite cartouche de gaz vidée dans un ballon de baudruche avant d'être inhalée: c'est le nouveau mode de «défonce» de plus en plus prisé par certains jeunes. Ce gaz, c'est le protoxyde d'azote, ou «proto».
Les jeunes gens vident le contenu d'une cartouche de siphon à chantilly dans un ballon de baudruche avant d'aspirer le gaz par la bouche. Les effets "hilarants" sont alors immédiats et se dissipent après quelques minutes. Le protoxyde d'azote se trouve également dans les bombes de dépoussiérants pour ordinateurs.
Son usage détourné et sa consommation se veulent « festifs » pour toute une génération de jeunes adultes ou parfois adolescents, mais les risques qu'entraîne le protoxyde d'azote sont palpables et peuvent provoquer une atteinte neurologique, voire des complications hématologiques ou psychiatriques.
Une des substances les plus consommées par les jeunes
Dans un cadre médical, le protoxyde d'azote est généralement utilisé mélangé à de l'oxygène pour ses propriétés anesthésiques et analgésiques. Il est également utilisé pur par certaines industries, ou en cuisine pour la confection de siphons.
Celle-ci entraîne une euphorie, un fou rire, une distorsion des sons et de légères hallucinations, qui culminent après une vingtaine de secondes pour rapidement se dissiper. Les usagers se sentent souvent parfaitement normaux dans les deux minutes qui suivent l'inhalation.
En raison de son effet euphorisant, le protoxyde d'azote, dit gaz «hilarant», commercialisé en accès libre comme gaz propulseur dans les cartouches de siphons à chantilly, est de plus en plus utilisé par les jeunes des fins récréatives.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de « proto » et « gaz hilarant » par le grand public, est un gaz utilisé couramment dans les produits culinaires pour sa fonction de propulseur (dans les siphons de chantilly) et pour ses qualités anesthésiantes dans le milieu hospitalier.
Inhalé à travers un ballon de baudruche, il provoque une euphorie, mais peut aussi générer des troubles de la santé. C'est un produit de plus en plus prisé dans les soirées étudiantes: le protoxyde d'azote, aussi appelé gaz hilarant, séduit les fêtards par la facilité avec laquelle on peut s'en procurer.
Si vous éprouvez des difficultés à arrêter spontanément votre consommation de protoxyde d'azote vous pouvez en parler et être aidé. Appelez Drogues info service au 0 800 23 13 13 (appel anonyme et gratuit, 7j/7 de 8h à 2h).
Pour obtenir cet effet de voix de canard, il suf- fit d'inhaler de l'hélium puis de parler. L'hélium est un gaz inerte, monoatomique, de densité très faible (moins dense que l'air, d'où sa légè- reté), non inflammable et très abondant dans l'univers.
Le protoxyde d'azote est un gaz anesthésique utilisé depuis plus de 160 ans pour induire une anesthésie et maintenir les patients sous anesthésie pendant toute la durée d'une opération.
altèrent le fonctionnement du cerveau en augmentant de manière artificielle la production de dopamines dans le cerveau. Ces hormones sont responsables de la motivation et du sentiment de plaisir associé à la récompense, donc elles augmentent la sensation de bien-être de l'individu qui prend des drogues.
Détourné de son usage initial pour ses propriétés euphorisantes, il est transféré dans des ballons de baudruche afin d'être inhalé. Lorsqu'il est expulsé de son conteneur, le protoxyde d'azote devient un gaz très froid, incolore à l'odeur douceâtre.
Stocké sous forme liquide dans des bonbonnes ou des cartouches métalliques de forme ovale, le protoxyde d'azote est d'usage très courant dans l'industrie, ou en cuisine, mentionne Drogues Info Services.
À petites doses, l'hélium est un gaz tout à fait inoffensif. Mais si tu en respires de trop grandes quantités, il finira par prendre la place de l'oxygène dans tes poumons. Résultat ? Un bel évanouissement !
La vitamine B12 joue un rôle essentiel dans le système nerveux. Le protoxyde d'azote inactive la B12 par un phénomène d'oxydation. Les symptômes sont une sensation d'engourdissement et des fourmillement au niveau des mains et des pieds.