Le risque biologique est lié à la présence d'agents biologiques pathogènes en milieu de travail. Les agents biologiques pathogènes sont responsables de maladies infectieuses chez l'homme. Ils comprennent les bactéries, les virus (auxquels on rattache les maladies à prions), les parasites et les champignons.
On distingue quatre types de risques pou- vant résulter d'une exposition à des agents biologiques : infectieux, immuno-allergiques, toxiniques, cancérogènes.
L'évaluation des risques se fait en suivant la chaîne de transmission à partir du « réservoir » d'agents biologiques jusqu'au travailleur exposé. La prévention des risques consiste à rompre cette chaîne le plus en amont possible.
Les risques biologiques pour la santé comprennent les bactéries, les virus, les parasites et les moisissures ou les champignons. Ils peuvent constituer une menace pour la santé lorsqu'ils sont inhalés, consommés ou entrent en contact avec la peau.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
Les bactéries • Les virus • Les parasites • Les champignons • Les prions=agents infectieux non conventionnels.
Les dangers biologiques regroupent l'ensemble des parasites, des bactéries, de leurs toxines, et des virus pouvant avoir un effet néfaste sur la santé de l'homme par consommation de denrées contaminées.
Au sein du groupe 3, certains agents biologiques pathogènes sont notés 3* : il s'agit d'agents biologiques qui ne sont normalement pas transmissibles par voie aérienne. Dans le groupe 4, on ne trouve que des virus, dont les réservoirs ne se trouvent pas naturellement en Europe.
Les risques sont classés en fonction de leur gravité, de leur probabilité d'occurrence et du nombre potentiel de salariés affectés. L'EvRP vise aussi la mise en place d'actions de prévention. Ces actions ne dispensent pas l'entreprise de mettre également en œuvre des mesures correctives immédiates.
Les facteurs de risque correspondent à un ensemble de conditions augmentant la probabilité pour une personne d'être victime d'un traumatisme ou de souffrir d'une maladie.
Contamination biologique est une définition du dictionnaire environnement et développement durable. La contamination biologique désigne la contamination d'un bâtiment provoquée par des bactéries, des moisissures et leurs spores, du pollen, des virus ou autres matières biologiques.
Concrètement, on peut classer les événements suivants parmi les risques sociaux : maladie, maternité, invalidité, vieillesse, accident du travail, maladie professionnelle, décès, charges de famille et chômage.
Le risque majeur est la possibilité d'un événement d'origine naturelle ou anthropique (qui résulte de l'action humaine), dont les effets peuvent mettre en jeu un grand nombre de personnes, occasionner des dommages importants et dépasser les capacités de réaction de la société.
Le danger est la capacité à créer un dommage. C'est est un des éléments qui conditionne le risque, qui est quant à lui la combinaison d'un danger et de l'exposition à ce danger. Ainsi, un risque peut être faible voire nul, même en présence d'un grand danger.
Définition de risque
Un risque se caractérise selon deux paramètres : Sa gravité : l'ampleur des dommages potentiels. Sa probabilité d'occurrence : « à quel point il est probable de subir le dommage »
Inondations, mouvements de terrains, incendies de forêt, avalanches, tempêtes, submersions marines, gonflements ou retraits des sols argileux, séismes, éruptions volcaniques, à des fréquences et à des degrés divers sont des évènements à l'origine de dommages plus ou moins importants, voire de catastrophes.
Transmission. A partir du réservoir, la transmission en milieu professionnel peut se faire par voie respiratoire (inhalation), par contact avec la peau ou les muqueuses, par inoculation (blessure, morsure ou piqûre d'insecte) ou plus rarement par voie digestive.