Même avec de solides mesures de cybersécurité, le transfert de données vers le cloud peut constituer une violation des accords de confidentialité des données entre l'entreprise et ses clients. Cela peut entraîner des amendes, des restrictions commerciales et une atteinte à la réputation de l'entreprise.
Le premier risque lié au cloud computing est l'indisponibilité du réseau : en cas de panne d'internet, l'entreprise peut se retrouver quasiment bloquée, faute d'accès à ses applications ; ce cas est heureusement très rare, de nombreuses solutions de redondance étant la plupart du temps prévues !
L'informatique en nuage présente de nombreux avantages, dont une extensibilité améliorée, une assistance plus économique et des sauvegardes automatiques. Par conséquent, vous bénéficiez de plus de temps libre et d'énergie que vous pouvez consacrer aux autres besoins de votre entreprise.
Pour le grand public, le cloud computing se matérialise notamment par les services de stockage et de partage de données numériques type Box, Dropbox, Microsoft OneDrive ou Apple iCloud sur lesquels les utilisateurs peuvent stocker des contenus personnels (photos, vidéos, musique, documents...) et y accéder n'importe où ...
Le cloud computing présente ainsi une limite simple, c'est sa configuration préalable qui peut imposer un ensemble de services trop complet en fonction de vos usages actuels, ou trop restreints en fonction de vos usages futurs.
Les infrastructures de l'informatique sur le cloud sont principalement constituées de serveurs hébergés dans des data centers. Ils consomment bien sûr de l'électricité, dissipent de la chaleur et ont besoin d'énergie pour assurer leur refroidissement.
Les trois principaux fournisseurs de services dans le Cloud – Google Cloud, Amazon Web Services et Microsoft Azure – vous proposent une vaste gamme de services pour répondre à vos besoins informatiques.
Le cloud permet aux utilisateurs d'accéder aux mêmes fichiers et aux mêmes applications à partir de presque n'importe quel appareil, car les processus informatiques et le stockage ont lieu sur des serveurs dans un datacenter et non localement sur la machine utilisateur.
Définition de Cloud computing
Tout d'abord, cette définition ne comporte pas de référence à la notion même de « nuage » : un « cloud » est un ensemble de serveurs en réseau (incluant des systèmes d'exploitation et des logiciels), installés dans un datacenter, qui exécutent les traitements et stockent les données.
Gain d'espace (à la fois sur votre ordinateur et dans vos armoires), facilité et rapidité d'accès (tout est au même endroit), sécurité (plus de risque de perdre ses données), le cloud présente de nombreux avantages. Le Cloud pour les entreprises : l'avantage principal de cette solution est sur le plan économiques.
Oui, notamment si les accès physiques des datacenters sont sécurisés. Afin que seules les personnes autorisées puissent pénétrer dans le datacenter, on maintient un contrôle strict des accès.
Non seulement vous risquez de perdre vos données mais vous pouvez aussi (et surtout) les voir dévoilées au grand jour. Encore une fois, vous me direz « ce n'est pas grave si mon compte est piraté, je n'ai rien à cacher », mais ce n'est pas le cas de beaucoup de gens.
Les solutions d'affaires sur le cloud sont jusqu'à 93 % plus efficaces sur le plan énergétique et peuvent entraîner 98 % d'émissions de carbone en moins que les centres de données d'entreprise traditionnels (d'après une étude de WSP sur Microsoft Cloud).
N°1 : le four.
C'est l'appareil qui consomme le plus d'électricité dans un logement, plus de 1.000 kWh par an en moyenne. Mais il est possible de réduire la facture en optant pour un four à chaleur tournante ou, encore mieux, pour un four combiné (four + micro-onde).
Dans un data center, les disques durs sont généralement stockés dans une baie de stockage. C'est une sorte d'armoire métallique spécialement conçue pour interconnecter une grande quantité de disques durs. L'avantage d'une baie de stockage est que les disques durs ne sont pas la seule partie redondée (en double).
Il existe quatre principaux types de cloud computing : cloud public, cloud privé, cloud hybride et multicloud. Il existe aussi trois principaux types de services de cloud computing : IaaS (Infrastructure-as-a-Service), PaaS (Platform-as-a-Service) et SaaS (Software-as-a-Service).
Le cloud computing est en pleine croissance. Flexibilité, réduction des coûts, optimisation de l'accessibilité aux outils, support simple et performant du travail collaboratif, il offre de nouveaux avantages aux entreprises et aux utilisateurs.
Le Cloud Privé offre une plus grande flexibilité.
Il est possible d'adapter le nombre de serveurs, leur qualité et leur usage en fonction des besoins de l'organisation. Cette dernière peut ainsi personnaliser à souhait son « environnement » cloud, afin d'aligner les performances sur les niveaux de service nécessaires.
Les entreprises peuvent par exemple effectuer des tâches très importantes ou des applications sensibles sur le Cloud privé, et utiliser le Cloud public pour les tâches nécessitant une scalabilité des ressources.
L'histoire du Cloud Computing
Le terme de Cloud Computing est apparu au début des années 2000. Toutefois, le concept de « l'informatique en tant que service » remonte aux années 1960.
1960 – Joseph Carl Robnett Licklider, moins connu, il apporta pourtant lui aussi un fort coup de pouce à la « démarche internet » fondatrice de l'informatique en nuages.