Une propriété très forte du PIB est qu'il peut être appréhendé selon trois optiques : 1) la somme des valeurs ajoutées des différentes branches d'activité de l'économie : ce qu'elles ont produit, diminué de ce qu'elles ont consommé pour produire ; 2) la somme des revenus d'activité ; 3) la demande finale en biens et ...
Cinq indicateurs ont été calculés au niveau de la région : - l'Empreinte Écologique (EE) ; - l'Indicateur de Développement Humain (IDH) ; - l'Indicateur de Participation des Femmes à la vie politique et économique(IPF) ; - le Baromètre des Inégalités et de la Pauvreté (BIP 40)7 ; - l'Indicateur de Santé Sociale (ISS).
PIB = Dépense de consommation finale (P3) + Formation brute de capital (P5) + Exportations (P6) - Importations (P7).
selon l'optique du revenu, en faisant la somme de tous les revenus obtenus dans le processus de production de biens et de services (revenus salariaux, excédent brut d'exploitation et revenu mixte) et en y ajoutant les impôts sur la production et les importations moins les subventions.
Pour résumer, les théories de la croissance endogène considèrent les investissements publics, la R&D, les brevets, la qualification des salariés et l'état de santé de la population comme des facteurs indispensable pour augmenter le PIB.
Le PIB est sans conteste l'indicateur le plus important pour décrire l'évolution d'une économie. Il quantifie la création de valeur annuelle d'un espace économique et exprime le revenu correspondant en termes monétaires.
De ce fait, il ne prend pas en compte :
le travail non rémunéré, celui que l'on fait pour soi-même (le travail domestique par exemple) le bénévolat, ce que l'on produit pour soi-même (son verger, son potager,...) encore appelée l'autoconsommation.
L'agriculture représentait également plus de 10%. En 2022, l'économie française était avant tout une économie de service où le tertiaire représentait plus de 70% de la valeur du PIB en France.
Comme le PIB est une mesure qui comprend de nombreux éléments, les économistes ont mis au point trois méthodes pour le calculer. Ces trois méthodes sont l'approche par les dépenses, l'approche par les revenus et l'approche par la valeur ajoutée. Ces approches sont toutes équivalentes et donnent le même résultat.
Le PIB n'est pas une mesure exacte de l'activité économique. Certaines activités économiques créent des dommages non intégrés dans le calcul du PIB. Par exemple, les émissions de carbone ont un coût pour les générations futures : elles modifient l'équilibre climatique, elles dégradent l'environnement.
L'économie française est principalement une économie de services : en 2022, le secteur tertiaire occupait 80,1 % de la population active, tandis que le secteur primaire (agriculture, pêche, etc.) n'en représentait plus que 2,1 %, et le secteur secondaire (essentiellement l'industrie) 17,9 %.
Le PIB par habitant (ou produit intérieur brut par tête) est utilisé comme indicateur du niveau de vie moyen d'un pays. Il s'obtient en divisant la valeur du PIB par le nombre d'habitants du pays. C'est également un bon indicateur de l'activité économique d'un pays.
Le produit intérieur brut (PIB) de la France est calculé et publié tous les trois mois par l'Insee qui le définit comme un « agrégat représentant le résultat final de l'activité de production des unités productrices résidentes ».
l'approche revenus : PIB = ∑ rémunérations des salariés + impôts – subventions + EBE + ∑ revenu mixte. Dans cette formule, l'EBE est l'Excédent Brut d'Exploitation, c'est-à-dire ce qu'il reste à l'entreprise une fois les salaires et les impôts versés.
Accueil Économie. Le produit intérieur brut (PIB) est très concentré sur quelques régions : en 2021, l'Île-de-France représente 31 % du PIB national, Auvergne-Rhône-Alpes 12 % et cinq autres régions – Nouvelle Aquitaine, Occitanie, Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA), Hauts-de-France et Grand Est – autour de 7 %.
Trois aspects critiqués
Le premier est que le PIB ne mesure pas les activités non marchandes (comme le travail à la maison) et mesure mal la valeur des services publics. Une autre question concerne la consommation gratuite sur internet, pour des services comme Facebook qui sont compensés par l'incontournable publicité.
Outre l'indice des prix à la consommation, on peut mesurer l'inflation par le déflateur du PIB : PIB nominal / PIB réel, multiplié par 100.
Le PIB est un bon indicateur des échanges monétaires. Mais il ne prend pas en compte les autres enjeux sociaux, ceux liés aux revenus et invisibilise complètement les enjeux environnementaux.
L'augmentation du PIB peut être due soit à une augmentation de la quantité produite, soit à une augmentation des prix. La croissance en valeur prend en compte l'augmentation des prix, c'est-à-dire l'inflation. La croissance en volume ne prend en compte que l'augmentation des quantités produites.
La hausse des salaires, l'augmentation du temps de travail et la régulation des prix du logement permettront d'augmenter considérablement le pouvoir d'achat de la classe moyenne.
Les leviers de la croissance sont la quantité de travail, la quantité de capital et le progrès technique mis en œuvre dans un pays donné. La croissance est un phénomène relativement récent.
Ce chiffre ne mesure pas la santé de la population, son niveau d'instruction, l'égalité des chances, l'état de l'environnement ou de nombreuses autres dimensions de la qualité de la vie. Il ne mesure même pas des aspects cruciaux de l'économie tels que sa durabilité, c'est-à-dire si elle se dirige ou non vers un krach.
On peut envisager le PIB, c'est-à-dire le produit intérieur brut, comme étant la note globale figurant sur le bulletin d'évaluation des résultats économiques d'un pays ou d'une région. (Image d'un bulletin scolaire.) C'est l'une des méthodes employées pour mesurer la taille et la croissance de l'économie.
C'est la valeur du PIB divisée par le nombre d'habitants d'un pays. Il est plus efficace que le PIB pour mesurer le développement d'un pays, cependant, il n'est qu'une moyenne donc il ne permet pas de rendre compte des inégalités de revenu et de richesse au sein d'une population.