L'hypopituitarisme est une carence en une ou plusieurs hormones hypophysaires. Les symptômes de l'hypopituitarisme dépendent de l'hormone déficitaire et peuvent inclure une petite taille, une stérilité, une intolérance au froid, une fatigue et une absence de production de lait.
Un déficit au niveau des hormones permettant la régulation des apports nutritionnels peut également entraîner : une diminution de la masse musculaire au profit de la masse grasse, induisant un risque accru de surpoids et d'obésité. Un retard dans la croissance de l'enfant peut également être visible.
Chez certains membres de la famille, le FIPA peut être causé par des changements dans le gène AIP. Ces changements engendrent souvent la formation de gros adénomes hypophysaires qui fabriquent trop d'hormone de croissance (adénomes à hormone de croissance).
Il n'existe pas de traitement médical permettant de faire disparaître un adénome de la glande hypophyse. Cependant certains médicaments sont efficaces, permettant dans certaines variétés d'adénomes, de diminuer, voire de bloquer la sécrétion excessive et anormale d'une hormone.
Le cerveau , la glande surrénale et l"hypophyse sont au centre de la réaction au stress . L'agression va produire sur l'organisme des réactions complexes impliquant à la fois : - Le cerveau et en particulier l'hypothalamus. - Des glandes hormonales comme l'hypophyse et les glandes surrénales.
Cette tumeur de la base du crâne peut être découverte en cas de production excessive de certaines hormones (troubles des menstruations, écoulement mammaire, modification du visage, des mains des pieds, diabète, hypertension artérielle…) ou par compression des structures à proximité comme le nerf optique (vision floue, ...
Tumeur bénigne qui se développe au niveau d'une glande. Un adénome de la prostate est une augmentation du volume de la prostate ; un adénome du côlon ou du rectum est une tumeur bénigne de la paroi interne du côlon ou du rectum, tapissée de glandes.
Comme elle fait partie du système endocrinien, l'hypophyse fabrique de nombreuses hormones différentes qui circulent dans tout le corps. Ces hormones contrôlent certaines fonctions du corps et indiquent à d'autres glandes de fabriquer d'autres hormones.
Certains adénomes hypophysaires sécrétants nécessitent une intervention chirurgicale, lorsque la sécrétion d'hormones de croissance est importante (GH), responsable alors d'une acromégalie (c'est-à-dire d'une taille excessive chez l'enfant ou d'une modification de la taille des mains et des pieds, ainsi que du visage ...
L'IRM, l'Imagerie par Résonance Magnétique
L'IRM est l'examen de référence pour étudier la région hypophysaire. Elle peut également être utilisée pour explorer les surrénales.
De causes variées dont tumeurs, traumatismes, baisse du débit sanguin hypophysaire, infection, sarcoïdose, processus auto-immun, radiothérapie, exérèse chirurgicale de l'hypophyse, ou effet indésirable d'une opération de l'hypophyse, il en résulte en général en une baisse de la production d'hormone hypophysaire.
L'IRM permet de détecter une tumeur de l'hypophyse ou de savoir si une tumeur de l'hypophyse a envahi des régions voisines. Elle peut aussi servir à mesurer la taille de la tumeur. On a souvent recours à l'IRM pour observer le cerveau, la moelle épinière et l'hypophyse.
D'un point de vue général, un régime exempt de sucre, de caféine, d'alcool et de tabac (SCAT) va non seulement nettoyer l'organisme, mais aussi amener l'énergie de la « kundalini » et vous assurer un excellent équilibre physique et mental. Il faut poursuivre le régime pendant au moins deux mois.
Le chirurgien fait une petite incision à l'intérieur du nez, tout au fond. Il glisse ensuite l'endoscope dans le nez avant de le faire passer à travers l'os sphénoïde et le sinus sphénoïdal pour atteindre l'hypophyse. Il insère de petits outils dans l'endoscope pour enlever la tumeur.
Il s'agit le plus souvent d'une vision double ou d'une chute de la paupière. Ces symptômes sont rares dans les adénomes hypophysaires et signent le plus souvent une nécrose brutale et/ou un saignement dans tumeur. Des symptômes liés à une secretion excessive d'une hormone par la tumeur.
Les médecins peuvent mesurer les taux des hormones hypophysaires, en général par une simple analyse de sang. Ils déterminent l'hormone à doser en fonction des symptômes des personnes.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
Quels sont les spécialistes de l'adénome hypophysaire ? Le premier spécialiste à voir est l'endocrinologue, qui posera le diagnostic d'adénome hypophysaire, en précisera le type, et en appréciera le retentissement. Si nécessaire il fera appel à d'autres spécialistes (neurochirurgien, radiothérapeute, généticien).
Le stress est lié à l'action d'hormones comme l'ACTH (ou hormone corticotrope), le cortisol, l'adrénaline, l'ocytocine et la vasopressine.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Examens de l'hypophyse
L'IRM permet également de surveiller l'évolution de l'adénome ou sa résorption en cas de chirurgie ; Analyses sanguines : les taux d'hormones sont dosés (dosage de prolactine, dosage de l'hormone de croissance, etc.) en cas de suspicion de maladie hypophysaire.