« Père, je remets mon esprit entre tes mains » (Luc 23:46). Le Fils du Tout-puissant a donné volontairement sa vie. Il avait hérité de sa mère, Marie, la mortalité, et de Dieu, le Père de son corps mortel, la capacité de vivre éternellement dans un état mortel.
"Tout est achevé" (Jn 19,30) prononcée après qu'il eut bu de cette boisson. Jésus poussa un grand cri : "Père, entre tes mains je remets mon esprit" (Lc 23,46). Et sur ces mots, il mourut.
1On le sait, tout l'évangile de Jean converge vers l'heure, celle de l'élévation du Fils de l'homme sur une croix. Or, précisément à cette heure où il est élevé de terre, Jésus dit : « j'ai soif ». On lui tendit du vinaigre. Quand il l'eut pris, il dit « c'est accompli », puis il inclina la tête et il rendit l'esprit.
7 Coupes de la colère de Dieu répandues sur la Terre – La Mer – Les Sources – Le Soleil – Le Trône de la Bête – L'Euphrate – Les Airs. Pensées chrétiennes : signes annonciateurs de la fin du Monde et de la Colère de Dieu.
Ainsi, pour répondre et atténuer l'agonie du Christ sur la croix, on porta aux lèvres de Jésus une éponge fixée au bout d'un bâton et plongée au préalable dans de la posca, ou vinaigre. Celui, après avoir en avoir goûté, se refusa de le boire, préférant alors l'agonie lente sans atténuation.
L'une de ces basiliques, le Saint-Sépulcre à Jérusalem, est érigée sur l'emplacement présumé du tombeau du Christ et du Golgotha. Rapidement, cette basilique prétend posséder une relique particulièrement prestigieuse : la Vraie Croix.
Le Saint Sang de Fécamp en Seine-Maritime
Tabernacle contenant la relique du sang dit de Jésus, église abbatiale de Fécamp.
Le Saint Calice est la coupe utilisée par Jésus-Christ et ses douze disciples au cours de la Cène, repas qu'ils prirent pour commémorer ensemble la Pâque juive, à la veille du jour où Jésus allait être livré aux Romains, qui le crucifièrent.
L'un d'eux, Balthazar, a même changé d'apparence au cours de l'histoire. Ils sont venus « de l'Orient », guidés par une étoile… Au Divin Enfant qui venait de naître à Bethléem, ils apportaient des présents, de l'or, de la myrrhe et de l'encens.
Au-dessus du lit, la croix religieuse pousse le croyant à mettre de l'ordre dans sa vie avec l'aide et la protection de Dieu.
Le front symbolise l'esprit, la poitrine le cœur, l'épaule droite la justice, et l'épaule gauche la miséricorde qui tempère la justice. Ces trois doigts symbolisent la Trinité (Père, Fils et Esprit) et se réunissent à leur sommet pour marquer que Dieu est Un.
À l'origine, la croix latine inversée est un emblème chrétien avec une forte valeur pour l'Église. Elle est issue de la tradition catholique. C'est l'apôtre Pierre qui lui a donné son importance en demandant d'être crucifié la tête en bas pour démontrer sa soumission au Seigneur.
Psaume 119 (118)
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Les larrons n'ayant pas de nom au départ, il fallait d'abord leur en donner un. Ainsi, l'Évangile de Nicodème, appelé aussi les Actes de Pilate, très proche par ailleurs de Luc, appelle Dismas, celui à la droite du Christ, et Gestas, celui à sa gauche.
Selon le professeur d'histoire alimentaire Ken Albala, Jésus mangeait plus ou moins un régime méditerranéen, selon ce qui était disponible en Terre Sainte à l'époque : le pain et le vin étaient des aliments de base, les olives étaient essentielles, avec les figues, les dattes et les grenades, les noix, les pois chiches ...
La Cène (terme issu du latin cena, « repas du soir, souper ») est le nom donné dans la religion chrétienne au dernier repas que Jésus-Christ prit avec les douze apôtres le soir du Jeudi saint, avant la Pâque juive, peu de temps avant son arrestation, la veille de sa crucifixion, et trois jours avant sa résurrection.
Ostension du périzonium dans la cathédrale d'Aix-la-Chapelle. Appelé aussi Saint Pagne ou pagne de pureté, il désigne avec cette dénomination le morceau d'étoffe qui aurait servi à cacher la nudité de Jésus de Nazareth en croix.
Dans le christianisme évangélique, le Saint-Esprit est considéré comme étant pleinement Dieu. Il s'agit de la manifestation éternelle de Dieu dans la dimension humaine. C'est la présence de l'Esprit que Jésus a promise dans l'Évangile à ceux qui se convertiraient, attestée par les premiers témoins du Christ (Ac 2).
De quoi s'agit-il ? D'une représentation particulière du Christ : celui-ci foule aux pieds du raisin dont jaillit du vin ; il est lui-même comprimé par un pressoir à vin, et des blessures que son corps a subies lors de la Passion coule son sang qui se mêle au vin des grappes qu'il écrase.
La Sang du Christ est un thème fréquent dans l'iconographie chrétienne, évoqué notamment par le sang qui s'écoule d'une ou de plusieurs de ses cinq plaies et qui est recueilli dans un calice, par des saints ou des anges hématophores (littéralement « porteurs de sang »).
Aussi appelée « croix de crucifix ou croix latine », la croix de Jésus désigne la crucifixion du Christ. L'histoire raconte que ce modèle de croix catholique serait le dérivé du poignard, le symbole d'origine païenne.
Les crucifix sont fréquemment utilisés dans les églises catholiques, orthodoxes et certaines églises protestantes (luthériennes et anglicanes). La majorité des églises protestantes et toutes les églises chrétiennes évangéliques utilisent uniquement la croix christique.
Homme de terrain et d'expérience, Philippe Da Costa a été élu à la présidence de la Croix-Rouge française le 10 septembre 2021, lors de notre 77e assemblée générale. Agé de 60 ans, Philippe Da Costa, est depuis de nombreuses années engagé au sein de la Croix-Rouge française.