La Seine-Saint-Denis est le département le plus pauvre de France métropolitaine. Selon une dernière étude de l'Institut national des statistiques et des études économiques (Insee), la Seine-Saint-Denis est le département le plus pauvre de France métropolitaine.
En France métropolitaine, la pauvreté est la plus forte en Seine-Saint-Denis (18 %). Mais le sud de l'Hexagone n'est pas épargné : les Pyrénées-Orientales, l'Aude, la Haute-Corse, ou encore le Gard notamment présentent des taux de pauvreté autour de 12 %, au-dessus de la moyenne nationale (8 %).
avec 1 revenu fiscal moyen de €30.000. On commence le top 10 avec l'Isère, préfecture de Grenoble, top 9, les sonnes, le 91, top 8, haut Reims, préfecture de Colmar, top 7, le Val-de-Marne, le 94, top 6, le Rhône, préfecture de Lyon, le 6. 9, avec 1 revenu fiscal moyen de trente-trois-mille euros.
Après cinq mois de suivi des prix, nous mettons à jour la carte de l'indice des prix par département. Paris reste le département le plus cher de France, et la Vendée le moins onéreux.
D'un point de vue géographique, les quartiers les plus pauvres se situent plus souvent dans le sud de la France, à Nice, Carpentras ou encore Nîmes, où les taux de pauvreté varient à des niveaux très élevés, de 69 % à 76 %.
Neuilly-sur-Seine est la grande ville la plus inégalitaire de France.
Paris, La ville lumière
Paris est souvent considérée comme la ville avec le plus de riches en France. En tant que capitale et centre économique du pays, elle attire de nombreuses entreprises et institutions financières de renom, ce qui crée une concentration de richesse.
La Guadeloupe, la Réunion, la Guyane et Mayotte sont les départements français avec le taux de pauvreté le plus élevé du pays.
Lecture : Saint-Benoît et Le Port à La Réunion arrivent en tête de notre classement des 20 villes aux taux de pauvreté les plus élevés. 45 % de leurs habitants vivent sous le seuil de pauvreté. Seuil de pauvreté de 60 % du niveau de vie médian.
La Lozère est le département le moins peuplé de France mais sa population est en constante augmentation depuis 1999. Préfecture : Mende 11 860 habitants. Principales villes : Mende, Florac, Marvejols, St Chély-d'Apcher, Langogne.
L'Île-de-France, la région où le revenu médian est le plus élevé de France (la moitié de la population gagne plus de 2 000 euros, l'autre moins) concentre les lieux de décision et donc les hauts revenus, tout en abritant aussi des populations très modestes.
Parmi les départements les plus impactés par la pauvreté, on retrouve le Tarn-et-Garonne et l'Ariège où plus de 20% de la population vit avec moins de 1100 euros par mois.
D'un point de vue géographique, les quartiers les plus pauvres se situent plus souvent dans le sud de la France, à Nice, Carpentras ou encore Nîmes, où les taux de pauvreté varient à des niveaux très élevés, de 69 % à 76 %.
Les chômeurs et les familles monoparentales sont les plus touchés par la pauvreté monétaire. La pauvreté monétaire touche en premier lieu les chômeurs (35,1 %). Parmi les personnes en emploi, les travailleurs indépendants sont plus vulnérables (14,6 %) que les salariés (6,3 %).
Dans le 3e arrondissement, nous évaluons le taux de pauvreté à 55 % : plus que Roubaix, commune qui arrive en première position selon le taux de pauvreté parmi les 100 plus grandes villes. Dans les arrondissements voisins du 1er et du 2e, autour du vieux port, le taux de pauvreté atteint 43 % et 44 %.
Pour les actifs, occupés ou au chômage, le taux de pauvreté varie fortement selon la catégorie socioprofessionnelle : les ouvriers ont le niveau de vie médian le plus faible ; il représente 56 % du niveau de vie médian des cadres et professions intellectuelles supérieures.
Parmi les villes de plus de 20 000 habitants, le trio de tête est : Les Sables-d'Olonne (40 450 €), La Roche-sur-Yon (35 500 €) et Challans (35 160 €). Côté moins de 20 000 habitants, on trouve : Noirmoutier-en-l'Île (43 370 €), La Tranche-sur-Mer (39 600 €) et l'Île d'Yeu (39 440 €).
Pour figurer dans la catégorie des 1% les plus aisés, il faut percevoir «un revenu mensuel [d'au moins] 9 060 euros pour une personne seule» indique l'Insee, soit «108 670 euros» par an et plus. Un couple appartient à cette catégorie s'il dispose mensuellement d'au moins 13 590 euros.