Le manque de sommeil fait baisser les défenses immunitaires Or, si le sommeil est perturbé, ces cellules ne peuvent jouer pleinement leur rôle dans l'organisme. On assiste alors à une altération du nombre et de la qualité des globules blancs qui combattent, en temps normal, les infections et les virus.
Somnolence et fatigue au réveil. Fatigue accablante qui dure toute la journée. Irritabilité et fortes variations d'humeur. Difficultés de concentration et de performance.
Cette privation peut augmenter jusqu'à 48% le risque de crises cardiaques et de troubles cardiovasculaires, souvent responsables de décès précoces.
Être tout le temps fatigué la journée
Voilà probablement le signe le plus évident que l'on manque de sommeil. Si l'on commence à se sentir somnolente pendant la journée, notamment dans des situations de calme plat comme des réunions ou des conférences, il faut alors revoir ses habitudes de sommeil et se reposer.
En état de privation de sommeil, l'activité cellulaire cérébrale ralentit : concrètement, vous avez du mal à réfléchir et à vous concentrer. Les épisodes de perte d'attention en journée, voire de somnolence, se multiplient, la vitesse de réaction et la vigilance diminuent, la capacité à prendre des décisions également.
Le manque et l'excès de sommeil peuvent avoir de lourdes conséquences sur la santé, notamment l'hypertension, l'obésité, le diabète de type 2, et les maladies cardiovasculaires. D'ailleurs, plusieurs études confirment que les troubles du sommeil augmentent les risques de problèmes cardiaques.
Selon des chercheurs, le manque de sommeil chronique active anormalement des cellules immunitaires qui sont amenées à « manger » certaines composantes du cerveau. Cela pourrait avoir des répercussions sur plusieurs maladies neurodégénératives. Nous avons de plus en plus tendance à négliger notre sommeil.
Faire du sport régulièrement ; Réduire le stress, et pratiquer des activités relaxantes (yoga, méditation, relaxation, respiration…) ; En cas de troubles du sommeil ou de sommeil de mauvaise qualité, changer sa literie et opter pour un oreiller adapté à ses besoins et habitudes de sommeil.
Se préparer au sommeil par des activités calmes, telles que la lecture et l'écoute de musique ou par des petits rituels du soir. Éviter les écrans (smartphones, tablettes, ordinateurs) 1h30 avant l'heure du coucher. Se coucher tous les soirs à peu près à la même heure. Éviter d'avoir un réveil près du lit.
Graves troubles de santé
Ainsi, dormir moins de 6h par nuit augmente de 48% le risque de maladies cardio-vasculaires et multiplie par 4 le risque de faire un AVC. Un manque de sommeil pourrait aussi favoriser le développement de tumeurs.
Il semblerait que trop peu de sommeil nuise à l'espérance de vie… mais tout autant que trop de sommeil ! En effet, les personnes qui dorment 6 à 8 heures par nuit auraient tendance à vivre plus longtemps que celles qui ne passent que quelques heures au lit ou, au contraire, dépassent les 10 heures de sommeil.
une perte d'appétit ; des troubles de l'attention ; des troubles du sommeil ; des symptômes dépressifs.
La valériane est une plante médicinale bien connue pour ses propriétés calmantes. Des études ont montré qu'elle peut aider à réduire la période nécessaire pour s'endormir et améliorer la qualité du sommeil. La camomille est également couramment utilisée comme somnifère naturel en raison de ses effets relaxants.
Voici quelques symptômes et signes courants qui indiquent que vous pourriez avoir une dette de sommeil : Fatigue constante : Si vous vous sentez constamment fatigué pendant la journée, même après avoir dormi toute la nuit, cela peut être un signe d'hyposomnie.
Tentez la micro-sieste fermez les yeux, détendez vous pendant environ 10 minutes : l'effet sera toujours bénéfique. La respiration comme la sophrologie peuvent être d'une aide précieuse pour récupérer. Sur du court terme, un aliment ou une boisson peut vous donner un regain d'énergie, à ne pas utiliser à long terme.
En effet, le niveau d'oestrogènes est lié au niveau de sérotonine, une hormone du bonheur et neurotransmetteur, plutôt sécrétée en fin d'après-midi, et qui prépare donc au sommeil. Une chute d'oestrogènes peut ralentir l'endormissement, et diminuer la durée totale des nuits.
Le mal dormir de longue durée peut être causé par d'autres pathologies, une apnée, un syndrome des jambes sans repos, une grande anxiété ou une dépression – bien que des experts estiment qu'elle puisse être la conséquence et non la cause.
Les causes physiologiques
La vie est ponctuée de moments où, de façon naturelle, le cycle du sommeil est perturbé. Une grossesse, l'âge, peuvent également être des causes du sommeil perturbé. Le sommeil profond diminue et les réveils, parfois prolongés, se multiplient et l'envie de faire des siestes augmente !
Les malaises (vertiges, nausées, étourdissements)
Les sensations de vertige et de nausée typiques des malaises peuvent être provoquées par un manque de magnésium, qui favorise l'équilibre électrolytique. En cas de carence, le cerveau peut avoir du mal à interpréter des signaux au niveau de l'oreille interne.
Mais ce n'est pas tout. Si dormir peu n'est pas sans risque pour la santé, trop dormir le serait tout autant. C'est pourquoi les scientifiques ont mis en évidence l'importance du rapport de dormir au minimum 5 heures, et maximum 7 heures par nuit pour avoir un cœur qui bat avec efficacité.