Focus sur les 5 techniques de négociation pour argumenter : sélectionner, hiérarchiser, illustrer, insister et connecter.
Un argument est une preuve avancée par l'auteur pour montrer la validité de sa thèse. Les plus courants sont l'argument logique, l'argument d'expérience, l'argument de valeur, l'argument d'autorité et l'argument ad hominem.
Le raisonnement par déduction, qui insiste sur une série d'issues possibles. Le syllogisme, plus implicite et plus complexe, qui propose des idées originales. Le raisonnement de mauvaise foi qui manifeste un manque de logique. La concession qui insiste sur le caractère supérieur de l'argument défendu sur celui concédé.
Les formes directes de l'argumentation. Avec l'argumentation directe, l'auteur expose sa thèse de manière explicite dans un texte exclusivement argumentatif. Les formes directes de l'argumentation sont l'essai, le discours, le manifeste, le pamphlet et la préface.
Le texte argumentatif passe par des stratégies différentes pour être efficace : la conviction, la persuasion et la délibération. Il sollicite également des registres divers et cherche à créer plusieurs émotions chez le lecteur pour mieux remporter son adhésion.
BLa structure Je commence par une courte introduction (contenant un rappel de la situation, un rappel du sujet, la thèse et l'annonce du plan). J'achève par une phrase de conclusion (qui reprend brièvement l'argumentation). À chaque argument doit correspondre un nouveau paragraphe.
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
La structure d'une interaction ou d'un texte argumentatif correspond à l'ordonnancement des informations, des arguments, des concessions et des réfutations dans un événement discursif particulier.
1. Type d'argumentation. Un type d'argument(ation) ou schème argumentatif est une formule discursive associative (inférentielle) récurrente, utilisée pour représenter une catégorie de liens argument-conclusion.
Dégager la structure de l'argumentation. Trois étapes : trouver quel est le thème (c'est-à-dire de quoi est-il question ?), trouver la thèse et restituer la progression argumentative de l'auteur.
Pour être irréfutable, un bon argument sera fondé sur des faits indiscutables, des cas concrets, des expériences précises, des données chiffrées. Et surtout, tel un lapin, il ne sortira pas du chapeau. Pas de tour de prestidigitation, rien que du rationnel conduisant votre interlocuteur à la conclusion souhaitée !
La préparation de l'oral repose sur les mêmes principes que pour un écrit : une argumentation doit être structurée avec une introduction et un plan (ou au moins un fil conducteur). Chaque argument doit être affirmé, expliqué, illustré. Un oral est plus efficace si vous vous appuyez sur des notes.
D'abord, la structure argumentative ressemble à celle de la dominante informative, mais elle laisse place à la subjectivité. L'intention n'est plus d'informer à proprement parler, mais plutôt convaincre les gens d'adhérer à notre opinion.
À cause de, car, en raison de, étant donné que, dans la mesure où... Par conséquent, en conséquence, aussi, ainsi, finalement, c'est pourquoi... Si, probablement, sans doute, apparemment, au cas où, en admettant que... Si, en cas de, à condition que, pourvu que...
Il faut savoir s'exprimer en public, trouver de bons exemples, contrer les attaques, choisir ou inventer des situations qui vont frapper l'auditoire. Il y a aussi les émotions, qui sont toujours mobilisées dans cet exercice, ainsi que la confiance que l'orateur doit inspirer.
Reprendre des arguments
Votre conclusion doit refléter de façon claire le plan de votre document, en reprenant les principaux éléments et idées clés dans l'ordre. De cette façon, votre conclusion est la synthèse d'un raisonnement logique et cohérent , chaque partie étant en lien avec l'autre.
Le but de l'introduction est claire: amorcer le sujet, présenter ses enjeux et montrer qu'il existe un débat, un paradoxe, un problème philosophique réel autour du sujet, pour aboutir à un plan qui se proposera d'argumenter autour de ce débat et de le résoudre dans la mesure du possible.
En règle générale, un argument solide doit être étayé par des preuves solides, logiques et cohérentes. Les contre-arguments doivent également être étayés par des preuves et être logiques. L'objectif est de créer un dialogue constructif et de trouver la vérité en examinant tous les points de vue.
Convaincre fait appel à des arguments sollicitant la raison, tandis que persuader sollicite les sentiments. Convaincre, en s'adressant à l'intelligence, permet de faire reconnaître le caractère véridique d'une idée ou d'un point de vue.
Si vous voulez faire admettre à votre interlocuteur quelque chose d'inadmissible pour lui, vous avez tout intérêt à vous justifier par un discours d'une logique parfaite et d'une argumentation inattaquable. Pensez à recourir à un ton neutre et de vous en tenir le plus possible aux faits.