La soi-disant « théorie des trois générations de droits humains » divise les droits humains en trois générations distinctes sur la base (1) des droits civils et politiques, (2) des droits économiques, sociaux et culturels et (3) des droits collectifs ou de solidarité.
Les droits-créances (droits de seconde génération)
Il s'agit de droits économiques et sociaux, tels que le droit à l'instruction, le droit à la santé, le droit au travail ou le droit d'appartenance à un syndicat. En France, ils sont inscrits dans le préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 .
Droits de première génération
Édictée dans un contexte libéral, elle reflète les visions de cette époque en proclamant des droits individuels et universels fondamentaux tels que la liberté, l'égalité ou encore le droit de propriété.
On admet habituellement trois catégories principales: 1) les droits civils et politiques (également appelés libertés et droits fondamentaux), 2) les droits économiques, sociaux et culturels (également appelés droits sociaux) et 3) les droits collectifs.
La soi-disant « théorie des trois générations de droits humains » divise les droits humains en trois générations distinctes sur la base (1) des droits civils et politiques, (2) des droits économiques, sociaux et culturels et (3) des droits collectifs ou de solidarité. Elle fête ses 40 ans ce mois-ci.
Les différentes formes de liberté :
Liberté naturelle : en vertu du droit naturel. Liberté civile : en respectant les lois. Liberté politique : pouvoir exercer une activité politique, adhérer à un parti, militer, élire des représentants...
Vous avez le droit à la vie, à la sûreté, à l'intégrité et à la liberté. Par exemple, vous avez le droit d'être protégé contre les menaces d'agression ainsi que contre les agressions physiques et psychologiques. Vous avez le droit à la liberté de conscience et de religion.
La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC) a été rédigée et adoptée le 26 août 1789 par l'Assemblée nationale constituante dans l'immédiateté de la Révolution française. Elle doit donc se lire comme « le but et le programme de la Révolution » (Giorgio DEL VECCHIO).
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
Tribalat (1995), dans l'enquête qui a donné lieu à l'ouvrage Faire France, la « seconde génération » est composée des enfants nés en France, de nationalité française, âgée de 20 à 29 ans.
Quant aux droits de la quatrième génération, ils sont relatifs à l'avancement des sciences et des techniques et concernent principalement deux domaines : les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) et les biotechnologies.
Droits de quatrième génération
La quatrième génération semble l'expression de doctrines isolées qui ne font pas consensus sur leur contenu ou leur existence. On trouve ponctuellement l'évocation d'une quatrième génération de droits dont le contenu peut varier très fortement.
Le droit a un contenu délimité qui porte ou se rapporte à un objet précis et défini. La liberté est d'essence universelle et est indéterminée. Le troisième critère distinctif réside dans la portée respective des droits et libertés.
L'évolution des droits et libertés depuis 1789 s'est faite en fonction des mutations de la société. Ainsi La DDHC est le texte qui marque l'apogée de l'idéologie de la Révolution française et représente le fruit de la contestation d'un peuple soumis à une monarchie absolue.
A-La règle de droit et les autres règles sociales
Outre les règles de droit, d'autres règles sociales régissent la vie des hommes en société, telles les règles de politesse ou les règles morales.
Depuis les Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, la France est souvent appelée « la patrie des droits de l'homme », en raison de la vocation universelle de cette première déclaration des droits de l'homme.
Chacun a le droit d'exprimer et de diffuser librement son opinion par la parole, par l'écrit et par l'image, et de s'informer sans entraves aux sources qui sont accessibles à tous. La liberté de la presse et la liberté d'informer par la radio, la télévision et le cinéma sont garanties. Il n'y a pas de censure.
Les droits humains sont des droits inaliénables, invisibles, imprescriptibles et interdépendants dont dispose chaque citoyen, quelle que soit sa nationalité, son lieu de résidence, son sexe, son origine ethnique ou nationale, sa couleur, sa religion, sa langue ou toute autre condition.
la liberté de pensée, de conscience et de religion. le droit de vote et d'être candidat à des élections.
La Déclaration universelle des droits de l'homme (DUDH) a été rédigée par la Commission des droits de l'homme, organe des Nations Unies, et adoptée par son Assemblée générale le 10 décembre 1948. La DUDH, indubitablement avant-gardiste, reste l'instrument international de droits de l'homme le plus important.
Nous devons par conséquent les examiner dans l'ordre dans lequel ils ont été institués et reconnus au niveau régional ou par la communauté internationale. La méthode la plus classique consiste à classer ces droits en trois catégories: « première, deuxième et troisième générations ».
Souchal François. Jean STAROBINSKI. L' invention de la liberté, 1700-1789. Genève, Editions d'art Albert Skira, 1964..
Définition de Loi. Au sens large, une "loi" est une disposition normative et abstraite posant une règle juridique d'application obligatoire.
Si la liberté n'apparaît que là où les autres la reconnaissent, si elle dérive toujours d'un contrat formel ou du moins d'un accord tacite, l'indépendance est un fait dans la nature, elle traduit un équilibre, que l'on ne décrète pas mais que l'on peut constater, entre ce que nous voulons et ce que nous avons.