Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d'accompagnement, de comparaison, d'opposition, de concession et de condition.
Pour reconnaître un complément circonstanciel, on pose les questions « quand ? », « pendant combien de temps ? », « où ? », « comment ? », « dans quel but ? », « pour quelle raison ? », etc.
Ils précisent les circonstances dans lesquelles se déroule l'action exprimée par le verbe. Une même phrase peut comporter plusieurs compléments circonstanciels : Il est arrivé à Paris (CC de lieu) ce matin (CC de temps) par le train (CC de moyen) pour affaires (CC de but).
Le complément circonstanciel de cause (CC de cause) donne l'origine d'un fait ou d'une action qui n'ont pas été choisis. Il répond à la question : « Pour quelle raison ? ». Il est souvent introduit par les prépositions suivantes : à, pour, de, à cause de, faute de, grâce à, en raison de, …
Les compléments circonstanciels de moyen répondent aux questions : comment ?, par quel moyen ?, avec quoi ? Ils indiquent donc le moyen utilisé pour réaliser l'action : J'irai en tramway. Je ne sais pas manger avec des baguettes.
Le COI. Le COI est relié au verbe (qui est alors transitif indirect) par une préposition : les plus courantes sont à, de, en, sur. Ex. : Elle parle souvent de son chien. → Le groupe nominal prépositionnel de son chien est COI du verbe parler.
Dans une phrase, les termes qui précisent les circonstances de l'action (lieu, temps, manière, but…) occupent la fonction de complément circonstanciel. À la différence du complément d'objet, étroitement lié au verbe, le complément circonstanciel est un complément facultatif.
Le complément circonstanciel de cause répond aux questions : « pourquoi, pour quelle cause ? » posées après le verbe. Il indique ce qui se passe d'abord.
Le COD complète directement le verbe (transitif direct). Exemple : Zoé aime beaucoup les animaux. Le COI est relié au verbe (transitif indirect) par une préposition : les plus courantes sont à, de, en, sur. Exemple : Elle parle souvent de son chien.
Le COD suit généralement le verbe mais il peut être placé avant. Exemple : Maxime mange une pomme. – La pomme que Maxime mange. – Maxime la mange (ici le COD est un pronom).
Tout ce qui n'est pas interdit est autorisé
Selon la logique du droit d'auteur, tout ce qui n'est pas explicitement autorisé est interdit ; les Creatives Commons suivent la logique inverse : tout ce qui n'est pas interdit est autorisé.
Le complément d'objet direct est un mot ou (groupe de mots) qui se joint au verbe SANS PREPOSITION pour en compléter le sens. Il subit l'action accomplie par le sujet. - Il appartient au groupe verbal. - C'est un complément essentiel, on ne peut pas le supprimer car la phrase n'aurait plus de sens.
Le COI, complément d'objet indirect, est un complément d'objet introduit par une préposition (à, de, dans, par…) répondant aux questions “à qui”, “à quoi”, “de qui”, “de quoi”, “pour qui”, “pour quoi”, “contre qui”, contre quoi”… Le COI est un complément du verbe et fait partie du groupe verbal.
Reconnaître un complément d'objet second (COS)
Le complément d'objet second est un COI (complément d'objet indirect) lorsqu'il est employé après un COD (complément d'objet direct). On l'appelle second car il vient seconder le COD dans la phrase pour préciser l'action du verbe.
Ex : Jean est absent aujourd'hui parce qu'il est malade. 2) Les compléments circonstanciels de conséquence. Un complément circonstanciel de conséquence indique le résultat, l'effet d'une action. Ex : Jean est tellement malade qu'il est absent.
Le complément circonstanciel de temps peut être un participe présent précédé de « en ». L'enfant se promenait dans les bois quand il fut surpris par l'orage. Le C.C.T. est « quand il fut surpris par l'orage », c'est une proposition.
Reconnaître le complément circonstanciel. Le complément circonstanciel se rattache au verbe et apporte une précision sur les circonstances (lieu, temps, manière, but, etc.) dans lesquelles s'est déroulée l'action.
Les pronoms COD (complément d'objet direct) remplacent des noms quand il n'y a pas de préposition après le verbe. On les utilise par exemple avec les verbes aimer, voir, connaître, appeler, entendre, écouter, vouloir, etc.
La notion de "prédicat", qui remplace les COD et les COI dans les nouveaux programmes de grammaire, fait grincer quelques dents. Oubliez les compléments d'objet direct (COD) et indirect (COI), place désormais au "prédicat".
Quand le COD est situé après le verbe pronominal
“les mains” est COD. Ce COD est placé après le verbe pronominal, on n'accorde pas. Si dans la phrase, il n'y a pas de COD, le pronom réfléchi est alors complément indirect.
L'infinitif prononcer est construit avec un COD : ce discours). Nous l'avions déjà entendu prononcer ce discours (ou, moins fréquent Nous lui avions déjà entendu prononcer ce discours). Quand l'infinitif dépend de faire, on n'a plus le choix et la construction indirecte s'impose.