Symptômes de la thrombocytopénie Le saignement cutané peut être le premier signe d'une numération plaquettaire basse. De nombreux minuscules points rouges (pétéchies) apparaissent souvent sur la peau au niveau de la partie inférieure des jambes et des traumatismes mineurs peuvent entraîner des ecchymoses (purpura).
Lorsque la thrombopénie est sévère, une hémorragie peut survenir sans lésion, ni traumatisme. En cas de thrombopénie sévère (nombre de plaquettes inférieur à 20 000 mm/cube de sang), le risque d'hémorragie externe et viscérale est important.
Le traitement de la thrombopénie est fonction de sa cause. Lorsque la thrombopénie est due à un défaut de fabrication des plaquettes et que leur nombre est inférieur à 20-30G/L, la prise en charge repose sur la transfusion de plaquettes. "L'idée, c'est d'apporter ce qui manque et de traiter la maladie sous-jacente.
Comment faire remonter les plaquettes rapidement ? Les traitements qui peuvent être proposés lors d'une prise en charge rapide de la thrombocytopénie sont les transfusions sanguines ou plaquettaires, certains traitements médicamenteux voire une opération chirurgicale en urgence.
Les personnes dont le nombre de plaquettes est bas peuvent saigner ou se faire des ecchymoses plus facilement, même à la suite d'une blessure mineure. La thrombocytopénie accroît le risque de saignements, en particulier de la bouche, du nez et du tube digestif.
Les agrumes, les baies et les légumes verts sont riches en vitamine C, qui est un nutriment important pour la santé cardiovasculaire. De plus, les aliments riches en vitamine E, tels que les noix et les graines, peuvent également aider à fluidifier le sang.
Une destruction plaquettaire peut se développer du fait de causes immunologiques (infection par un virus, médicaments, syndromes lymphoprolifératifs, connectivites, transfusions sanguines) ou non immunologiques (sepsis à germes Gram négatifs, syndrome de détresse respiratoire aiguë).
Il s'agit de petits saignements sous-cutanés qui accompagnent parfois une thrombopénie. Une fatigue, des vertiges, un essoufflement… Ces signes cliniques généraux résultent de l'anémie qui peut être associée à une baisse des plaquettes chez les malades.
Quelles sont les conséquences d'un manque de plaquettes ? Une baisse de plaquettes importante entraîne des risques d'hémorragie des viscères et des muqueuses, même lors d'un traumatisme léger. Le danger principal est l'hémorragie cérébrale, une complication qui engage le pronostic vital du patient.
En dessous de 20 000/ mm³, une hémorragie peut se déclencher sans traumatisme. A ce stade, une transfusion sanguine est nécessaire. A l'inverse, lorsque l'on a trop de plaquettes dans le sang, il y a un risque de thrombose.
Certaines chimiothérapies sont plus thrombopéniantes que d'autres (nitroso-urée, carboplatine, gemcitabine...). Une thrombopénie entre 75 000 et 100 000 éléments / mm3 conduit le plus souvent à un ajustement des posologies de chimiothérapie. En dessous de 75 000 / mm3, la cure est en général reportée.
Traitement de la thrombocytopénie
) est traitée par prednisone (médicament qui inhibe le système immunitaire pour réduire la destruction plaquettaire), des médicaments qui stimulent la moelle osseuse pour augmenter la production de plaquettes, et parfois l'ablation de la rate (splénectomie).
Le diagnostic repose sur un examen du sang et de la moelle osseuse (leucémie et myélome) ou sur une biopsie d'un ganglion qui sera réalisée par un chirurgien (lymphomes). Des examens d'imagerie – scanners et pet-scanners – sont ensuite pratiqués pour évaluer l'extension de la maladie dans l'organisme.
En cas de forte suspicion ou de diagnostic confirmé de TIH, le traitement consiste à arrêter l'héparine et à instaurer un traitement anticoagulant alternatif, soit par traitements non-hépariniques anti-facteur Xa (danaparoïde, fondaparinux), soit par inhibiteurs directs de la thrombine (argatroban, bivalirudine).
Les traitements de radiothérapie, certaines infections ou une carence en vitamine B12 peuvent également diminuer la quantité de plaquettes dans le sang.
Le paracétamol peut produire, chez quelques personnes, des réactions d'hypersensibilité (érythème, urticaire, rash cutané, œdème de Quincke, choc anaphylactique) et dans de très rares cas, une thrombopénie (baisse des plaquettes), leucopénie (baisse des globules blancs) et neutropénie (baisse des granulocytes ...
Elle coïncide avec des troubles de la coagulation dont des épisodes de micro-agrégation de plaquettes mal comprises, notamment au niveau des poumons, même chez les personnes sans antécédent de maladie cardio-vasculaire. Cependant, le traitement anticoagulant des patients COVID-19 est d'une efficacité limitée.
L'anémie entraîne des symptômes différents en fonction de sa gravité (pâleur, fatigue, essoufflement, etc.) Le dosage de l'hémoglobine dans le sang permet d'en faire le diagnostic. D'autres analyses sanguines sont utiles pour comprendre ses causes.
Diminution du taux de plaquettes dans le sang. Une chimiothérapie peut provoquer une thrombopénie temporaire. Un taux de plaquettes trop bas entraîne un risque d'hémorragie par une moins bonne coagulation.
Le traitement de la thrombocytémie repose essentiellement sur la prise d'antiagrégants plaquettaires (des médicaments qui empêchent les plaquettes de former des caillots de sang), notamment l'aspirine prise quotidiennement à petite dose (100 à 200mg par jour).
Ces fausses thrombopénies sont liées à la présence d'anticorps anti-plaquettes dirigés le plus souvent contre un épitope de la GPIIbIIIa. Les automates actuels permettent de détecter ces agrégats qui sont en général confirmés par examen du frottis sanguin au microscope optique.
L'aloe vera contient des composés bioactifs qui peuvent aider la moelle osseuse à produire plus de plaquettes. Consommez du jus ou du gel d'aloe vera, en vous assurant qu'il est préparé et consommé de manière sûre.
Dans 85 à 90% des cas, elle est secondaire à une infection, une tumeur, un stress intensif et dans 10 à 15% des cas, elle est dite essentielle, sans cause retrouvée (source : Société française d'hématologie). Le sang est constitué de globules blancs, de globules rouges, de plasma et de plaquettes.
Les bonnes sources de vitamine B12 incluent les viandes (essentiellement bœuf, porc, foie et autres abats), les œufs, les céréales enrichies, le lait, les palourdes, les huîtres, le saumon et le thon.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.