Comment voir si mon cheval a de la fièvre ? La température normale d'un cheval est la même que l'homme, c'est-à-dire, environ 37.5°C à 38°C. Si votre cheval semble abattu et en sueur vous devriez vérifier sa température. Toucher ses oreilles permet de voir si votre cheval peu avoir de la fièvre.
Le cheval dépressif a la tête orientée vers le mur, les yeux ouverts et le regard fixe, et l'encolure et le dos ne font qu'une seule ligne. Cette posture n'est pas la même lorsque le cheval observe son environnement : il porte dans ce cas la tête plus haute et son regard n'est pas fixe.
La fatigue peut être l'un des premiers signes de souffrance, le cheval a l'air triste. La maladie évolue généralement avec d'autres symptômes comme un amaigrissement, des fourbures et la pousse excessive des poils.
Le plus souvent les boiteries ont pour origine la partie basse d'un membre : le pied ou le boulet. Commencez par les membres mais n'oubliez pas qu'un problème au niveau du dos par exemple peut être la cause d'une boiterie.
La leptospirose du cheval est une maladie bactérienne ayant comme vecteur les rongeurs (rats, souris). La contamination se fait au travers de l'environnement, nous aborderons les moyens de prévention des risques. Nous verrons également les différentes atteintes sur l'organisme, le pronostic et les traitements.
Chez un cheval en bonne santé, les muqueuses doivent être rose pâle. Si les muqueuses sont plutôt de couleur rouge voire violacée ça peut être le signe d'une inflammation (et généralement d'une température corporelle élevée). Dans le cas où les muqueuses seraient blanches, cela peut être le signe d'une déshydratation.
Pourquoi le cheval se couche ? Le cheval peut se coucher pour dormir s'il est suffisamment en confiance. C'est généralement le cas des chevaux qui vivent en écurie depuis longtemps. On les observe régulièrement couchés, souvent aux mêmes heures, après le repas de midi ou tard dans la nuit.
Les symptômes de fourbure sont relativement caractéristiques avec une démarche raide, une attitude campée, des difficultés à tourner court en particulier sur sol dur, une chaleur des pieds et une augmentation du pouls digital (pulsations palpables à la base du boulet).
Redonner le moral à son cheval
Souvent, la solution réside dans un changement de rythme, une modification de ses habitudes. Rendez-lui visite plus régulièrement, sans forcément vouloir le faire travailler. Passez des moments de loisir avec lui, des séances de gratouilles, des balades à pieds.
Entre l'oreille et le toupet
Et comme en hiver c'est parfois le seul endroit où votre Tas'd'terre Horse n'est pas sale, si vous avez bien papouillé tout le reste, vous pourrez y faire un bisou sans risquer le coup de boule! Et en plus c'est tout doux….
Un cheval qui présente de l'abattement, reste plus couché que la normale, refuse de manger, se regarde les flancs, gratte, se roule de façon violente et/ou répétée, présente des signes couramment évocateurs de colique. En règle générale, l'intensité des symptômes est proportionnelle à l'intensité de la douleur.
Le diagnostic de la maladie par le vétérinaire passe par l'observation des symptômes lors de l'examen clinique, ainsi que par l'utilisation de tests. Le plus fiable d'entre eux est le dosage de l'ACTH dans le sang : en cas de maladie de Cushing, l'ACTH plasmatique augmente.
Avant d'introduire l'embout du thermomètre dans le rectum du cheval, il est conseillé d'y appliquer un peu de vaseline. Ensuite, il faut soulever la queue pour avoir accès au rectum et y placer le thermomètre. Pour obtenir la température, il convient d'attendre environ une minute.
es placer le cheval dans un endroit frais et conseillez de l'hydrothérapie ou des bains d'alcool et d'utiliser des antipyrétiques. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont les plus souvent prescrits. Une injection unique suffit généralement.
Elle est très pratique pour les équidés, car elle leur permet de s'échapper rapidement si un prédateur approche (car ils mettent plusieurs secondes à se relever). Mais il arrive parfois que les chevaux s'allongent pour se reposer (3h de sommeil leur suffisent), quand ils se sentent en totale sécurité.
Le cheval est un herbivore monogastrique non-ruminant. Il passe entre 15 et 19 heures par jour à s'alimenter dans la nature. Il se nourrit sous la forme de multiples petits repas, de jour comme de nuit.
La nuit, ils dorment environ six fois, leur cycle de sommeil le plus long durant un gros quart d'heure. Sinon, ils somnolent aussi pendant environ trois heures et demie par jour. À l'écurie, les chevaux restent éveillés environ 75% de la journée et passent seulement 4% de leur temps en sommeil paradoxal.
Les plantes à la plus haute toxicité pour les chevaux sont l'ellébore, l'euphorbe, la belladone, l'absinthe et l'aconit. Le cheval est doté d'un solide instinct et l'ingestion de ces plantes est souvent accidentelle.
Le shivering est une affection neuromusculaire se traduisant par l'apparition de spasmes involontaires et intermittents, le plus souvent au niveau des membres postérieurs du cheval. On peut le résumer par l'abréviation 2HT2S : « Hypertonie, Hyperflexion, Tremblement, Spasticité en Station ».
Elle correspond plus ou moins à l'asthme chez l'homme. L'appellation de « pousse » vient du fait que le cheval doit forcer pour respirer. En effet, il va avoir du mal à expirer l'air de ses poumons et va donc « pousser » en contractant ses muscles abdominaux, on appelle cela la « ligne de pousse ».
Coup de sang chez le cheval (myosite)
Le syndrome du coup de sang, également appelé rhabdomyolyse à l'exercice, ou encore « myosite » se définit comme une maladie musculaire très douloureuse suite à un exercice physique. Elle correspond plus ou moins à des crampes musculaires chez l'homme, intenses et généralisées.
Lorsque le cheval étend son encolure vers le haut et l'avant et qu'il lève sa lèvre supérieure (parfois celle du bas également), c'est le flehmen. Cela lui sert à détecter les odeurs ainsi que les phéromones grâce à un organe situé sous le palais.
La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. Ses principaux réservoirs sont les rongeurs, en particulier les rats, qui excrètent la bactérie dans leur urine. Chez l'homme, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas.