Modestes, discrets, pudiques, fidèles, honnêtes, légalistes… La réputation des Bretons leur colle à la peau. Elle dessine une façon de faire société qui semble rassurante, aux yeux des habitants mais également des néo-arrivants.
Les Bretons sont réputés pour être très attachés à leur région : Bretons et fiers de l'être, ce n'est pas qu'un cliché ! Port d'Attache symbolise d'ailleurs cette fierté de la Bretagne et l'envie de la promouvoir.
Les Bretons sont des gens heureux
38% sont même « très heureux ». Les Bretons ont même plus d'émotions positives que les autres. Par ailleurs, la Bretagne est la région où les habitants sont les plus sereins. Ils sont aussi confiants et ressentent moins de nostalgie ou de colère.
Voici pourquoi. C'est une région qui fait toujours l'unanimité : elle offre une diversité de paysages unique. Entre ses dunes, ses rochers, ses falaises et ses forêts, nul ne doute que vous en prendrez plein les yeux en y allant ! Des eaux bleues, du sable fin et un environnement apaisant.
Son patrimoine culturel et gastronomique, ses événements festifs et son art de vivre au quotidien en font un lieu dynamique très apprécié. S'il s'agit d'un environnement où il fait bon vivre, la Bretagne est aussi un territoire dans lequel il est facile de s'épanouir au niveau professionnel.
Ils sont généreux et donnent ce qu'ils ont. Toujours partants pour faire la fête, ils ouvrent toutes grandes leurs portes. Les Bretons sont chaleureux, mais pas au premier abord, il faut gagner leur confiance et lorsque celle-ci est acquise alors… Ils sont fiers de leurs terres et heureux de partager leur culture.
L'idée qu'en Bretagne la femme aurait bénéficié d'une représentation positive et exercé une réelle autorité est répandue sans qu'un besoin de vérification se soit imposé. On admet volontiers que la femme bretonne est puissante, qu'elle occupe une place éminente dans la société.
Pourquoi les Bretons sont têtus ? Ils ont surtout cette réputation-là parce qu'ils se sont beaucoup révoltés au cours de l'Histoire. Et pour ça, on ne peut pas les blâmer. Après, il faut avouer que vivre constamment sous la pluie, ça donne un sale caractère.
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants. Mais « trugarez » ne signifie pas un simple « merci » breton.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Breizh, le nom breton de la Bretagne, vient lui d'un ancien Brittia. Le terme Armorique est encore utilisé pour désigner la Bretagne et ce, même s'il désignait à l'origine un ensemble beaucoup plus vaste.
A savoir le ar breton correspond à la particule française le ; de plus certains suffixes sont propres à la Bretagne et permet de repérer les noms made in breizh comme -ec, -ic, -ou, -an, -en, -egan, -egen, -ès, -ez.
Ce dysfonctionnement est provoqué par une anomalie génétique dont l'origine est plus vieille que Jésus Christ. Ce sont les Celtes, en effet, qui l'ont développée les premiers face à la carence de leur nourriture en fer, sel minéral indispensable à la bonne santé.
Comme les autres langues celtiques actuelles, le breton provient historiquement des îles britanniques. Il est également apparenté au gaulois, langue aujourd'hui éteinte qui se parlait au début de notre ère dans une bonne partie de l'Europe occidentale (Belgique, France, Suisse, Nord de l'Italie).
Dans les années 1950, la Bretagne est ainsi la région où le taux de mortalité par alcoolisme est le plus fort en France. « On fabriquait alors beaucoup d'alcools comme l'eau-de-vie ou le cidre dans la région et toute la production était bue sur place », indique Thierry Fillaut.
Pourquoi les Bretons sont-ils tous frères? Parce qu'ils ont Quimper (qu'un père) Si tout le monde connaît la blague, il reste à découvrir l'expo Quimper, un père à la maison du patrimoine sur la question de l'identité.
Concarneau, Saint-Malo, Perros-Guirec, Erquy... de beaux lieux à découvrir si vous ne connaissez pas déjà.
Du côté de Rennes, on ne recense que 694 mm de pluie, soit à peine plus qu'à Marseille (515 mm), une des régions où il pleut le moins. À Brest, en revanche, Météo-France enregistre tout de même une moyenne annuelle de 1 210 mm.
À titre de comparaison, c'est quasiment le double de Saint-Brieuc en Bretagne (4h17). Avec 2.858 heures d'ensoleillement chaque année, et 170 journées ensoleillées (quasiment un jour sur deux), la cité phocéenne caracole en tête de ce classement.