Système nerveux, insomnie et état d'irritabilité C'est pourquoi, la consommation régulière de caféine peut causer des sensations de palpitations, des étourdissements, de l'anxiété et des maux de tête. Nous vous conseillons donc de vous limiter à une dose modérée (1 à 2 cafés par jour).
Les 3 méfaits les plus reconnus, quel que soit le nombre de café par jour et la variété (café robusta, café arabica), sont : L'insomnie et l'agitation ; Les maux de tête ; Les reflux gastriques acides.
La caféine peut également avoir un effet diurétique et provoquer rougeur du visage, contractions musculaires involontaires et agitation. Chez certaines personnes, il suffit d'une très faible quantité de caféine pour que ces effets se manifestent (250 mg, soit deux tasses de café par jour).
Une consommation excessive de caféine peut augmenter les risques de cancer de la vessie, du côlon et du rectum. Cela peut également favoriser l'augmentation du taux de cholestérol, de l'hypertension, ainsi que les problèmes d'hémorragies méningées chez les personnes à risque, entre autres.
Une étude finlandaise a révélé qu'une consommation élevée de café (plus de 4 tasses par jour) peut augmenter le risque de souffrir de polyarthrite rhumatoïde. La polyarthrite rhumatoïde est une maladie inflammatoire sévère qui touche les articulations et peut entraîner un handicap.
Eh bien, figurez-vous qu'il s'agit en fait d'une des pires manières de commencer votre journée. En réalité, les scientifiques s'accordent à dire que boire du café à jeun, au réveil, peut s'avérer totalement contre productif et nous rendre encore plus fébriles et fatigués pour le reste de la journée...
Des études montrent qu'une consommation modérée de café noir - deux à quatre tasses pour être exact - peut diminuer le risque de développer un trouble hépatique évitable, notamment la stéatose hépatique, le cancer du foie, la fibrose (tissu cicatriciel qui se forme dans le foie) et la cirrhose.
L'Agence Européenne pour la Sécurité des Aliments (EFSA) recommande de ne pas dépasser 400 mg de caféine par jour pour un adulte en bonne santé, soit l'équivalent de 3 tasses de café par jour. Ce dosage ne doit pas dépasser les 200 mg pour les femmes enceintes ou allaitantes.
Les recherches menées par l'institut Coffee & Heath révèlent que le café est un bon allié pour le bien-être cérébral. Il lutte contre les inflammations, réduit la détérioration des cellules liées à la mémoire. Ainsi, une consommation régulière, mais modérée, permet de créer une défense pour le cerveau.
La consommation régulière de caféine modifie durablement le fonctionnement moléculaire des cellules de l'hippocampe, siège de la mémoire dans le cerveau. Cela se traduit par une plus grande plasticité neuronale, susceptible de faciliter les apprentissages et d'améliorer la mémoire.
Cependant, au-delà de son inefficacité lors des pics de cortisol, il est fortement déconseillé de consommer de la caféine 6h avant d'aller dormir, soit en fin d'après midi.
Une heure de sommeil en moins
Si officiellement, les experts recommandent d'éviter le café au moins six heures avant d'aller dormir, cela varie d'une personne à l'autre, selon la sensibilité individuelle de chacun. Mais pour les plus sensibles, il ne faudrait plus boire de café après la pause déjeuner.
Le bon moment pour prendre son café
Il s'avère que le meilleur moment pour boire du café n'est peut-être pas directement en se réveillant, mais une heure après. Comme notre taux de cortisol serait particulièrement haut avant 9h, il ne serait pas nécessaire de le stimuler à ce moment-là.
La caféine augmente la perte de minéraux et d'eau, ce qui favorise les crampes.
La consommation de café limite les maladies cardiovasculaires. Des chercheurs allemands ont observé que la caféine favorise le déplacement d'une protéine appelée p27 vers les mitochondries de la cellule. Les effets bénéfiques pour le système cardiovasculaire sont observés pour une consommation de quatre tasses de café.
Les effets sur le système digestif
Le café stimule la production d'acides dans l'estomac, ce qui peut l'irriter. Les personnes sujettes aux brûlures d'estomac et aux reflux peuvent souffrir de cette irritation. Pour certaines, l'inconfort se fait davantage sentir lorsque le café est bu le ventre vide.
Arthrose et café
Diminuez, voire éliminez le café de votre petit déjeuner ou de votre journée en général. La caféine est susceptible de provoquer une inflammation et par conséquent d'augmenter le risque de douleurs liées à l'arthrose.
Diverses études de recherche ont indiqué que le café peut contribuer à : Brûlures d'estomac et indigestions. Stimulation du mouvement dans les intestins, entraînant des selles molles et/ou la diarrhée.
Reflux, brûlure d'estomac et côlon irritable
Dans ce cas, consommer du café est une mauvaise idée, puisqu'il diminue la tension de repos du SOI, ce qui contribue au reflux. Le café peut aussi empirer les symptômes chez les personnes souffrant du syndrome de l'intestin irritable.
La relation café – articulations
Certaines recherches ont montré que la caféine peut avoir des propriétés anti-inflammatoires, ce qui pourrait être bénéfique pour les personnes souffrant de problèmes articulaires.
Chez les adultes sains, la demi-vie moyenne est d'environ quatre heures, avec un intervalle qui peut s'étendre de deux à huit heures.
En pratique, boire deux à cinq tasses par jour est une habitude tout à fait compatible avec une bonne santé ! La principale réserve concerne l'impact qu'il peut avoir chez certaines personnes sur le sommeil. Si vous êtes dans ce cas, la dernière tasse de café devrait être bue au moins 9 heures avant de se coucher.
L'alcool est l'ennemi numéro un du foie. En quantité excessive, il finit par détruire ses cellules. « Il ne faut pas dépasser deux à trois verres par jour, en évitant de boire tous les jours ». En raison de facteurs génétiques ou morphologiques, nous sommes inégaux face à ce risque.
Résultat, les participants ayant déclaré boire plus de trois tasses de café par jour présentaient des niveaux d'enzymes hépatiques (ASAT/ALAT), de gamma GT (augmentées notamment dans l'alcoolisme) et de phosphatases alcalines plus bas. Et ce, comparés à ceux qui n'en consommaient pas.