(Interjection) (Années 1990) Expression originaire de l'arabe dialectal du Maghreb, elle signifie « bien fait (pour toi) ». Elle s'accompagne, surtout chez les enfants, par un poing fermé qui frotte la paume ouverte de l'autre main.
Le mot "Cheh" est d'origine arabe. Le terme "Cheh" est utilisé par les adolescents pour dire à une personne qu'elle n'a que ce qu'elle mérite, que ce qui lui arrive est bien fait.
Le mot cheh est une interjection qu'on emploie en français pour souligner avec ironie qu'une personne a bien mérité les malheurs qui lui arrivent. Cheh signifie « bien fait, bien mérité, tu l'as bien cherché » ou, plus vulgairement, « bien fait pour ta gueule ».
Horace Doursther a donné une définition de ce poids dans le “Dictionnaire universel des poids et mesures anciens et modernes” publié en 1840 : “Le cheh, usité à Fort-Marlborough, île Sumatra, est la 10e partie du tael chinois, et se divise en 10 hoons = 100 lees = 1000 see = 10000 hoot = 58 ⅓ grains anglais = 3.7795 ...
Signifiant la désapprobation ou le mépris, ce bruit de succion couramment utilisé en Afrique, notamment par les mamans, et parfois accompagné d'un claquement de langue, avait fini par s'inviter en classe, et à perturber l'enseignement.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ». Tantôt elle sera teintée d'humour, tantôt elle sera accusatrice, un peu comme on dirait « pauvre type ! ».
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?". C'est la culture hip hop française qui va l'utiliser à tout-va dans les années 1990.
Le mot vient de l'arabe et signifie « pet ». Mais comment une flatulence a-t-elle pu devenir un mot d'argot ? A l'instar du vent, le toz est un refus lorsque quelqu'un vous fait une proposition. Par dérivation, toz peut également signifier une forme d'indifférence.
Le terme « seum » vient étymologiquement du mot arabe « sèmm » qui signifie « venin ». Autrement dit, quand on a « le seum », « on a la rage ».
En anglais, sheesh est attesté depuis le milieu du XXe siècle. Cette interjection a d'abord été utilisée pour exprimer un sentiment d'ennui ou de surprise. Dans ce sens, elle équivaut un peu à oh my god (« oh mon dieu »).
Chheh (en sindhi ڄي, čheh, ou simplement ڇ) est une lettre additionnelle de l'alphabet arabe utilisée dans l'écriture de l'od, du sindhi et du torwali.
Aujourd'hui l'orthographe la plus répandue est wesh , mais on rencontre aussi wech , ouesh et ouech . D'autres variantes, moins fréquentes, s'écrivent avec è ou avec ai . L'abréviation wsh est très courante à l'écrit.
"PLS" est l'abréviation de position latérale de sécurité, utilisée à l'origine par les secours. Quand vous êtes en PLS, c'est que vous êtes KO, au bout du rouleau. Traduction : Vous êtes incapable de faire quoi que ce soit !
Le «boloss» selon le Petit Robert ou «bolos» d'après le Petit Larousse désigne alors en argot le «client d'un dealeur». Des acheteurs que les trafiquants voient comme des «gogos», des «jobards», bref, des «pigeons».
chiard, lardon, merdeux, minot, môme, morpion, mouflet, moutard, tipeu.
(Interjection) (Années 1990) Expression originaire de l'arabe dialectal du Maghreb, elle signifie « bien fait (pour toi) ».
exp. ما المقصود بذلك؟
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
(Familier) Exclamation typique du sociolecte des banlieues versant beur qui est une prononciation dérivée du mot arabe « zerma », souvent utilisée pour marquer l'ironie ou le cynisme, voire le ridicule.
Utilisation du mot « bae »
Le terme n'est ni masculin ni féminin mais neutre, aussi on peut dire « ma bae » comme « mon bae ». On peut entendre des ados ou jeunes adultes se dire « je t'aime bae » ou s'appeler « hey bae […] ».
Non il ne s'agit pas d'une nouvelle marque de lessive. "Askip"est tout simplement l'abréviation de "A ce qu'il paraît" et est le plus souvent utilisée dans les textos.
Daron est un terme bien plus ancien qu'il n'y paraît. C'était déjà un mot d'argot au XVIIIe siècle et on soupçonne qu'il existait bien avant. Il semblerait qu'il fût une espèce de mot-valise, soit le croisement de deux mots : dam, « seigneur » et baron.
C'est le cas de « wesh », qui vient d'un mot algérien signifiant « quoi » et qu'on peut placer à peu près n'importe où dans une phrase. À noter que « Wesh, ma gueule », signifie : « Oui, mon pote », de manière très affectueuse.
Kono, qu'est-ce que tu as ? ماذا لديكِ يا "كونو"؟