Un indicateur qualitatif consiste ainsi en toute donnée non chiffrée qui permette de porter une appréciation afin de qualifier un critère. Les indicateurs dit qualitatifs intègrent des opinions, des perceptions du changement, des constats ou appréciations d'une situation.
Voici quelques exemples d'indicateurs qualitatifs : capacité fonctionnelle des ONG ; niveau de participation des femmes à la gouvernance locale ; participation à la prise de décision concernant la prestation de services ; niveau de satisfaction des employés ; changements dans les connaissances et les attitudes, etc.
On peut distinguer quatre types d'indicateurs : les indicateurs d'activité, d'efficacité, d'efficience et de performance.
Pour formuler des indicateurs, voici une proposition d'une règle de base. Chaque indicateur se formule à partir de deux éléments : un mot variable et un objet spécifique. Il s'agit d'une méthode conventionnelle de formulation qui aide à bâtir des indicateurs plus spécifiques et donc plus fiables.
Pour faire simple, les données quantitatives fournissent les chiffres qui valident les points généraux de votre étude alors que les données qualitatives apportent les détails et le contexte pour en comprendre toutes les implications.
L'étude qualitative : est descriptive et se concentre sur des interprétations. Les résultats sont exprimés avec des mots. L'étude quantitative : permet de prouver ou démontrer des faits. Les résultats sont exprimés en chiffres (statistiques).
Qui relève de la qualité, de la nature de quelque chose (par opposition à quantitatif) : Une différence qualitative.
Pour les objectifs de type qualitatif, il faudra les rendre les plus concrets possible pour pouvoir en mesurer l'atteinte (voir plus loin la smartisation). Il existe plusieurs versions concernant la signification de cet acronyme (en langue anglaise à l'origine).
L'adjectif qualitatif signifie « qui concerne la qualité, la nature d'une chose et de ses éléments constitutifs » et s'oppose à quantitatif. Une étude qualitative est donc une étude portant sur la qualité d'un produit, d'un service, etc., et non une étude de haut niveau.
Ils sont fiables par définition et étroitement adaptés au contexte du décideur, à la métrique et au type de performance à mesurer. Il semble donc évident qu'un indicateur est impérativement choisi par celui ou ceux qui devront l'utiliser.
KPI est l'abréviation de Key Performance Indicator, ou indicateurs clés de performance (ICP) en français. Ces indicateurs font référence à un ensemble de mesures quantifiables utilisées pour évaluer la performance globale à long terme d'une entreprise. En soi, les KPI n'ajoutent aucune valeur à une entreprise.
Un indicateur est une grandeur spécifique observable et mesurable qui peut servir à montrer les changements obtenus ou les progrès accomplis par un programme en vue de la réalisation d'un effet spécifique. Il faut retenir au moins un indicateur par effet. L'indicateur doit être focalisé, clair et spécifique.
Quelle est la différence entre les objectifs qualitatifs et quantitatifs ? Les objectifs quantitatifs décrivent un résultat mesurable à atteindre à une date donnée ; alors que les objectifs qualitatifs sont plus difficiles à exprimer par un chiffre.
Un « bon » indicateur, adapté à ses besoins, doit disposer de 3 qualités : Simplicité, Représentativité, Opérationnalité.
Les indicateurs de création de valeur. Les indicateurs de création de valeur mesurent la capacité d'une entreprise à rentabiliser les fonds investis par ses propriétaires, l'entreprise créée de la valeur quand elle offre une rentabilité supérieure au coût des fonds confiés par ces derniers.
Un objectif qualitatif se rapporte essentiellement au travail personnel de l'individu, à ses démarches, à son comportement. Son évaluation n'est influencée par aucun paramètre extérieur sur lequel la personne en charge n'ait d'emprise directe.
Une variable catégorique (aussi appelée variable qualitative) réfère à une caractéristique qui n'est pas quantifiable. Une variable catégorique peut être nominale ou ordinale.
Les études qualitatives permettent également d'apprécier la perception de « l'image d'une marque » (ancrage, champ de compétence, personnalité, combat, valeurs, etc.). Les études qualitatives servent à comprendre les ressorts du comportement du consommateur, elles permettent un décryptage des insights.
La recherche qualitative est particulièrement appropriée lorsque les phénomènes sociaux observés sont difficiles à mesurer. L'exemple de l'étude des stratégies de survie des femmes en situation de mendicité et des perceptions de la population citadine de cette forme de mendicité en est illustratif.