Le symptôme principal est la présence de sang dans les urines en fin de miction (hématurie) : ce sont les dernières gouttes d'urine qui seront teintées de sang. Le polype peut aussi se manifester par des brûlures en urinant ou par des envies douloureuses d'uriner.
« Les polypes bénins dans la vessie sont très rares. Il se peut en revanche que la tumeur soit superficielle (qu'elle n'envahisse pas le muscle de la vessie), mais cela reste un cancer et nécessite un traitement et un suivi ».
En quoi consiste la résection endoscopique d'un polype de vessie, les principes de l'intervention. L'intervention est réalisée par les voies naturelles (par le canal de l'urètre) et consiste à retirer le polype en totalité en s'aidant d'un appareil appelé résecteur, sous contrôle d'une caméra.
envies fréquentes d'uriner ou pollakiurie ; brûlures en urinant ; difficultés à uriner ; douleurs du bas du ventre ou du dos.
Fibroscopie vésicale ou cystoscopie
Il est quasiment indolore et ne nécessite qu'une anesthésie locale et aucune hospitalisation. La fibroscopie permet de confirmer l'existence d'un polype vésical.
La cause principale des tumeurs de vessie est le tabac. Mais des personnes n'ayant jamais fumé peuvent développer une tumeur ou un polype de la vessie. Certaines tumeurs de vessie sont favorisées par l'exposition prolongée à des substances chimiques : certains colorants industriels, certains hydrocarbures.
Sans traitement, la tumeur va se développer dans la paroi de la vessie et ensuite envahir les organes voisins de la vessie : ganglions, prostate, vésicules séminales, utérus, trompes de Fallope, ovaire, etc. Des cellules cancéreuses vont migrer dans la circulation sanguine jusqu'au foie, aux poumons, au cerveau, etc.
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Bien pris en charge avec un protocole adapté et proposant différents traitements du cancer de la vessie, la maladie présente un taux de survie à 5 ans très bon puisqu'il atteint 80 à 90 % (cancer de vessie non invasif).
Survie nette
Cela signifie qu'en moyenne, environ 77 % des personnes ayant reçu un diagnostic de cancer de la vessie vivront au moins 5 ans.
On peut faire une échographie pour vérifier si le cancer de la vessie s'est propagé à d'autres organes ou à des régions situés dans le bassin et l'abdomen. Elle peut aussi permettre de vérifier la santé des reins.
La chirurgie des polypes du côlon ou du rectum a lieu au cours d'une hospitalisation de quelques jours et consiste à retirer la portion du côlon ou du rectum dans laquelle le polype s'est développé. Le chirurgien recoud ensuite les deux extrémités du côlon ou du rectum pour reformer le conduit digestif.
Les facteurs de risque de cancer de la vessie sont les suivants : le tabac, deux ensembles de substances chimiques, les amines aromatiques et les hydrocarbures aromatiques polycycliques, certaines infections, certains traitements, des produits présents dans l'eau de boisson.
Le tabagisme actif est le premier facteur de risque de cancer de la vessie : il est classé cancérogène certain (Groupe 1) par le CIRC. En France, le tabagisme serait responsable de 53% des cas de cancers de la vessie chez les hommes, et de 39% chez les femmes.
L'examen de référence est la coloscopie. Elle consiste à observer les intestins et le rectum à l'aide d'un fin tube muni d'une caméra. La coloscopie est généralement pratiquée sous anesthésie générale et permet, en cas de découverte de polypes ou d'une lésion suspecte, de pratiquer une biopsie.
Le pissenlit
Il aide à nettoyer la vessie et les reins , tout en combattant les bactéries responsables des cystites. Boire une tisane de pissenlit sera un remède naturel pour ceux qui cherchent à améliorer leur confort urinaire.
La cystite interstitielle est une inflammation de la vessie sans cause infectieuse. La cystite interstitielle produit une douleur au-dessus de la vessie, dans le bassin ou dans la partie inférieure de l'abdomen et provoque une nécessité fréquente et impérieuse d'uriner, parfois accompagnée d'incontinence.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Dans la lutte contre le cancer, la détection de la maladie à un stade précoce est essentielle. Le diagnostic s'appuie aujourd'hui sur une série d'examens comprenant les tests d'imagerie, l'analyse anatomopathologique des tissus avec les microscopes, et le dosage de certains marqueurs tumoraux dans le sang.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
La plupart des personnes atteintes d'hématurie microscopique ne présentent aucun symptôme, mais d'autres ressentent une gêne ou une sensation de brulure lorsqu'elles urinent, et elles ont tendance à uriner plus souvent que d'habitude.
La chirurgie est le principal traitement du cancer de la vessie. Une chimiothérapie et/ou une radiothérapie viennent parfois compléter le traitement chirurgical.