Les poissons les plus adaptés à une consommation crue sont : le saumon, la daurade, le bar et le thon. Il faut les choisir en fonction de la saison durant laquelle ils sont le plus savoureux. Il est important de préciser que la fraîcheur du poisson est primordiale.
Saumon, maquereau, hareng, thon, sardines, anchois, merlu, cabillaud, morue… qu'ils soient salés ou fumés, lorsque ces poissons ne sont pas cuits, ils présentent un risque sanitaire. Les anisakidés, par exemple, peuvent être présents dans plus d'une centaine d'espèces différentes.
Si vous souhaitez préparer du poisson cru sans risque, chez vous, pensez aux recettes de marinade ! Faire mariner le poisson dans un liquide acide, comme du jus de citron par exemple permet de le cuire sans chaleur. Ainsi, les principales bactéries sont détruites.
Lorsqu'elle est très fraiche, la truite peut également être consommée crue, en tartare, ceviche ou carpaccio.
Le plus connu est l'anisakis. Trois à six heures après la consommation de poisson infesté, il provoque des douleurs gastriques violentes parfois associées à des nausées et des vomissements. Pour éviter ces inconvénients il suffit de congeler le poisson avant de le consommer cru, 7 jours à -20°C ou 15 heures à -35°C.
Les poissons les plus adaptés à une consommation crue sont : le saumon, la daurade, le bar et le thon. Il faut les choisir en fonction de la saison durant laquelle ils sont le plus savoureux. Il est important de préciser que la fraîcheur du poisson est primordiale.
Le poisson cru est un aliment fragile, son altération peut provoquer des intoxications alimentaires telles que l'anisakidose. Il s'agit d'une infection due à l'ingestion de poisson cru contenant des larves d'anisakis.
le thon rouge : c'est le plus gros de la famille. Il est pêché en Méditerranée ou dans le Golfe de Gascogne. Sa chair, très appréciée, est toujours consommée fraîche, voire crue. l'albacore : on le reconnaît à ses nageoires jaunes et à sa chair rosée.
Le maquereau se consomme cru au Japon, dans la traditionnelle recette du shime saba. Il faut bien le faire mariner. Le maquereau est également excellent en vinaigrette. Tu peux le mariner au citron vert, à l'huile d'olive, ou dans une marinade de ton choix.
Comparativement aux autres viandes, le poisson cru est faible en gras, ce qui en fait une source de protéines pour le cœur. De plus, le poisson contient des acides gras oméga-3, qui contribuent à la santé de votre système cardiovasculaire. Le thon et le saumon sont en tête de liste pour la santé cardiovasculaire.
Prenez toujours le temps d'examiner le poisson cru pour vous assurer qu'il est encore bon avant de le cuisiner. Ne mangez pas les restes de saumon qui n'ont pas été réfrigérés correctement ou qui ont plus de 2 jours. Assurez-vous que le poisson est complètement cuit avant de le déguster.
Cru, en tartare ou en sashimis
Finement tranché en sashimis, à l'aide d'un couteau bien aiguisé, il peut être dégusté tel quel avec un simple jus de citron et un peu de fleur de sel.
D'une façon générale, les poissons sauvages sont susceptibles de porter des parasites, comme le ver anisakis par exemple. Par précaution, il vaut mieux les congeler avant de les consommer cru, au minimum 24h à -20°C.
Le tartare :
Du saumon, de l'avocat, de l'huile d'olive, de la coriandre, du paprika et du poivre. Rien de plus, rien de moins. C'est comme ça qu'on l'aime, et en le couvrant d'un filet de citron vert, on peut même le préparer à l'avance. Mon astuce : Congeler le poisson frais la veille.
Un rapport officiel condamne les sushis
En effet c'est en soignant un patient atteint d'intenses douleurs abdominales qu'ils ont identifié une infection parasitaire (l'anisakiase) du nom des vers parasites (anisakis) qu'on trouve naturellement dans la viande ou le poisson cru.
Il faut éviter de manger des gros poissons le soir parce qu'ils sont riches en protéines, elles-mêmes excitantes. "Il faut privilégier les petits poissons comme les sardines, les petits maquereaux, les harengs et saumons" conseille la nutritionniste Alexandra Dalu.
Acheter un poisson «qualité tartare»
Le poisson doit être brillant. Lorsqu'il est frais, il ne dégage pas une forte odeur. Idéalement, on opte pour le bas de queue, notamment dans le cas du saumon, car cette partie contient moins de gras et se digère donc plus facilement.
Pour des raisons pratiques, le maquereau est plus souvent dégusté en conserve que frais. C'est également un poisson gras merveilleux. Il est quasiment aussi riche en oméga 3 (EPA et DHA) que les sardines. Une portion de 100 g de maquereau couvre 5 à 6 fois le besoin quotidien en EPA et DHA !
Pour confectionner vos sushis, pensez au coeur de saumon frais de votre poissonnier Grand Frais ! Vendu en barquette d'environ 250g, sans peau et sans arêtes, il est prêt à cuisiner… et à déguster !
Les préparations crues devraient être consommées dans les 24 heures suivant la confection. Il se peut que des marchands vendent des produits dont la durée de conservation indiquée dépasse les 24 heures.
De votre côté, ne laissez pas de sushis au réfrigérateur pour le consommer le lendemain. Le sushi se consomme extrêmement frais ou ne se consomme pas !
J'ai trop de cholestérol ; c'est bon pour moi le Saumon Fumé ? Oui, tout à fait. C'est un poisson gras riche en Oméga 3 dont on sait qu'ils sont utiles en prévention des maladies cardio-vasculaires.
Palper le poisson entier permet de s'en faire une meilleure idée sur la qualité : il suffit d'effectuer de légère pression sur la chair. Si elle reprend immédiatement sa forme, la fraîcheur est bien au rendez-vous. L'odeur est également significative : un poisson frais ne sent pas mauvais.
Le poisson cru étant lourd à digérer, ce n'est qu'à partir de 3 ans qu'un enfant peut commencer à goûter les sashimis, makis et autres sushis, et à condition qu'il tolère bien les poissons et fruits de mer. Comme pour le saumon fumé, leur fraîcheur ne doit faire aucun doute.