Carence en azote : symptômes Les plantes sont rigides et les rameaux deviennent durs comparativement à des exemplaires normalement nourris. Souvent on constate une fin précoce de l'allongement et une « floraison de détresse ». Les fleurs restent petites et sans couleur – l'énergie manque.
Les symptômes d'une carence en azote sont souvent difficiles à identifier car ils ne sont pas localisés et concernent, en général, une parcelle entière. les jeunes feuilles restent petites et pâlissent. A partir de début véraison, les pétioles, les nervures et les rafles prennent une teinte rougeâtre.
Certaines espèces sont plus gourmandes en certains éléments nutritifs que d'autres. Par exemple : Cultures exigeantes en azote : gazon, graminées et bambous, arbustes, plantes vertes d'intérieur, légumes feuilles. Cultures exigeantes en phosphore : principalement les espèces à fleurs et à fruits et légumes graines.
✓ Terre contenant en excès de l'azote: présence d'ortie bien drue, aux feuilles vert-foncé.
Carence en azote : symptômes
Les plantes sont rigides et les rameaux deviennent durs comparativement à des exemplaires normalement nourris. Souvent on constate une fin précoce de l'allongement et une « floraison de détresse ». Les fleurs restent petites et sans couleur – l'énergie manque.
L'examen le plus commun pour diagnostiquer une carence nutritionnelle est la prise de sang. Cependant, elle n'est pas toujours suffisante et en pratique ne concerne que quelques nutriments (fer, vitaminé B12, vitamine D). Votre médecin pourra vous prescrire d'autres types d'analyses si nécessaire.
Pour résumer, les légumineuses fixent dans le sol l'azote de l'air (elles sont les seules plantes à pouvoir accomplir ce petit exploit !) : elles agissent comme un engrais azoté, qu'il soit d'origine minérale ou organique.
Répondre à une faim d'azote
Pour cela, vous pouvez : Corriger avec un apport azoté léger : en apportant du fumier, du purin d'ortie ou du purin de consoude, de la corne broyée, du compost bien mûr, …
Pour mesurer l'azote et l'oxygène, on peut utiliser un détecteur à conductivité thermique (TCD) qui mesure la différence de conductivité thermique entre le gaz échantillon et un gaz de référence (souvent de l'hélium ou de l'argon).
On peut tout simplement apporter de l'azote au sol juste avant d'installer le paillage : compost (bien mûr !), fumier (bien décomposé...), engrais naturels riche en azote (corne broyée par exemple -le sang séché n'est pas recommandé car il libère son azote trop rapidement-), purin d'ortie....
La céréale est surtout une source d'azote pour les monogastriques (54 % des besoins).
Pour éviter les lessivages et enrichir le sol en azote, aérez le sol, reformez la couche d'humus (grande source d'azote), cultivez des engrais verts (lire : Choisir un engrais vert) et effectuez des apports d'engrais organiques ou minéraux : poudre de sang (action coup de fouet), corne broyée, purin de consoude...
Les légumes-racines (carottes, radis, fenouils, etc.) ou fleurs (artichauts, choux-fleurs, brocolis, etc.)
Les symptômes de l'hypophosphatémie apparaissent seulement lorsque le taux de phosphate dans le sang est très bas. Une fatigue et une faiblesse musculaire sont souvent les premiers symptômes. Ils peuvent évoluer dans les formes graves vers une épilepsie, un coma, voire le décès.
Les feuilles sont décolorées, brunissent à la périphérie et s'enroulent. Les plantes sont plus sensibles aux maladies et à la sécheresse, les fruits, petits et peu sucrés. Décoloration, périphérie de la feuille plus brune : les symptômes d'une carence en potassium.
Donc à l'automne quand les besoins des végétaux sont faibles, ou au printemps quand le sol est déjà bien réchauffé. Choisir des amendements équilibrés en carbone et azote : C/N entre 15 et 35, idéalement égal à 25 (cf “Rapport C/N de quelques amendements”).
Afin d'éviter tout surdosage, il est conseillé d'appliquer chaque année entre 1L pour les plantes peu gourmandes (comme la salade, les fraisiers ou les carottes) à 3 ou 4 lires d'urine pour les plantes gourmandes (tomates, courgettes) par mètre carré.
L'ajout de matière organique est l'une des méthodes les plus efficaces pour enrichir un sol, elle permet de restaurer l'humus. Le compost mûr, le fumier bien décomposé, ou les feuilles mortes améliorent la structure du sol, augmentent sa capacité de rétention d'eau et de nutriments, et stimulent l'activité microbienne.
En effet, l'excès d'azote dans le sol génère des carences en potassium, calcium et magnésium, autres éléments nutritifs essentiels (plus d'infos à ce sujet au paragraphe suivant). En présence d'une charge d'azote élevée, on constate une moindre diversité des champignons mycorhiziens dans l'espace racinaire.
Du Chardon, des Coquelicots, du Trèfle blanc : Votre sol est calcaire. Du Liseron, du Plantain, des Boutons d'or : Votre sol est argileux et asphyxié-tassé. Des Pâquerettes : Votre sol est acide et dépourvu de Calcium. Des Fougères sauvages : Votre sol est pauvre et acide.
(Anémie pernicieuse) Une carence en vitamine B12 peut survenir chez des végétaliens qui ne prennent pas de suppléments ou en raison d'un trouble de l'absorption. Une anémie se développe, causant une série de symptômes dont fatigue, pâleur, faiblesse, et dans les cas sévères, essoufflement et étourdissements.
Toutes les anémies sont sources de fatigue. Le plus souvent, il s'agit le plus souvent d'une anémie par carence en fer. La fatigue est d'autant plus intense que l'anémie est sévère et apparaît rapidement.
Fatigue, baisse de forme, manque de vitalité ?