On distingue plusieurs types de douleur. Schématiquement, on distingue la douleur aiguë limitée dans le temps et qui disparaît avec le traitement de sa cause et la douleur chronique qui s'installe dans la durée et qui ne disparaît pas forcément, une fois traité le problème à l'origine du symptôme.
La douleur nociceptive est un signal envoyé au cerveau suite à une lésion ou une inflammation des tissus ou un traumatisme (muscles, articulations). Cette douleur est généralement provoquée par une coupure, une brûlure, un traumatisme…
Les différentes causes possibles de la douleur ont conduit à établir une classification. On distingue les douleurs dites « par excès de nociception », les douleurs neurogènes (d'origine nerveuse) et les douleurs psychogènes (qui ont des causes psychiques).
C'est l'amygdale centrale qui serait responsable de l'évolution de la douleur. Selon le comportement adopté - stress ou distraction -, les cellules de l'amygdale centrale n'expriment pas les mêmes neurotransmetteurs.
Ce sont les douleurs qui surviennent en cas d'altération du système nerveux, soit au niveau périphérique (section d'un nerf, zona) soit au niveau du système nerveux central qui véhiculent les signaux de la douleur (colonne vertébrale ou cerveau ).
En langage médical, l'hypoesthésie désigne donc une perte de sensibilité : celle-ci peut survenir au niveau de n'importe quelle partie du corps (visage, bras, jambes...) et même atteindre des zones assez inhabituelles (l'urètre, le sphincter anal, la langue...).
Douleur lancinante : douleur ressentie sous forme d'élancements aigus. Douleur pongitive : douleur semblable à celle que provoquerait une pointe en pénétrant profondément.
L'EVA mesure l'intensité de la douleur sur une échelle allant de 0 à 10 (ou parfois de 0 à 100). Une ligne horizontale (chez l'adulte) ou verticale (chez l'enfant) représente le score qui augmente.
la douleur est fatigante, épuisante, éreintante, nauséeuse, suffocante, syncopale, inquiétante, oppressante, angoissante, harcelante, obsédante, cruelle, torturante, suppliciante, gênante, désagréable, pénible, insupportable, énervante, exaspérante, horripilante, déprimante.
Selon la définition officielle de l'association internationale pour l'étude de la douleur (IASP), "la douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite dans ces termes".
On distingue principalement deux grands types de douleur : la douleur aiguë, qui est de courte durée et constitueun signal d'alarme essentiel au maintien de notre intégrité physique, et la douleur chronique, qui est ressentie longtemps (plus de 3 mois) et persiste après guérison de la lésion l'ayant provoquée.
La douleur aiguë est une douleur vive, immédiate, et souvent brève. Elle est d'origine traumatique ou postopératoire, ou peut être provoquée par certains soins.
L'allodynie est une douleur provoquée par un stimulus qui ne cause habituellement pas de douleur.
parésie n.f. Paralysie partielle entraînant une simple diminution de la force musculaire.
Souffrir d'analgésie congénitale c'est ne pas ressentir de douleur lorsque l'on se fait mal. A première vue, cette maladie génétique présente des avantages. Mais être insensible à la douleur c'est aussi se faire mal sans le savoir.
Définition d'une paresthésie
Il s'agit le plus souvent d'un trouble désagréable mais qui n'est pas douloureux. Les symptômes classiques vont du fourmillement plus ou moins étendu à des picotements voire une sensation de brûlure en passant par toutes sortes de piqûres, sensations de moiteur ou au contraire de froid.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
La douleur neuropathique est provoquée par une lésion ou un dysfonctionnement des nerfs, de la moelle épinière ou du cerveau.
Le syndrome de Guillain-Barré est une affection rare dans laquelle le système immunitaire du patient attaque les nerfs périphériques. Bien qu'elle puisse toucher les personnes de tout âge, cette maladie est plus fréquente à l'âge adulte et chez les sujets de sexe masculin.
A cet endroit, la sensibilité est de seulement 2mm. Puis viennent les paumes, le visage, les orteils et enfin la plante des pieds. A l'inverse, les cuisses et les épaules font partie des zones les moins sensibles.
La douleur peut provenir d'une lésion tissulaire visible (piqûre, coupure), d'une lésion tissulaire invisible (blessure d'un organe intérieur) ou d'une lésion d'un nerf ou du système nerveux (zona). Elle peut aussi provenir de troubles psychiques.
La douleur aiguë joue un rôle d'alarme qui va permettre à l'organisme de réagir et de se protéger face à un stimulus mécanique, chimique ou thermique : elle est liée à des stimulations intenses qui déclenchent immédiatement un mécanisme de transmission d'informations depuis les terminaisons nerveuses – les récepteurs ...