Les antécédents de thrombose veineuse profonde, l'obésité, les traumatismes variés en particulier des membres inférieurs, directs ou indirects, l'immobilisation pour une autre pathologie (alitement, fièvre, maladies cardiaques) majorent le risque. Chez la femme le risque est augmenté par : Les contraceptifs oraux.
Le diagnostic
La confirmation du diagnostic d'embolie pulmonaire fait appel à différents examens. Certains d'entre eux comme la radiographie du thorax, l'électrocardiogramme, la gazométrie sanguine, le dosage sanguin des D-dimères, sont des examens de débrouillage.
La gravité d'une embolie pulmonaire est fonction du degré d'obstruction de l'artère pulmonaire, de l'état de santé du patient (état cardiaque et respiratoire), et du délai avec lequel le diagnostic est posé.
Le plus souvent, le traitement d'une embolie pulmonaire commence par l'administration d'une héparine, de fondaparinux sodique, ou d'anticoagulants oraux directs (selon les particularités du patient et la gravité de l'embolie). Ce traitement est poursuivi pendant cinq à neuf jours.
Une embolie pulmonaire survient lorsqu'un caillot de sang bloque un vaisseau sanguin dans les poumons. Le caillot se développe habituellement dans une autre partie du corps, le plus souvent la jambe. Il se déplace ensuite et passe par l'abdomen, le cœur, et les poumons.
Prévention de la maladie thromboembolique veineuse
- Mobilisation précoce est recommandée dès que possible (Grade B des recommandations). Le repos strict se limitant à 1 ou 2 jours dans le cas de thrombose veineuse profonde grave avec thrombus mobile dans la lumière du capillaire veineux.
- Éviter de dormir pendant des périodes prolongées (le risque de phlébite est plus élevé au bout de deux heures de sommeil). Pour dormir, surélever les jambes si l'espace disponible le permet.
éviter les alitements prolongés, éviter la prise de contraceptifs œstroprogestatifs ou de traitements hormonaux substitutifs de la ménopause si un antécédent familial d'embolie pulmonaire est présent, lutter contre l'obésité, boire une quantité suffisante d'eau pour améliorer la circulation.
bouger et d'être actif; cela vous aidera à améliorer la circulation sanguine et à réduire le risque de formation de caillots. vous êtes exposé, votre médecin ou votre infirmière en santé communautaire peut vous prescrire un médicament appelé anticoagulant qui empêche la formation de caillots sanguins.
« Notre expérience clinique nous disait que certains patients qui avaient eu une embolie pulmonaire présentaient un essoufflement et de la fatigue chronique longtemps après le traitement et la guérison de l'EP », a expliqué la docteure Kahn, fondatrice et directrice du Centre d'excellence en thrombose et ...
Les symptômes de l'embolie pulmonaire surviennent subitement et sont peu évocateurs : essoufflement et difficultés à respirer soudains ; douleur thoracique en « coup de poignard » qui augmente à l'inspiration ; plus rarement de la toux, avec la présence d'un peu de sang dans le crachat.
Les cancers les plus fréquemment retrouvés dans ces cas particuliers sont les cancers hématologiques, les cancers du poumon et du tube digestif. Les spécialistes s'interrogent actuellement sur l'intérêt, pour certains profils de patients thrombo-emboliques, de rechercher un éventuel cancer.
Les poissons gras (saumon, sardine, maquereau, hareng...)
Les omega 3 ont un effet hypocholestérolémiant avéré (qui font baisser le taux de lipides dans le sang) ainsi que des vertus protectrices des vaisseaux sanguins, qui permettent d'éviter la formation de caillots sanguins.
Lorsque le thrombus se développe dans une veine, on parle de thrombose veineuse. Une thrombose veineuse peut se détacher et migrer dans les poumons, transportée par le système circulatoire. Le caillot obstrue alors un vaisseau et provoque une embolie pulmonaire.
Chez le patient sous anticoagulants, il convient de déterminer quel sport est envisageable : la pratique de sports comme le footing, la natation ou le golf n'est pas à risque. En revanche, les sports de combat ou les sports à risque de chute comme le cyclisme ou le ski sont fortement déconseillés.
L'obstruction provoque une augmentation de la pression dans l'artére pulmonaire et donc dans le ventricule droit dont la paroi musculaire n'est pas suffisamment puissante pour encaisser cette augmentation brutale de pression d'ou risque d'insuffisance cardiaque droite (coeur pulmonaire aigu), troubles du rythme ...
Quelles sont les causes ? Cet œdème peut être d'origine cardiaque ou inflammatoire. Dans le premier cas, le ventricule gauche du cœur ne remplit pas correctement sa fonction de pompe. Lorsque la pression devient trop forte, les capillaires n'arrivent plus à faire face et du liquide pénètre dans les alvéoles.
Par ailleurs les kiwis, les myrtilles, les prunes et les pommes contiennent également des polyphénols non-flavonoïdes ceux-là mais qui peuvent également être bénéfiques pour la circulation sanguine.
Les aliments riches en vitamine C (fruits et légumes crus), vitamine E (huiles végétales et avocat), sélénium (poissons gras, noix, huîtres, viandes) et zinc (huîtres, jaune d'œuf, foie) protègent les cellules endothéliales qui tapissent la paroi veineuse des radicaux libres.
Les noix, noisettes et même les graines de tournesol sont appréciées par vos vaisseaux sanguins. Elles contiennent aussi des acides gras oméga-3, pour un double bénéfice. L'avocat est certes gras, mais il présente des apports intéressants. Riche en vitamine E, c'est un excellent protecteur vasculaire.
Le citron est bon pour la peau et le système circulatoire
Il a pour effet de fluidifier le sang et de prévenir ainsi la formation de caillots sanguins. Le citron permet d'arrêter par exemple des saignements de nez ou de coupures. Les flavonoïdes contenus dans le citron participent à renforcer la tonicité des vaisseaux.