Le seul vaccin obligatoire en Belgique est celui contre la poliomyélite. Elle a causé tant de décès d'enfants, chez nous, dans les années 50, que son vaccin a été instauré en 1958 et est devenu obligatoire depuis 1967.
Vaccination et fréquentation d'un milieu d'accueil
Les vaccins obligatoires pour fréquenter une collectivité d'enfants de moins de trois ans sont ceux contre la poliomyélite, la diphtérie, la coqueluche, la méningite (à Haemophilus influenzae b), la rougeole, la rubéole et les oreillons.
La vaccination antivariolique n'est plus obligatoire depuis 1979. Cela est dû à l'éradication de la maladie.
Le vaccin contre la variole vous a peut-être été administré dans votre jeunesse si vous plus de 40 ans. Aujourd'hui, la vaccination antivariolique n'est plus obligatoire en France depuis 1979 en raison de l'éradication de la maladie mais aussi des effets indésirables potentiellement sévères.
L'utilisation des vaccins antivarioliques est recommandée par la Haute autorité de santé (HAS) dans la mesure où les vaccins contre la variole ont une efficacité contre les orthopoxvirus dont le virus Monkeypox.
Il s'agit des vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l'haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), l'hépatite B, le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites), les infections invasives à pneumocoque (bactérie provoquant ...
Hépatite B. La vaccination est obligatoire pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018.
– Diphtérie, tétanos, poliomyélite : l'injection d'un rappel doit être réalisée tous les 10 ans. – Rubéole : cette vaccination est recommandée pour les femmes non vaccinées en âge de procréer.
D'autres vaccins restent encore facultatifs mais conseillés : le BCG, le papillomavirus humain, la grippe et le zona.
Les vaccins obligatoires sont le plus souvent ceux contre : la poliomyélite, la diphtérie, le tétanos, la rubéole, la rougeole, les oreillons, l'Haemophilus Influenzae de type B, la coqueluche et l'hépatite B.
Pour toujours savoir où vous en êtes avec vos vaccinations, consultez votre médecin traitant en emportant avec vous votre carnet de vaccination ou votre carnet de santé, ou celui de votre enfant.
Pour faire le point sur vos vaccinations, le plus simple est de consulter votre carnet de santé ou carnet de vaccination qui doit être mis à jour à chaque vaccination. Ce carnet recense les vaccins et les rappels que vous avez ou que vous devez effectuer.
Comment accéder au relevé de vaccination ? Pour accéder au relevé de vaccination, via le portail du Réseau Santé Bruxellois , il suffit de cliquer sur le bouton vert qui permet d'accéder directement aux données Covid-19.
Le virus de l'hépatite C est transmis par le sang : les modes d'infection les plus courants passent par l'exposition à du sang, notamment lors de pratiques d'injection à risque, de soins de santé à risque, de la transfusion de sang et de produits sanguins n'ayant pas fait l'objet d'un dépistage, de la consommation de ...
Seule une prise de sang permet de savoir si une personne est immunisée ou non contre l'hépatite B. En effet, si on retrouve un taux d'anticorps anti-HBS (anticorps propres au virus de l'hépatite B) supérieur ou égal à 10 UI/l, cela signifie que la personne est bien immunisée contre l'hépatite B.
Durée de la protection
Chez les personnes en bonne santé qui ont reçu toutes les doses recommandées, la protection dure de 25 à 35 ans au moins et rien n'indique qu'une dose de rappel est nécessaire plus tard dans la vie.
La protection induite par la vaccination contre le tétanos ne dure pas très longtemps. Ainsi, des rappels réguliers sont nécessaires. aux adultes et aux seniors (tous les 20 ans pour les vaccins reçus entre 25 et 64 ans, puis tous les 10 ans).
Il s'agit des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l'hépatite B, le méningocoque C, le pneumocoque et l'Haemophilus influenzae b.
Concrètement, les personnes ayant été primo vaccinées selon un schéma à deux doses, recevront leur dose de rappel (ou troisième dose) dès trois mois après la deuxième dose. En cas d'infection survenue au moins 3 mois après le schéma vaccinal complet initial, il n'y a pas d'obligation de faire son rappel.
Il s'agit d'une immunité à médiation cellulaire. Cela explique que le vaccin peut « ne pas prendre ». Dans ce cas, les tests restent négatifs, et une nouvelle vaccination s'impose. Cela explique aussi que les tests peuvent devenir négatifs (disparition du BCG vivant dans l'organisme).
La variole a été déclarée éradiquée en 1980, grâce à une campagne de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) combinant des campagnes de vaccination massive, dès 1958, avec une « stratégie de surveillance et d'endiguement », mise en œuvre à partir de 1967.
Une petite cicatrice peut demeurer après la guérison, qui peut prendre de 2 à 5 mois. Le vaccin BCG provoque souvent une enflure du ganglion lymphatique qui se trouve sous l'aisselle ou au-dessus de la clavicule – il s'agit d'une réponse immunitaire tout à fait normale.