les troubles moteurs du sommeil (syndrome des jambes sans repos, mouvements périodiques des jambes…) ; les troubles centraux d'hypersomnolence diurne (hypersomnies, narcolepsie) ; les parasomnies (somnambulisme, cauchemars, terreurs nocturnes, bruxisme...) plus fréquentes chez l'enfant.
la consommation de produits excitants (caféine, tabac, boissons énergisantes) ; le fait de manger juste avant de se coucher ; l'alcool qui réduit la durée et/ou la qualité du sommeil ; le stress, l'anxiété, la dépression.
Les troubles du sommeil sont divisés en trois groupes principaux : Les dyssomnies qui regroupent l'insomnie d'origine psychologique (incapacité à dormir la nuit), l'insomnie d'altitude, l'insomnie d'origine extérieure (extrinsèque), les troubles du sommeil liés à l'alcool ou à des médicaments et la narcolepsie.
Toute perturbation de la durée ou de la qualité du sommeil. Les troubles du sommeil sont de trois sortes : insomnie (insuffisance de sommeil), hypersomnie (excès de sommeil), parasomnie (comportement anormal pendant le sommeil) ; par ailleurs, certains troubles du sommeil sont propres à l'enfant.
Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
La camomille est peut-être la plante dont les vertus sur le sommeil sont les plus connues. Elle permet notamment de calmer l'agitation nerveuse qui impacte l'endormissement. Le tilleul est l'autre star du somnifère naturel car elle possède des vertus apaisantes et sédatives.
Les réveils en milieu de nuit concernent la majorité des insomniaques. En cause, d'après les experts, des troubles comme l'apnée du sommeil, un reflux gastro-oesophagien, les bouffées de chaleur liées à la ménopause ou l'envie d'uriner chez les hommes âgés ayant des problèmes de prostate.
La signification d'un réveil entre 3h et 5h
Tout d'abord, cela peut être simplement un souci de respiration, un problème d'oxygénation de l'organisme. Mais cela peut aussi symboliser un poids psychologique. Un problème qui vous tracasse peut alors devenir physiquement oppressant et vous réveiller au milieu de la nuit.
Un défaut de récupération pendant le sommeil
L'une des origines à explorer pour la fatigue est celle qui concerne le défaut de récupération pendant le sommeil, et peut s'expliquer assez simplement parfois par des douleurs, de la fièvre, des difficultés respiratoires, etc. qui empêchent les patients de bien dormir.
Laissez bouillir la banane pendant 10 minutes et versez ensuite le liquide, filtré, dans une tasse. Ajoutez une pincée de cannelle et remuez. L'idéal est de consommer cette tisane une heure avant d'aller dormir. Vous pouvez aussi manger les morceaux de banane bouillie pour accentuer les effets relaxants.
La mélatonine
Un médicament sous forme de comprimé à libération prolongée dosé à 2 mg de mélatonine est disponible sur ordonnance. Il est utilisé pour lutter contre certaines insomnies chez les personnes de plus de 55 ans. Il doit être pris 1 à 2 heures avant le coucher après la repas.
Les effets rapportés sont variés : des symptômes généraux (céphalées, vertiges, somnolence, cauchemars, irritabilité), des troubles neurologiques (tremblements, migraines) et gastroentérologiques (nausées, vomissements, douleurs abdominales).»
La Zopiclone, en favorisant la somnolence et la perte de vigilance, peut s'avérer dangereux en cas de conduite d'un véhicule.
« On peut être réveillé par des troubles respiratoires ou, lors de la ménopause par exemple, avoir le sommeil perturbé par des suées nocturnes et une sensation de montée en température ». Enfin, « des réveils très précoces peuvent être le signe d'une dépression », souligne la spécialiste du sommeil.
Des chercheurs du Karolina Institute à Stockholm en Suède ont établi que dormir moins de 5 heures par nuit, chaque nuit, augmenterait le risque de mortalité de 62 % par rapport à ceux qui dorment 7 heures par nuit.
De nombreuses études ont décrit l'impact négatif à long terme du manque de sommeil sur l'état de santé : au-delà d'une dégradation de la qualité de vie, l'insomnie aggraverait les symptômes de maladies somatiques ou psychiatriques associées (douleurs chroniques, hypertension, dépression…).
Enfin, si le déficit de sommeil devient chronique, il y a un risque accru d'obésité et de diabète. D'après une étude américaine de 2010, des nuits de moins de 6 heures augmentent le risque de diabète de type II de 28% !