Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
La prise d'un traitement hormonal substitutif à la ménopause accroît légèrement les risques de thrombose veineuse. Il s'agit de la formation d'un caillot dans une veine, provoquant une phlébite ou une embolie pulmonaire. Une thrombose artérielle (formation d'un caillot dans une artère) est également possible.
En cas de règles irrégulières, de bouffées de chaleur, de sueurs nocturnes, d'insomnies, de sécheresse vaginale, de baisse de la libido, d'irritabilité, de maux de tête et de peau sèche, il se peut que le niveau d'œstrogène soit bas.
Essentielle, cette dernière est à la base du développement des organes sexuels tels que les seins et les parties génitales. Son rôle est aussi primordial quant à la régulation du cycle menstruel, au désir sexuel, au métabolisme de régénérescence des os et à l'hydratation de la peau.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
L'application du gel est habituellement cyclique, c'est-à-dire qu'elle se fait soit du 1er jour au 25e jour de chaque mois ou du 1er jour au 21e jour d'un cycle de 28 jours. La dose initiale recommandée est 2,5 g par jour (2 pressions sur le flacon doseur).
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.
Donc s'ils sont donnés à doses adéquates ils ne font pas grossir. Logiquement ils sont associés à de la progestérone pour remplacer l'équilibre perdu.
Les oestrogènes sont des hormones féminines qui agissent sur beaucoup de tissus de l'organisme féminin. La principale hormone féminine avant la ménopause est l'estradiol qui est produit essentiellement par les ovaires. Les ovaires, au nombre de deux, sont des glandes qui sont situées dans le bassin près de l'utérus.
Les hormones femelles ou œstrogènes : participent à la croissance du cheveu en prolongeant la phase anagène. Parmi celles-ci, on retrouve la progestérone. Les hormones mâles ou androgènes : dans certaines problématiques , par leur mutation, accélèrent le cycle capillaire en provoquant une chute plus rapide du cheveu.
Les effets secondaires recensés du traitement hormonal sont : saignements vaginaux, ballonnements, hypersensibilité des seins, maux de tête, nausées, vaginites et démangeaisons vaginales, crampes dans les jambes, sautes d'humeur et perte d'appétit sexuel.
De nombreux compléments alimentaires destinés aux femmes ménopausées contiennent des phyto-estrogènes issus du soja, de la sauge, de la luzerne, du trèfle ou du houblon. Ces composés naturels sont recherchés car leur action dans l'organisme ressemble à celle des hormones féminines.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
Les oestrogènes sont des hormones sexuelles stéroïdes produites en grande partie par les follicules des ovaires ainsi que par le placenta.
La ménopause et la prise de poids sont-elles liées ? Lors de la ménopause, les hormones féminines, les œstrogènes, ne sont plus produites alors que les hormones masculines, la testostérone, le sont toujours, à plus faible dose. Ce changement hormonal provoque une nouvelle répartition des graisses.
Au bout de deux ans, il est souvent conseillé de suspendre le traitement hormonal substitutif une fois par an pour voir s'il est toujours nécessaire ou si l'on ne peut pas diminuer les doses. Principal signe qui guide le médecin : la réapparition, le plus souvent dès les premiers mois, des bouffées de chaleur.
Produite par les testicules et les glandes surrénales de l'homme, la testostérone est considérée comme l'hormone mâle par excellence. Pourtant, elle est aussi l'hormone clé du désir…
La sérotonine a un rôle proche de celui des hormones.
Elle agit sur le système nerveux central et induit différentes actions, notamment dans la régulation de certains comportements comme l'humeur ou l'émotivité. "Elle intervient dans la souffrance morale et donc dans la dépression", précise le Dr Fouré.
L'ocytocine : hormone de l'amour, de la confiance et du lien conjugal et social.