Il ne faut donc pas mettre de « s » à l'impératif pour les verbes du premier groupe (c'est-à-dire les verbes qui se terminent en « er », comme « manger ») et certains verbes du troisième groupe (comme « offrir » ou « cueillir »), même s'il s'agit de la deuxième personne du singulier !
À l'impératif présent, les verbes en -er conjugués à la 2e personne du singulier (tu), ne prennent pas de -s à la fin. Le verbe aller suit cette règle. Tu manges → Mange ! Tu écoutes → Écoute !
Pas de s pourquoi ? Les désinences de l'impératif présent se distinguent de celles de l'indicatif présent par l'absence d'un -s à la deuxième personne du singulier de certains verbes. Cette absence est d'abord due à la forme latine d'origine. — Indicatif présent : cantas, tu chantes.
À l'impératif, « va » ne prend un « s » que dans « vas-y ». Il faut donc s'assurer que le verbe est à l'impératif, mode qui se reconnaît au fait que le sujet n'est pas exprimé : par conséquent, s'il n'y a de « tu » ni devant ni derrière le verbe, on écrit « va » : Ne va pas t'imaginer que ce sera facile.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
Voilà ! « Salut, quoi de neuf ? » ou « Salut, ça roule ? » ou « Salut, tout va bien ? » Voilà plein d'autres expressions que vous pourrez utiliser.
La construction «penser +à+ pronom» indique que nous avons pensé à faire quelque chose, un acte antérieur donc.
"J'ai pensé à toi" (utilisation du verbe donc "penser").
L'impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu'ils sont suivis de “y” ou “en” : mange ! Manges-en un peu !
On écrit toujours « prends soin de toi » avec un -s : dans cette locution, on donne l'ordre à une personne de prendre soin de soi. On conjugue donc le verbe « prendre » à l'impératif. Or, à l'impératif présent, la conjugaison du verbe « prendre » (troisième groupe) est « prends » avec un -s.
Bref, c'est une question de formalité : Si la situation est plutôt familière (comme entre des amis), on utilise tu. Si, par contre, la situation est plus formelle, ça va être vous qu'on va utiliser. Le vouvoiement crée une distance entre vous et la personne et montre du respect.
Cette règle vaut pour tous les verbes sauf : - Ceux du premier groupe (verbes en –er) ; - Le verbe aller. - Les verbes cueillir, ouvrir, offrir et tous leurs dérivés (recueillir, découvrir…)
Quand on change de temps à la 2e personne du singulier il y a aussi un "s" avec le "tu" au futur (tu flotteras, tu bondiras) à l'imparfait (tu flottais, tu bondissais) et au passé composé (tu as bondi, tu as pris). À tous les autres temps, tous les verbes prennent un "s" avec "tu".
Remarque et à retenir ! Les verbes pronominaux suivants n'ont jamais de C.O.D. ; ils sont donc toujours invariables : se plaire, se complaire, se déplaire, se rire, se sourire, se succéder, se ressembler, se parler, se nuire, se survivre, se suffire, se convenir.
La principale caractéristique de l'impératif est de n'exister qu'aux personnes : tu, nous et vous et ce, sans sujet exprimé. Il permet d'exprimer un ordre, donner un conseil ou faire une suggestion. En général, l'impératif est identique au présent de l'indicatif à l'exception près qu'il n'a pas de sujet.
méditer, raisonner, réfléchir.
L'imparfait décrit une action qui dure dans le temps. C'est le temps idéal pour planter un décor, décrire une situation passée, ou une action à durée indéterminée. Le passé simple est le temps du récit. Il décrit une action passée, qui a un début et une fin clairement identifiable.
masc. A. − Imparfait (de l'indicatif). Temps simple de l'indicatif, exprimant notamment qu'une action s'est déroulée ou répétée pendant une certaine période dans un passé réel ou imaginaire, qu'elle a été concomitante ou antérieure à une autre action passée.
Quelques exemples : je ressens quelque chose pour toi , je ressens le besoin de m'isoler , je ne ressens plus rien , laisse-moi te dire ce que je ressens pour toi , je n'arrive pas à exprimer ce que je ressens .
Tu dois ranger ta chambre.) et injonctive ( Range ta chambre !). Le doigt qui pointe la personne à qui on s'adresse , ou le verbe dans la phrase injonctive , l'intonation aussi (en l'appuyant un peu) ont été des aides. 3.
On ne dira jamais : je pense qu'il vienne, mais je pense qu'il vient. Après « je pense que » à la forme affirmative, on emploie l'indicatif. Ce choix entre indicatif et subjonctif après des verbes exprimant la subjectivité est parfois difficile à justifier.
Votre interlocuteur va certainement répondre : « en bien j'espère ! », c'est la réponse typique d'un Français. Vous allez alors dire « bien sûr ! »
La réponse peut être plus formelle qu'avec un ami, telle que « bonjour, tout va bien merci et vous ? ».