La Russie est un exportateur net de céréales et d'oléagineux. Le pays figure parmi les premiers exportateurs mondiaux de blé, d'huile de tournesol, et d'orge. La Turquie, le Kazakhstan, l'Égypte, la Chine et le Bélarus sont ses principales destinations d'exportations (FAO, 2019).
La Russie exporte, pour l'essentiel, des ressources énergétiques ( pétrole et produits pétroliers, gaz, charbon), de l'acier laminé, des métaux ferreux et non-ferreux, des minéraux utiles. Le pétrole et les produits pétroliers munissent la grande partie de l'exportation russe.
68,2 % des exportations russes vers l'UE sont des hydrocarbures (gaz et pétrole, principalement). La Russie a rejoint l'Organisation mondiale du commerce (OMC) le 22 août 2012 après avoir négocié avec l'Union européenne.
Les ressources naturelles utilisées par l'économie de la Russie, font 95,7 % de la richesse nationale du pays. Sur le territoire du pays il y a de grands gisements des matières fertiles : pétrole, gaz naturel, charbon, minerais d'uranium.
Pétrole, gaz, mais aussi blé… La France dépend partiellement de la Russie, mais elle est aussi le premier employeur étranger dans ce pays.
La Russie est, en effet, le premier fournisseur de gaz naturel des Vingt-sept (avec 40 % des importations, ce qui représente 19 % de la consommation totale de gaz de l'Union européenne) et le deuxième fournisseur de pétrole (avec 20 % des importations et 16 % de la consommation totale).
La production d'électricité provient en 2019 à 63,4 % des combustibles fossiles (gaz naturel 45,9 %, charbon 16,8 %, pétrole 0,8 %), à 18,6 % du nucléaire et à 18 % des énergies renouvelables (surtout hydroélectricité : 17,5 %).
Le gouvernement allemand va prendre 99 % de l'énergéticien afin de sécuriser l'approvisionnement énergétique du pays. Le groupe, qui fournit 40 % des besoins en gaz de l'Allemagne, est asphyxié par la fermeture de Nord Stream 1.
La Russie présente un nombre incalculable de produits typiques du pays. Les plus connus sont les matriochkas, ces fameuses poupées russes creuses dans lesquelles se cachent d'autres poupées de plus petite taille. La porcelaine est également très prisée pour ses motifs folkloriques et sa peinture à la main.
Parties des véhicules aériens et spatiaux du n° 8801 et 8802, n.d.a.Parties des véhicules aériens et spatiaux du n° 8801 et 8802, n.d.a. Liants préparés pour moules ou noyaux de fonderie; produits chimiques et préparations des industries...
Ukraine et Russie
Au 3 avril 2022, 404 162 tonnes sont entrées dans l'UE depuis la Fédération, ce qui correspond à 20,9 % des importations de blé européennes.
La Russie est un exportateur net de céréales et d'oléagineux. Le pays figure parmi les premiers exportateurs mondiaux de blé, d'huile de tournesol, et d'orge. La Turquie, le Kazakhstan, l'Égypte, la Chine et le Bélarus sont ses principales destinations d'exportations (FAO, 2019).
De son passé soviétique, la Russie a hérité d'une industrie métallurgique lourde puissante et concurrentielle, d'un savoir-faire pointu dans les domaines de l'aéronautique, de l'armement et de l'énergie.
L'Allemagne est le premier partenaire commercial de la Russie devant l'Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Finlande et la France.
Le Luxembourg reste le pays au plus fort PIB par habitant en 2023, avec un produit intérieur brut par tête de 128 000 dollars. L'Irlande reste sur la 2e marche du podium, devant la Suisse. La France remonte au classement, arrivant à la 27e place.
La plupart des facteurs qui expliquent l'intérêt de la Russie pour l'Ukraine sont bien connus. Mais en creusant un peu plus, on trouve un thème sous-jacent: la crainte que la Russie soit un jour absorbée par l'Asie. Appelons cela une "insécurité démographique".
12e : Russie, 1 703 milliards de dollars.
Quelles sont les zones importatrices de céréales françaises ? La filière céréalière française exporte près d'une tonne sur deux de céréales chez nos voisins de l'Union européenne et vers les pays tiers (pays du Maghreb, d'Afrique subsaharienne de l'Ouest, du Proche et Moyen-Orient et Chine).
L'Allemagne, les Pays-Bas, l'Italie, la Pologne, la Bulgarie, la Belgique et l'Espagne font partie des plus gros consommateurs de produits fossiles russes. La France arrive en cinquième position. Elle a importé pour plus de 5 milliards d'euros de gaz et de pétrole russes entre le 24 février et le 24 août.
“La Chine et l'Inde ne sont pas les seuls pays à acheter du pétrole russe”, commente Le Temps. La semaine dernière, l'Asie était encore la principale destination des exportations de brut russe, avec 50 % (1,71 million de barils), mais l'Europe en achetait 45 % (1,55 million de barils).
En 2021, environ 45% des importations de gaz naturel de l'UE provenaient de Russie. Face à la situation actuelle, la Commission européenne propose un plan, baptisé REPowerEU, visant à affranchir l'Union de sa dépendance au gaz russe d'ici à 2027. En 2021, l'UE consommait 400 milliards de mètres cubes de gaz.
Des importations des marchandises françaises en Ukraine en 9 mois de 2021 se composaient principalement de produits chimiques divers (15,0%), moyens de transports terrestres autres que les chemins de fer (11,9%), produits pharmaceutiques (10,7%), réacteurs nucléaires, chaudières et machines (8,6%), huiles essentielles ...
Le premier acheteur de blé russe reste l'Égypte avec 13 à 14 millions de tonnes de blé par an, mais beaucoup de céréales vont aussi en Turquie (entre 6 et 8 millions de tonnes chaque année) ou en Algérie (pour 2021-2022, 10 % du blé acheté par l'Algérie est d'origine russe).
La Norvège demeure le principal fournisseur de la France (36 % du total des entrées brutes), devant la Russie (17 %), l'Algérie (8 %), les Pays-Bas (8 %), le Nigeria (7 %) et le Qatar (2 %).