Il s'agit des effets du texte sur le lecteur. Cela concerne toutes les manifestations physiques et psychiques liées à la lecture d'un texte : la joie, le sentiment d'un bien-être, l'envie de rire, ou au contraire l'agacement voire la colère, pour ne citer que les plus courants.
Le sujet lecteur, ici, ce serait simplement le lecteur réel, tel qu'on peut l'observer, y compris lorsqu'il se fourvoie sur des éléments qui relèvent du sens commun, ou à l'inverse, lorsqu'il se soumet strictement aux « droits du texte ».
Grâce au suspense, le lecteur est mis dans un état émotionnel par le texte, non seulement par ce que dit le texte mais aussi par ce qu'il fait. Les travaux de Miall et Kuiken insistent sur l'expérience vécue grâce au texte.
Lire, c'est en fait tenter de construire des sens et des significations possibles des textes, c'est entrer dans les textes, dans les œuvres, pour mieux en sortir et y revenir, dans un processus itératif.
De la même façon, ne dites pas qu'un personnage est triste, décrivez plutôt ses yeux larmoyants et ses lèvres tremblantes. En peignant des images avec les mots plutôt qu'en disant, les écrivains sont mieux à même de déclencher les émotions des lecteurs en leur permettant d'expérimenter ce que ressent le personnage.
La lecture développe l'esprit d'analyse et l'esprit critique
La lecture sollicite votre esprit critique et votre esprit d'analyse. Chaque page tournée renforce le tissu de connaissances dans votre esprit et vous aide à terme, à mieux comprendre le monde qui vous entoure.
Il n'y a qu'un seul moyen de provoquer de l'émotion chez le lecteur, déneutraliser la situation de base. Amener un élément qui va tout changer. Et s'en amuser. Bref, il s'agit d'amener des éléments sur lesquels vous allez pouvoir vous appuyer pour travailler.
L'écriture finit par faire sens, sans qu'on l'ait anticipé, « comme si » notre main ne nous appartenait pas vraiment et savait mieux que nous. Une autre variante possible est d'écrire comme si nous nous adressions à quelqu'un en qui nous avons entièrement confiance.
Verbaliser sa colère
Dire "je suis en colère", c'est comme accuser réception du message qui nous est donné. Ce qui compte ensuite, c'est de savoir ce qu'on va en faire. Si vous êtes dans un cadre professionnel, il faudra mesurer vos mots pour éviter tout emportement préjudiciable.
Lire stimule le cerveau et améliore la mémoire
Pour rester en forme et efficace, le cerveau, comme tous les muscles du corps, a besoin d'être actif au quotidien. La lecture est un excellent moyen pour le faire travailler puisqu'elle participe à une bonne stimulation cognitive.
L'objectif de la lecture est la compréhension d'un texte, objectif qui se trouve donc en dehors de l'activité elle-même. Pour ce faire, le lecteur passe par un double traitement de l'information : le traitement des mots écrits et la compréhension du contenu.
Il y a six familles d'émotions de base : la joie, la colère, la tristesse, la peur, le dégoût, la surprise. Chaque famille d'émotion comporte une multitude d'émotions secondaires comme par exemple, la honte, l'ennui, la gêne….
Dégagez l'intérêt du livre :
Il a un intérêt documentaire Il fait rire ou il fait peur Il permet de s'évader Il m'a fait comprendre une époque Il procure des émotions Il fait réfléchir Il rappelle des choses vécues L'auteur cherche à émouvoir, effrayer, témoigner, démontrer, critiquer…
L'histoire de la lecture remonte à l'invention de l'écriture au cours du IVe millénaire avant notre ère. Bien que la lecture de textes imprimés soit aujourd'hui un moyen important d'accès à l'information pour la population en général, cela n'a pas toujours été le cas.
Le lecteur chronologique: celui qui lit un livre l'un après l'autre, méthodiquement, sans jamais le lâcher avant la fin. Le lecteur casseur: celui dont les livres sont écornés, fatigués, plein de sable ou auquel manquent des pages. Son contraire: le bibliophile, celui qui aime les livres plus encore que leurs contenus.
La lecture (au sens strict) du récit de fiction est un acte de communication consistant à comprendre un récit de fiction matérialisé par un texte. Cet acte devient une tâche à partir du moment où il fait l'objet d'une obligation et d'une détermination.
BIBLIOPHILE : Définition de BIBLIOPHILE.
La lecture a pour but de récolter des informations sur tel ou tel sujet. Et via ce passe-temps, la chose est simple à faire. Néanmoins, cela pourrait entrainer une remise en question inutile de votre personnalité et de vos opinions. Il faut dire que les livres et les divers articles peuvent déformer la réalité.
Dès que commence l'adolescence, l'enfant n'a plus envie de lire. Jusqu'au lycée, les professeurs de français imposent la lecture, souvent des ouvrages qui ne traitent pas de leurs différents centres d'intérêts, ce qui décourage l'ado à ouvrir un livre.
Un tel effet est qualifié d'amorçage affectif et suggère que la musique modifie l'état affectif du sujet, ce qui le conduit à projeter l'émotion musicale ressentie sur le stimulus neutre. Dans ce type d'études, l'émotion musicale influe sur le comportement du sujet sans qu'il n'ait à exprimer ce qu'il a ressenti.