Les conditions de vie des « poilus » dans cet univers sont excessivement dures : outre le froid, les rats, les poux, les odeurs pestilentielles et l'absence d'hygiène, l'ennemi le plus redoutable des combattants est la pluie, qui transforme les tranchées en fondrières malgré les caillebotis qui en garnissent le fond.
L'ennemi était en grande partie dissimulé à la vue et les soldats se sentaient souvent impuissants face à une mort arbitraire et soudaine. L'incapacité de se défendre contre les obus ou les tireurs d'élite et les difficultés constantes de la vie dans les tranchées provoquaient un stress et un épuisement excessifs.
La mort, faucheuse infatigable
Mises à part les véritables batailles, les tirs d'embuscade et les obus tuaient régulièrement des soldats dans les tranchées, phénomène appelé « gaspillage ». Ce nombre régulier de morts obligeait à envoyer constamment des renforts.
En effet, si la tranchée est avant tout un abri permettant aux soldats de se protéger, elle est aussi un lieu de vie quotidienne (corvées militaires, création de liens sociaux, perfectionnement du système de défense, transports divers, etc.) et de brassage (social, culturel, géographique, etc.)
Les souffrances psychologiques: Les poilus vivent dans la peur de mourir. Ils voient leurs compagnons mourir sous leurs yeux, dans des combats toujours plus violents. Beaucoup sont traumatisés à vie par toutes les horreurs subies.
Trous d'obus aménagés et reliés par des fossés creusés par les soldats, les tranchées étaient le théâtre de l'horreur, de l'attente de la mort.
L'enfer du front
Les privations, la mauvaise hygiène, la peur de mourir ou d'être blessé pèsent sur le moral des poilus. Ils se confient parfois dans des carnets, où ils racontent l'horreur de leur quotidien : « J'entreprends de franchir les cinquante mètres de boyau qui me séparent de la première ligne.
Dès 1914, pour se protéger des tirs et de la vision de l'ennemi, les soldats se réfugient dans des trous d'obus et creusent des abris de fortune qui reliés entre eux forment les tranchées.
Une tranchée est souvent protégé par des sacs de sables ou encore des barbelées si ces tout ce que tu voulais savoir.
4) La boue, les poux, les rats, le froid, l'humidité, la peur de la mort et des mutilations, la fatigue forment le quotidien des soldats dans les tranchées. Le soldat reste en contact à l'arrière par les lettres qu'il envoie et reçoit de sa famille. 5) Les combats sont extrêmes meurtriers.
Les tranchées servent à protéger les soldats.
Ils vivent dans l'humidité, la boue, la crasse, dans la puanteur. Ils vivent aussi avec les rats et les poux. Ils dorment peu. Ils font des trous sous les tranchées des ennemis pour les faire exploser.
tranchée
Fossé permettant au combat la circulation et le tir à couvert. (En cas de guerre de position, les tranchées sont équipées de postes d'observation et de commandement, d'abris et de boyaux les reliant à l'arrière ; elles deviennent alors de véritables positions fortifiées.)
Les conséquences du conflit sur le long terme sont majeures : les soldats ont subi de lourds traumatismes au cours des combats, les monuments aux morts sont érigés en souvenir des combattants militaires et civils, l'Europe ne domine plus le monde, elle est endettée et les États-Unis émergent de façon progressive et ...
Les poilus vivaient dans des tranchées dans des conditions déplorables : ils ne pouvaient pas se laver, ils vivaient avec les rats et les poux. Le bruit permanent des mitrailleuses et des obus les empêchait de se reposer ; ils dormaient à même le sol.
Les soldats devaient creuser des fossés pour se protéger de leurs ennemis . Ces fossés sont appelés « tranchées » .
Travaux publics
Les tranchées sont réalisées par excavation à l'aide de pelles mécaniques de différentes tailles selon l'importance des travaux et le lieu où il s'agit de creuser, de tractopelle, d'excavatrices par aspirations, ou de trancheuses.
L'article R4534-24 du Code du travail précise que les fouilles en tranchée de plus de 1,30 m de profondeur et d'une largeur égale ou inférieure aux deux tiers de la profondeur doivent être blindées, étrésillonnées ou étayées, lorsque leurs parois sont verticales ou sensiblement verticales.
En général, les tranchées qui ont une profondeur de 1,2 mètre (4 pieds) ou plus nécessitent un système de protection à moins que l'excavation soit faite entièrement de roc stable. Voici les facteurs à prendre en considération : Type de sol. Profondeur de coupe.
Certains des soldats qui viennent me voir souffrent d'anxiété, de dépression, voire de stress post-traumatique. Ils commencent alors un parcours d'errance qui les conduit parfois à la précarité sociale, à l'isolement, voire au suicide.
Il l'explique par leurs « tribulations sous les marmites », c'est-à-dire les conditions de vie dans les tranchées soumises à des bombardements ainsi que par les tentatives de percées inutiles. 3. Les soldats expriment leur rejet des conditions de vie dans les tranchées par leur refus de partir au combat.
Avec la Grande Guerre, l'artillerie inflige jusqu'à 70 %-80 % des blessures. Les éclats d'obus broient les membres, éventrent les corps, détruisent les visages. En cas d'impact direct, ils peuvent pulvériser un combattant, dont il ne reste finalement plus rien.
Ils vivent avec des cadavres en décomposition autour d'eux. Les soldats dorment dans des casemates, souvent protégées sous d'importantes masses de terre, où l'atmosphère est souvent humide et insalubre. Dans les zones de combat, les hommes n'ont pas le temps d'organiser leur tranchée.
Réponse. Parce que la nuit il n'y a pas de bombardement, d'assaut, etc ......
Les économies sont complètement désorganisées. Les chevaux sont réquisitionnés dès 1914. Ils sont nombreux à servir pour les besoins de l'armée ; environ 750 000 sont tués pendant le conflit. La production agricole en souffre d'autant plus que les hommes jeunes et valides sont partis au combat.