Les mécanismes de défense les plus courants sont : la régression, la négation, la dissociation, la formation réactionnelle, la déplacement, la rationalisation, l'isolement, l'identification, la sublimation, l'annulation, la compensation...
Un mécanisme de défense est un processus de défense élaboré par le Moi sous la pression du Surmoi et de la réalité extérieure, et permettant de lutter contre l'angoisse. Il en existe plusieurs. Ces mécanismes psychiques préservent le Moi et le protègent aussi des exigences pulsionnelles du ça.
Deux principales classifications ont été proposées. La première classe les mécanismes de défense en fonction de leurs effets plus ou moins adaptatifs. La seconde les classe en fonction de leur cible principales, les émotions ou les pensées.
Après les frileux de l'amour et ceux qui donnent trop, voici les clivés de l'amour, un autre profil amoureux, les clivés sont ceux qui ne peuvent pas allier le cœur et le sexe en même temps, ils donneront soit leur cœur, soit leur sexe. Ils séparent, coupent, catégorisent, hiérarchisent.
En voulant « apaiser » le malade par le mensonge, le soignant neutralisera chez le patient la montée progressive de l'angoisse, alors protectrice par le biais des contre-tensions qu'elle génère ; car l'angoisse, en protégeant le malade de l'effet de sidération, lui permet alors de s'ajuster progressivement à la menace ...
Le refoulement, un mécanisme de défense ? Le refoulement, c'est repousser ses propres désirs, ses pulsions, ses envies qui ne peuvent devenir conscients parce qu'ils sont inavouables, trop pénibles ou même répréhensibles pour l'individu ou pour la société. Mais ils vont rester en nous d'une façon inconsciente.
Le refoulement est, alors, défini comme un mode de défense contre les pulsions, considérées comme excitations intérieures à l'appareil psychique. Sa finalité consiste à éviter le déplaisir lié à l'irruption d'un excès d'énergie non maîtrisée.
La première ligne de défense de l'organisme contre les microbes est constituée par la peau et les muqueuses. La peau est le plus grand organe du corps et offre une protection incroyable contre les infections. Malgré son efficacité, certains éléments extérieurs peuvent pénétrer à l'intérieur de l'organisme.
Mais vous devez aussi "encercler" les jambes de votre adversaire. C'est à dire écarter suffisamment les jambes pour que celles de l'attaquant soient à l'intérieur des vôtres. Pour le haut du corps, il faut impacter avec une main sur le bras porteur de l'adversaire (encore mieux sur le ballon) et une main sur la hanche.
Sortir du déni est une affaire délicate. Elle exige de la volonté et de l'ouverture d'esprit mais surtout de faire preuve d'humilité, de beaucoup d'humilité. La capacité de voir et d'accepter une vérité sur soi peut être si bouleversante lorsque l'Ego, toutes griffes dehors se tient prêt.
Le clivage. Le clivage est un terme employé tout d'abord par Freud pour désigner un phénomène qu'il a pu observer surtout dans le fétichisme et les psychoses. Le clivage consiste en la coexistence au sein de la psyché, au sein du Moi, de deux attitudes à l'égard de la réalité extérieure.
Lazarus et Folkman (1984) définissent le coping comme « l'ensemble des efforts cognitifs et comportementaux destinés à maîtriser, réduire ou tolérer les exigences internes ou externes qui menacent ou dépassent les ressources d'un individu ».
Ces trois systèmes présentent des fonctionnements différents : le conscient est le système des représentations de mots ; le système préconscient/conscient mêle représentation de mot et représentation de chose ; tandis que le contenu de l'inconscient correspond aux représentations de choses.
Pour maîtriser ses pulsions, il faut permettre à son esprit (au surmoi), de reprendre les rênes et d'arrêter le mouvement. Se poser, réfléchir, décider. Dans la mesure où la pulsion a d'abord une origine corporelle, les thérapies qui visent à la relaxation sont particulièrement intéressantes.
Sexuelle, alimentaire, colérique ou encore dépensière… La pulsion peut se présenter sous différentes formes. Les pulsions témoignent de notre humanité et font partie intégrante de la vie : tout le monde, grand ou petit, a forcément déjà été confronté à une situation pulsionnelle.
Ces attitudes facilitatrices au cœur de l'approche centrée sur la personne reposent sur trois conditions essentielles que sont l'empathie, la congruence, le regard positif inconditionnel.
Prenez quelques minutes et essayez de comprendre quels sont vos ressentis avec ces émotions, comment votre corps les traduit. Concentrez-vous sur chaque détail et décrivez chaque ressenti physique : vos mouvements, votre respiration, votre position, votre regard…
"Le refoulement est difficile d'accès, le traitement peut être médicamenteux mais c'est surtout la psychanalyse qui peut aider; la méthode psychanalytique essaie de lever ce refoulement" explique le Pr Landman. Exemple de cas : une femme qui ne sortait plus de chez elle.
Reconnaître l'amélioration des comportements et valider avec la personne. Établir des limites claires et les suivre. Si vous sentez un danger pour la personne, parlez-en immédiatement aux professionnels des Services adaptés. Éviter de prendre personnel les propos de l'étudiant.
Le clivage est l'aptitude de certains minéraux à se fracturer selon des surfaces planes dans des directions privilégiées lorsqu'ils sont soumis à un effort mécanique (un choc ou une pression continue).