Même en se restreignant au commerce de produits manufacturés, des indicateurs différents sont en pratique utilisés pour mesurer la compétitivité : prix de production ou prix de gros, indices de prix à la consommation, déflateurs du PIB, prix d'exportation, coûts unitaires de main-d'œuvre et taux de change.
La compétitivité traduit plus généralement la capacité d'une économie ou d'une entreprise à faire face à la concurrence étrangère. Mais le calcul de l'indice de compétitivité d'un pays se fonde uniquement sur les prix : c'est le rapport entre l'indice prix des importations et l'indice des prix à la production.
La compétitivité d'une économie dépend notamment de la qualité de la production, de la main-d'œuvre et des infrastructures, la capacité d'investissement, le coût salarial ou encore le dynamisme des petites et moyennes entreprises.
Parmi elles figurent le produit intérieur brut (PIB), l'indice des prix à la consommation (IPC), l'indice des prix à la production (IPP), le taux de chômage, le marché boursier, les prix du pétrole brut, les taux d'intérêt, la balance commerciale et la force des devises.
Le produit intérieur brut (PIB) est souvent le premier et parfois le seul agrégat qui vienne à l'esprit. Le PIB mesure la valeur monétaire des biens et services produits par un pays.
Ces 10 indicateurs complètent le produit intérieur brut (PIB) dans trois domaines : social, économique et environnemental.
Ces indicateurs concernent la sphère économique (taux d'emploi, effort de recherche, endettement), la sphère sociale (inégalités de revenus, pauvreté, espérance de vie, sorties précoces du système scolaire), mais aussi les dimensions psychologique (satisfaction de la vie) et environnementale (empreinte carbone et ...
Depuis le milieu du XXème siècle, le principal indicateur utilisé est le produit intérieur brut (PIB), qui représente la somme des valeurs ajoutées dégagées par les différents secteurs économiques sur un territoire.
La performance économique d'un pays est mesurée avec le produit intérieur brut. Le PIB nominal est exprimé dans la monnaie locale, en dollars US ou en euros. Si on le corrige de l'inflation, on obtient le PIB réel. Celui-ci mesure la création de valeur découlant de la production de biens et de services dans un pays.
Cet indicateur mesure le rapport entre la rémunération totale des 20% des ménages les plus aisés, et celle des 20% des ménages les plus modestes. Ce rapport représente l'« écart de revenus ». Les revenus prennent en compte l'ensemble des revenus d'activité et de remplacement, ainsi que les prestations sociales.
Même en se restreignant au commerce de produits manufacturés, des indicateurs différents sont en pratique utilisés pour mesurer la compétitivité : prix de production ou prix de gros, indices de prix à la consommation, déflateurs du PIB, prix d'exportation, coûts unitaires de main-d'œuvre et taux de change.
Cet article fait le point sur les trois facteurs pouvant influencer la compétitivité prix, le coût du travail, le taux de marge et le taux de change.
La compétitivité est notamment déterminée par les rapports relatifs des prix, sachant que la hiérarchie des prix est dépendante du niveau relatif des coûts des entreprises en concurrence.
De la productivité des firmes à leur compétitivité. L'idée est simple en fait : la hausse de la productivité des firmes améliore leur compétitivité, c'est-à-dire leur capacité à gagner des parts de marché, et donc celle du pays, ce qui accroit sa capacité à exporter.
Ne pas se souvenir qu'il existe deux grands types de compétitivité, prix et structurelle. Croire que la compétitivité d'une économie nationale peut se résumer à celle des entreprises résidentes.
Les plus couramment utilisés sont le chiffre d'affaires (global, par produit/service, par département), la marge brute, l'EBE (Excédent Brut d'Exploitation), le seuil de rentabilité etc.
La conjoncture nationale
Les indicateurs de conjoncture : résultats des enquêtes de conjoncture (Informations rapides) sur les grands thèmes de l'économie française : industrie, commerce, PIB, emploi et marché du travail, prix, revenu et consommation, etc.
Le produit intérieur brut (PIB)
Il donne une mesure des richesses nouvelles créées chaque année par le système productif du pays et permet des comparaisons internationales.
Le PIB est un bon indicateur des échanges monétaires. Mais il ne prend pas en compte les autres enjeux sociaux, ceux liés aux revenus et invisibilise complètement les enjeux environnementaux.
Le PIB est sans conteste l'indicateur le plus important pour décrire l'évolution d'une économie. Il quantifie la création de valeur annuelle d'un espace économique et exprime le revenu correspondant en termes monétaires.
Le PIB est donc un chiffre de synthèse, mais qui s'accompagne d'un narratif provenant des diverses manières de le décomposer et donc d'en rendre compte. De fait, l'objectif principal des comptes nationaux est bien plus vaste que de calculer le PIB.
Un bon indicateur de performance doit être pertinent, éviter les effets pervers, attribuable, bien défini, disponible en temps utile, fiable, comparable, et vérifiable. Pertinent: Un indicateur doit être pertinent au regard des objectifs de l'organisation.
Dix indicateurs sont rassemblés en trois dimensions : la nutrition et la mortalité infantile pour la santé ; les années de scolarité et les enfants inscrits pour l'éducation ; l'électricité, l'eau, les toilettes, les combustibles de cuisine, la nature du sol et la détention de biens pour le niveau de vie.
Les indicateurs sont le PIB et le PIB / habitant pour la richesse ; l'espérance de vie pour la santé et le niveau de scolarisation et l'analphabétisme pour l'éducation. 8) A quel(s) continent(s) correspondent ces niveaux de développement ? Quels indicateurs pour mesurer la richesse et la pauvreté ?