On les subdivise en sciences physiques (physique et chimie) et sciences de la nature (biologie et médecine), la géologie pouvant quant à elle être classée parmi les premières ou les secondes.
Elles sont habituellement divisées en trois ensembles : les sciences de la Terre et de l'Univers ; les sciences de la matière (physique et chimie) ; et les sciences de la vie et de l'environnement.
On distingue traditionnellement les sciences humaines et sociales, histoire, sociologie, linguistique, géographie, sciences juridiques, etc. et les sciences dites exactes, physique, chimie, biologie, etc.
Les méthodes expérimentales scientifiques consistent à tester la validité d'une hypothèse, en reproduisant un phénomène (souvent en laboratoire) et en faisant varier un paramètre. Le paramètre que l'on fait varier est impliqué dans l'hypothèse. Le résultat de l'expérience valide ou non l'hypothèse.
2La découverte de la circulation du sang publiée en 1628 par William Harvey est considérée comme l'acte fondateur de la méthode expérimentale dans les sciences de la vie.
L'Étude expérimentale est une activité dans laquelle les élèves créent une expérience à réaliser en laboratoire qui leur permettra d'étudier les causes, les effets, la nature ou les propriétés d'objets ou de phénomènes par la manipulation ou l'expérimentation.
La science expérimentale, en effet, part de l'observation du réel et, par induction, c'est-à-dire par généralisation des cas observés à tous les cas semblables, énonce une proposition synthétique affirmant ou niant quelque chose à propos du réel.
Les mathématiques constituent une science d'étude des quantités, des ordres, des espaces, des nombres et des figures. Aussi appelées la « Reine des sciences », les mathématiques se divisent en 3 grandes catégories : l'analyse, la géométrie et l'algèbre.
L'expérimentation est au cœur de la science. Les scientifiques posent des questions, recueillent des preuves, partagent des idées et analysent des données. Lors de la conception d'une expérience, la question (ou les questions) spécifique à laquelle l'expérimentation est destinée doit d'abord être clairement identifiée.
La philosophie est une science mise au service d'une autre science suprême : la science du Bien. Elle n'est réductible ni à des procédés techniques ni à des opinions individuelles : elle se réfère à une Norme intelligible. Elle est la science du bon usage de ce qu'on sait : telle est la thèse de Platon.
Le but de la science est de comprendre pour comprendre, sans chercher à valoriser ses découvertes et en ne prenant aucun brevet. Pour la science seule compte la connaissance désintéressée et sa transmission à chacun.
Les sciences exactes regroupent: les sciences de la nature: chimie, physique, biologie, astronomie, ... les sciences formelles: mathématique, informatique, géométrie, logique, ...
Galilée (Galileo Galilei en italien) naît à Pise, en Italie, en 1564, au sein d'une famille de sept enfants.
Anaximandre, premier scientifique | Canal U.
La civilisation mésopotamienne aboutit ainsi à la constitution des premières sciences telles : la métrologie (La métrologie est la science de la mesure au sens le plus large.), très adaptée à la pratique, l'algèbre.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
Thalès de Milet (624 av JC - 547 av JC) Thalès est le premier mathématicien dont l'histoire ait retenu le nom. Il est né à Milet (voir une carte), en Asie mineure, sur les côtes méditerranéennes de l'actuelle Turquie, vers 624 av JC.
Le premier moment de l'histoire des mathématiques s'identifie néanmoins aux Grecs, qui, à partir du VIe siècle avant J. -C., vont faire de cette discipline plus qu'un outil, un idéal de pensée. C'est généralement à Thalès de Milet que l'on accorde la paternité de la géométrie, et le début des mathématiques grecques.
Son avantage est de rendre possible l'analyse scientifique des phénomènes, c'est-à-dire de permettre d'isoler, au niveau descriptif, les facteurs qui les déterminent, ou bien, au niveau explicatif, les modes de fonctionnement et de causalité qui peuvent leur être attribués.
Lorsqu'on divise la science en différents domaines, ou disciplines, on parle alors de sciences au pluriel, comme dans l'opposition entre sciences dures et sciences humaines et sociales ou encore celle entre sciences formelles, science de la nature et sciences sociales.
Parmi les sciences humaines en effet, on compte la psychologie, la sociologie, l'ethnologie, l'anthropologie, l'histoire, l'économie, la linguistique qui, bien sûr, ont affaire avec les sciences de l'esprit. Mais chacune de ces disciplines ne relève pas, dans sa totalité, de l'épistémologie des sciences humaines.
L'expérimentation est une observation provoquée portant sur une situation créée et contrôlée par le chercheur qui a pour but de valider (ou invalider) une ou des hypothèses issues d'un système théorique [1].
L'objectif général de la méthode expérimentale est de rendre possible l'établissement de relations de cause à effet entre deux paramètres. C'est donc la méthode qui permet véritablement d'expliquer les phénomènes étudiés en termes de relation de causalité.
Le plus souvent, la démarche expérimentale que l'on nous presse d'appliquer est excessivement théorisée, coupée de ses racines historiques, épistémologiques et scientifiques, et découpée arbitrairement en tronçons abstraits qui perdent au fil des "évaluations formatives" toute connexion avec le réel ressenti des élèves ...