La scolarisation des jeunes filles est un élément essentiel de leur accès à l'autonomie économique et un enjeu majeur de développement. Par l'éducation, elles gagnent en connaissances, ce qui influe par exemple sur la mortalité infantile car une fois mères, elles auront les bons gestes pour leurs enfants.
Pour les filles qui abandonnent prématurément l'école, les conséquences sont graves. Selon un rapport de la Banque mondiale, les pertes de productivité et de revenu tout au long de la vie pour les filles n'ayant pas effectué 12 ans d'études sont estimées entre 15 000 et 30 000 milliards de dollars à l'échelle mondiale.
Les familles pauvres forment aussi un groupe à risque. Cette non scolarisation de fille a comme conséquence ; les mariages précoces, les grossesses indésirables, la discrimination, leur absence quasi-totale sur la place publique dans la gestion de la chose publique.
Les résultats obtenus démontrent à suffisance le rôle clé de la scolarisation des filles comme condition indispensable requise pour obtenir un changement à moyen et long terme du comportement des parents en vue de l'amélioration de la situation des enfants en matière de santé et d'éducation.
Mettre en place un partenariat mondial pour le développement : Les exemples typiques de partenariat mondial pour le développement sont l'Initiative des Nations Unies en faveur de l'éducation des filles (UNGEI), l'Initiative EFA-Fast Track (EFA-FTI) et le Programme international d'harmonisation.
L'instruction des filles permet généralement d'accroître leur potentiel de revenu personnel et de réduire la pauvreté dans leur communauté. Selon la Banque mondiale, chaque année d'enseignement secondaire permet aux filles d'accroître leur salaire à l'âge adulte dans une proportion pouvant aller jusqu'à 25 %.
Gestion d'une passerelle d'accueil et d'orientation de jeunes déscolarisés. Accompagnement à la mise en place d'ateliers relais. Analyse des besoins d'un Établissement de Réinsertion Scolaire de proximité afin de proposer un projet de formation pour le personnel, la mise en œuvre d'actions éducatives complémentaires…
Éduquer une fille c'est éduquer une nation, parce que la femme est le fondement de toute société. Nous savons que l'éducation est le plus puissant facteur de réduction de la pauvreté dans le monde, capable de mettre fin aux cycles intergénérationnels de désavantages et de booster des économies entières.
Coopérer avec les enseignants pour éviter que son enfant décroche. Pour lutter contre la déscolarisation et l'exclusion, il est important de favoriser une collaboration étroite école-famille. Un dialogue régulier entre les équipes éducatives et les parents d'élèves permet en effet d'éviter l'abandon scolaire précoce.
L'école apprend aux filles que leur voix compte et qu'elle mérite d'être entendue ! Aussi, chaque année passée par une fille à l'école augmente son futur revenu de 10 à 20 %. Ainsi grâce à la scolarisation systématique des filles, un pays peut augmenter son produit intérieur brut (PIB) en moyenne de 3 %.
Éduquer une fille, c'est éduquer toute une nation
L'intellectuel ghanéen James Emman Aggrey ne s'y pas trompé qui affirmait dès les années 20 : « Éduquer un homme, c'est éduquer un individu. Éduquer une femme, c'est éduquer toute une nation ».
Une meilleure santé
Des études ont démontré l'effet positif que l'éducation des filles avait sur leur santé et leur bien-être en général. Améliorer l'accès à l'école d'une fille diminue le risque qu'elle contracte le VIH et améliore la santé future des enfants et des mères.
Action de scolariser, c'est-à-dire d'envoyer à l'école. Exemple : La scolarisation des enfants avant l'âge de trois ans est un sujet qui divise les parents de cette école. Etat d'une personne qui est scolarisée.
L'éducation des filles est un catalyseur majeur de développement à la fois humain, sanitaire, économique et social. Retour sur le rapport de l'UNESCO publié en 2013. Si toutes les femmes bénéficiaient d'une éducation de base, 1 million des 6,1 millions d'enfants qui meurent avant l'âge de 5 ans seraient sauvés.
Les chromosomes XX sont pour le sexe féminin et XY pour le masculin. C'est le chromosome 23 qui détient les informations qui vont déterminer le sexe de l'enfant. Chaque cellule sexuelle contient la moitié des chromosomes (23). Ainsi, dans le cas de l'ovule, le chromosome 23 est un X.
Sur les raisons invoquées de décrochage, cette étude met en exergue trois facteurs qui sont liés : le manque de motivation, les mauvais résultats scolaires et la mauvaise estime de soi. Pas moins de 92 % des élèves interrogés estiment avoir manqué de motivation et d'intérêt pour l'école.
Leur déficit dans leur capacité relationnelle,sociale diminue leurs aptitudes à interagir. Leurs rapports avec autrui sont souvent tendus caractérisés par l'irritation,l'agressivité,l'hostilité.
D'après l'article L131-8 du Code de l'Education, les raisons valables pour lesquelles un enfant peut momentanément manquer la classe sont au nombre de cinq: "maladie de l'enfant, maladie transmissible ou contagieuse d'un membre de la famille, réunion solennelle de famille, empêchement résultant de la difficulté ...
Rechercher des solutions équitables et un accès universel ; Assurer des réponses coordonnées et éviter le chevauchement des efforts ; Faciliter le retour des élèves à l'école lors de la réouverture des établissements afin d'éviter une hausse des taux d'abandon.