Le tamoxifène administré pendant 5 ans a longtemps été le traitement standard en situation adjuvante quel que soit le statut ménopausique, permettant une réduction significative du risque de récidive et de mortalité par cancer du sein à 15 ans de 39% et 30% respectivement (1).
«Le yoga, la sophrologie, la relaxation ou la méditation, peuvent aider à les réduire», affirme la gynécologue. «Une méta-analyse d'études de l'acupuncture sur des survivantes de cancers du sein a démontré une réduction des bouffées de chaleur (2)», ajoute le Dr Saghatchian.
Si des effets secondaires se manifestent, ils peuvent le faire n'importe quand pendant l'hormonothérapie, tout de suite après ou quelques jours voire quelques semaines plus tard. Il arrive que des effets secondaires apparaissent des mois ou des années à la suite de l'hormonothérapie (effets tardifs).
L'arrêt de l'hormonothérapie après la première année augmentent le risque de rechute du cancer du sein chez les femmes jeunes.
La chimiothérapie, la radiothérapie, l'hormonothérapie et le traitement ciblé peuvent provoquer une perte de poils et de cheveux. Si certains traitements entraînent inévitablement une perte de poils et de cheveux, dans d'autres cas il sera difficile de prévoir si un tel effet se produira.
Certaines plantes non hormonales comme l'Actaea racemosa ou l'Actaea cimicifuga peuvent limiter les effets secondaires sans empêcher l'action de ces antihormones. Plusieurs études montrent en effet leur efficacité sans interférer avec les traitements classiques.
Contrairement à la chimiothérapie ou à la radiothérapie, qui cherchent à tuer rapidement les cellules cancéreuses, l'hormonothérapie vise à entraîner leur mort à plus long terme en créant un milieu hormonal qui leur est défavorable.
L'harpagophytum
Les douleurs articulaires font partie des effets secondaires de l'hormonothérapie les plus fréquents. L'harpagophytum possède des propriétés anti-inflammatoires reconnues. Il est préférable de prendre cette plante sous forme d'extraits secs, sous forme de gélules ou de comprimés.
– Le taux de survie à 5 ans est souvent utilisé par les oncologues et autres scientifiques travaillant sur le cancer chez les adultes. L'idée est que si 5 ans après la découverte du cancer le patient est toujours vivant, la probabilité est élevée que le cancer ait disparu de l'organisme.
L'hormonothérapie est le plus souvent très efficace, notamment dans le traitement des cancers du sein hormono-dépendants (près des trois-quarts des cancers du sein), où elle est souvent prescrite en complément d'une chimiothérapie. Elle a fait chuter la mortalité liée aux cancers du sein.
Les bienfaits de l'hormonothérapie — suppression des bouffées de chaleur et augmentation de la densité minérale osseuse — ont aussi disparu. Le risque de cancer du sein était légèrement élevé, et il y avait des indices d'une augmentation des risques de cancer du poumon (et d'autres cancers) et de mortalité.
Le traitement hormonal fait grossir.
La raison : les ovaires sécrètent moins d'hormones sexuelles. Résultat, notre métabolisme ralentit et notre corps a tendance à se « masculiniser », d'où l'épaississement de la taille.
Se dit d'un cancer dont la croissance est stimulée par des hormones. Certains cancers sont hormonodépendants ou hormonosensibles : la croissance de leurs cellules est activée par des hormones. Un traitement hormonal permet alors de freiner ou de stopper le développement de ces cancers.
La rechute est liée à une destruction incomplète des cellules cancéreuses lors du premier traitement. Ces cellules vont se multiplier et peuvent rester « dormantes » pendant des mois ou des années, ce qui explique les récidives tardives(2).
L'hormonothérapie consiste en la prise d'un médicament qui soit bloque la production hormonale, soit s'oppose à son action ; cela permet ainsi de réduire la croissance des cellules cancéreuses.
La fatigue, une prise de poids et des bouffées de chaleur sont également en rapport avec cette privation hormonale. En cas de prise d'anti-aromatases, des douleurs musculaires et articulaires peuvent être ressenties.
Le cancer du sein est un cancer insidieux, qui peut se développer sans autre symptôme qu'une gêne, un manque de souplesse, ou une tuméfaction dans le sein que l'on sent sous la douche. Toutefois, une douleur peut parfois apparaître.
Le cancer foudroyant est une maladie qui se propage très rapidement. Certaines tumeurs comme au pancréas, au sein, au cerveau ou au poumon peuvent survenir foudroyants.
Ces effets secondaires engendrent alors un amaigrissement, voire une cachexie (maigreur extrême) avec non seulement une fonte graisseuse, mais aussi une perte de la masse musculaire, ce qui rend le patient encore plus sensible aux effets secondaires de la thérapie.
Certaines femmes optent pour une hormonothérapie substitutive (HTS) afin d'atténuer leurs symptômes de ménopause. Ce traitement consiste à prendre un médicament qui contient les hormones que les ovaires produisent de moins en moins lorsque la femme vieillit et entre en ménopause.
L'équipe Rose comme femme à sélectionné pour vous le shampooing doux Cytolcap de la marque Cytolnat. Spécialement conçu pour prendre soin des cheveux fragilisés et dévitalisés à la suite d'un traitement par chimiothérapie, il favorise la repousse des cheveux avec une forte densité.
La leptine est une hormone digestive peptidique qui permet à la fois de réguler les réserves lipidiques de l'organisme et de stimuler la satiété. C'est d'ailleurs pourquoi elle est aussi nommée "hormone de la satiété".