Les villes africaines en expansion sont confrontées à des problèmes de logement, mais des solutions s'offrent à elles. JOHANNESBURG, 1er décembre 2015 – L'Afrique fait face à une crise majeure du logement due à l'urbanisation galopante et à l'accroissement du nombre de personnes vivant dans des bidonvilles.
Embouteillages, pollution, zones défavorisées, tels sont les problèmes auxquels nombre de villes doivent faire face, sans compter l'explosion démographique urbaine qui pourrait bientôt aggraver ce phénomène.
Une urbanisation excessive engendre des risques (fragilisation des sols, pollutions, pillage des ressources naturelles…). Les autorités peuvent chercher à répondre à ces risques grâce à des Plans de préventions des risques (PPR) ou à l'octroi de permis de construire dans des zones sures.
De même, la gouvernance urbaine fait face aux problèmes d'occupation anarchique des sols, de gestion des espaces marchands et non marchands, etc. ; auxquels s'ajoutent : le manque d'emploi, l'insécurité des personnes physiques, le désordre urbain, l'insécurité foncière et la communautarisation (Michelon, 2007).
LES POINTS MARQUANTS
Une urbanisation parfois anarchique du fait de l'absence de planification. Car si Abidjan a connu une explosion de sa population, les infrastructures indispensables au développement économique, à la protection de l'environnement et à la qualité de vie des citadins, font défaut.
Les problèmes urbains sont communs aux grandes et petites villes. La circulation est un problème urbain majeur. La conférence avait pour but, entre autres, d'attirer l'attention sur l'aggravation des problèmes urbains. De ce fait, la prostitution des garçons est considérée comme un problème urbain.
De "Cocody la belle" à "Cocody la luxueuse", en passant par "le triangle d'argent", cette commune du centre d'Abidjan est connue pour compter la plus forte concentration de VIP au mètre carré et abriter les plus grosses fortunes du pays, tant ivoiriennes qu'étrangères.
Les groupements industriels, testés dans toute l'Afrique, représentent une autre solution permettant de créer des emplois et des projets d'investissement de meilleure qualité pour les villes et les entreprises.
Le Mayo Danay avec une incidence de 88% est le département le plus pauvre et le Fako (2%).
Favoriser les espaces verts en ville en limitant la circulation des véhicules pour dégager de l'espace. Créer des espaces verts dans les résidences autour des logements, créer plus de jardins publics. Laisser croître plus la nature en ville, à chaque pied d'arbre, des plantations à chaque place publique, des arbres.
Facteurs démographiques : Densité et structure de la population et risque de maladie. Taux de fécondité élevé en Afrique. environnementaux rapides (inondations, tremblements de terre) (Teye et Owusu, 2016). urbains représente une part importante de la croissance urbaine.
Le vélo et les transports en commun seraient nettement favorisés. La vitesse de circulation est limitée à trente kilomètres-heure dans la majorité des rues — ce qui est indispensable pour faire de la marche et du vélo des modes privilégiés au quotidien par le plus grand nombre.
On peut citer par exemple l'environnement familial, l'état de santé des habitants, leurs réseaux personnels et professionnels, la nature de l'offre d'emploi accessible ainsi que les éventuels freins à l'emploi auxquels ils peuvent être confrontés du fait même de leur lieu de résidence.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, 63 % des mortalités annuelles sont dues à des maladies causées notamment par les effets de la vie urbaine. Obésité, maladies pulmonaires, problèmes cardiovasculaires : les maux des citadins sont nombreux, graves et variés.
Les villes, moteurs du développement
Les habitants des villes ont un meilleur niveau d'éducation que leurs homologues des campagnes. Les habitants et les entreprises des villes bénéficient d'un accès plus important et de meilleure qualité aux services et aux infrastructures.
désagrément, embarras, ennui, importunité.
La vie en ville assure la proximité des services indispensables notamment les écoles, les hôpitaux..etc. Malgré les avantages reconnus à la campagne, comme l'air sain et la nourriture naturelle, elle reste un lieu dangereux en cas de sécheresse ou l'inondation.
7Les villes africaines sont des « travaux en cours » (Simone, 2004a, 1) ; elles sont fluides, complexes et se distinguent par l'immensité de leurs dimensions, de leur diversité et de leur hétérogénéité, tant entre elles qu'en leur sein.
La mobilité, un enjeu de taille pour la ville verte
De nombreuses villes développent la mobilité verte. Pour ce faire, les villes vertes tentent de réduire l'utilisation de la voiture en améliorant l'offre de transport en commun et en encourageant l'utilisation du vélo.
Conséquences sur la population 1. Augmentation très rapidement de La population urbaine 2. L'apparition d'un phénomène nouveau : les villes gigantesques Dans le tiers monde, la croissance démographique et l'exode rural 3. nourrissent l'urbanisation Conséquences socio-économiques, culturelles et III.
Kone Dossongui
Il est aujourd'hui à la tête de la Banque Atlantique, un groupe financier qui abrite aujourd'hui 7 pays du continent africain. Certains médias en ligne le présentent comme le plus riche ivoirien.
Un point à mettre à l'actif du Gouvernement ivoirien, avec à sa tête, le chef de l'État, SEM Alassane Ouattara.
Jean Louis Billon
On ouvre le classement avec celui dont le compte en banque nous fait tous rêver. Il s'agit de l'ancien ministre du commerce de la Côte d'Ivoire, Jean Louis Billon. Selon le Magazine Forbes Africa, sa fortune est estimée à 410 millions de dollar.