La maladie débute habituellement par une anomalie dans la formation des cellules sanguines de la moelle osseuse. Les cellules anormales (ou cellules leucémiques) se multiplient et deviennent plus nombreuses que les cellules normales, empêchant ainsi leur fonctionnement adéquat.
Le plus souvent, la leucémie lymphoïde chronique passe inaperçue. À un stade avancé, la leucémie lymphoïde chronique peut provoquer l'apparition de ganglions volumineux mais non douloureux au niveau du cou, des aisselles ou de l'aine, ou un gonflement de la rate ou, rarement, des amygdales.
Le but du traitement de la leucémie est de détruire toutes les cellules cancéreuses et de les libérer ainsi des symptômes dangereux. La guérison n'est possible que par le traitement de la leucémie. Pour les formes aiguës, un début de traitement immédiat est nécessaire.
La leucémie aiguë est principalement une maladie du sujet âgé : rare avant 45 ans, la survenue des leucémies aiguës myéloïdes augmente régulièrement avec l'âge à partir de 60 ans. Les leucémies aiguës lymphoïdes sont moins fréquentes et se déclarent surtout chez l'enfant de moins de 15 ans.
"On ne peut pas détecter un cancer par une prise de sang. La CRP est un marqueur de l'inflammation qui peut s'élever pour beaucoup de maladies, notamment des infections.
Une leucémie peut être suspectée suite à une simple prise de sang, lorsque la numération formule sanguine (NFS) est anormale montrant : une baisse du nombre de globules rouges, de plaquettes, de polynucléaires; la présence de cellules leucémiques au travers d'une quantité de globules blancs anormalement élevée.
Dans la majorité des cas, la leucémie lymphoïde chronique est une maladie d'évolution lente. Souvent, elle ne nécessite qu'une surveillance médicale régulière. C'est une forme de cancer qui n'est grave que par ses éventuelles complications, observées chez une minorité de patients.
La leucémie lymphoïde chronique est généralement découverte de manière fortuite, à l'occasion d'un bilan sanguin. En effet, dans la grande majorité des cas, elle ne provoque pas de symptôme. Dans les autres cas, les signes les plus fréquents de la maladie sont la fatigue et les infections répétées.
(Medisite) — La leucémie, ou cancer du sang, se développe à partir des cellules souches du sang. Il existe plusieurs formes, notamment la leucémie myéloïde et la leucémie lymphoïde. La différence entre ces deux cancers du sang réside dans le type de cellule souche touchée.
Elle est donc principalement observée dans les cancers de la tête du pancréas. L'apparition d'une fièvre et de frissons doit évoquer une infection de la bile en rétention. Il s'agit d'une urgence qui nécessite une prise en charge spécifique en hospitalisation.
Si les démangeaisons ont déjà été évoquées comme symptôme possible d'un lymphome de Hodgkin, le cas de Jade Baldwin montre toutefois qu'un patient qui souffre de démangeaisons, notamment au niveau des jambes, peut être atteint de ce cancer, et ce même si ses ganglions présentent une taille normale.
Cela se traduit par une diminution du nombre de globules rouges (à la clé, une anémie responsable de fatigue et pâleur), une baisse du nombre de plaquettes (avec un risque d'hémorragie) et du nombre de globules blancs (entraînant une fragilité du système immunitaire, et donc un risque majoré d'infections).
Pour vivre avec une leucémie en cours de traitement dans de bonnes conditions, il faut adhérer au traitement prodigué (le prendre régulièrement à la dose prescrite). Il est indéniable que cela améliore sa réussite. Cependant, même une leucémie correctement prise en charge reste difficile à vivre.
Certaines affections sont liées à une hausse du risque de cancer, dont la leucémie, attribuable à une mutation génétique héréditaire, soit un changement dans un gène. Ces affections portent le nom de syndromes du cancer familial ou de syndromes du cancer héréditaire.
En dessous de 3 500 leucocytes par mm3, on parle de leucopénie, au-dessus de 10 000 leucocytes par mm3, il s'agit d'une hyperleucocytose. Entre 10 000 et 15 000, on dit qu'elle est modérée, au-delà de 15 000, on parle d'hyperleucocytose franche.
Les examens de radiologie diagnostique et de médecine nucléaire sont particulièrement utiles pour dépister les cancers, déterminer leur stade (c'est-à-dire leur étendue, par exemple la taille des tumeurs et leur éventuelle propagation au-delà du site primaire), et assurer le suivi, la planification thérapeutique, l' ...
L'échographie est très intéressante dans le cadre du cancer, car non seulement elle n'entraîne aucune douleur, mais en plus elle permet de détecter d'éventuelles tumeurs ou métastases, de les localiser avec précision et d'en évaluer le volume.
Un bilan sanguin classique complet peut être composé des examens suivants : Le dosage du Cholestérol, de ses fractions (HDL et LDL, respectivement bon et mauvais cholestérol) et des triglycérides constituent le bilan lipidique et doit se faire à jeun.
La leucémie promyélocytaire aiguë était, autrefois, considérée comme la forme la plus grave de leucémie. Aujourd'hui, elle est l'une des formes de LMA les plus faciles à traiter. Plus de 70 % des personnes atteintes de leucémie promyélocytaire aiguë en guérissent.
La leucémie lymphoïde
Survenant le plus souvent après 60 ans, cette autre forme de cancer touche un type de cellules spécifiques : les lymphocytes. Les cellules atteintes s'agglomèrent dans la moelle osseuse pour atteindre enfin le sang.
Les causes d'une leucémie peuvent être génétiques : anomalies chromosomiques, hérédité familiale avec ou sans facteur génétique identifié, anomalie génétique liée à l'origine ethnique. Les traitements médicamenteux et substances chimiques (chimiothérapies, pesticides, benzène...) sont également pointés du doigts.